Archives des publications


Jeudi 26 Juillet 2018

« Une illustration vivante »

C’est un beau samedi qu’ont vécu les habitants présents à l’inauguration de la mairie de Strueth il y a quelques jours.


« Je suis heureux de vous accueillir aujourd’hui à l’occasion de l’inauguration de notre nouvelle mairie. Cette cérémonie est, vous le savez, l’aboutissement d’un long processus qui a débuté en 2016, lors du vote du conseil municipal en faveur d’un projet de restructuration de la mairie. L’inauguration de ces travaux de rénovation et d’accessibilité est un temps fort dans la vie de Strueth et une illustration vivante et bien visible de la République », a expliqué le maire Jean-Jacques Mathieu.

Touche contemporaine
Outre les villageois venus nombreux, il y avait la sénatrice Catherine Troendlé, le conseiller régional Laurent Wendlinger, le vice-président du conseil départemental Rémy With, le président de la communauté de communes Sud Alsace Largue Pierre Schmitt, le président du Pôle d’équilibre territorial et rural du Pays du Sundgau, François Eichholtzer, la sous-préfète d’Altkirch, Marie-Claude Lambert, le major Eric Desbordes, commandant la communauté de brigades de gendarmerie Ferrette-Pfetterhouse, le commandant Roland Peter pour le Service départemental d’incendie et de secours, le vice-président du syndicat intercommunal scolaire Michel Fehr, les représentants des brigades vertes, les sapeurs-pompiers locaux, Daniel Munck architecte, les entreprises, les représentants des associations ainsi que les maires des villages voisins.


Après les discours, les personnes présentes ont été invitées à découvrir les bâtiments et en apprécier le résultat. Ils ont ainsi pu observer la teneur des travaux entrepris. Le cabinet d’architecture Daniel Munck avait été retenu, son projet ayant répondu aux attentes de l’équipe municipale : conserver l’aspect classique de l’ancienne mairie tout en lui donnant une touche contemporaine.

Les élus intervenants ont tous salué la belle réussite du projet. François Eichholtzer a évoqué la transition écologique, avec l’isolation et le chauffage. Rémy With a félicité le maire Jean-Jacques Mathieu et son conseil municipal pour cette réalisation tout comme Laurent Wendlinger. Catherine Troendlé a mis l’accent sur le bien-être et le service aux concitoyens, alors que Marie-Claude Lambert a salué ce lieu de proximité qu’est la mairie.

26/07/2018 DNA


Jeudi 26 Juillet 2018

La sénatrice Catherine Troendlé interpelle Benjamin Griveaux sur le silence d’Emmanuel Macron et appelle celui-ci à « affronter ses erreurs ».

C’est au tour de Catherine Troendlé, sénatrice LR du Haut-Rhin, d’interpeller le gouvernement sur l’affaire Benalla. « On voit se dessiner une stratégie silencieuse du Président de la République, échapper à sa responsabilité et trouver parmi ceux sous son autorité directe, des boucs émissaires » déclare-t-elle avant d’interroger : « Un chef doit assumer. Pouvez-vous nous dire où est passé le Président de la République ? »

« Aux dernières nouvelles, le Président de la République est à l’Élysée » répond Benjamin Griveaux porte-parole du gouvernement, qui rappelle ensuite les mesures prises à l’endroit d’Alexandre Benalla. « Le Président a confié au secrétaire général de l’Élysée, l’analyse des dysfonctionnements, afin de pouvoir y remédier et de faire des propositions de réorganisation pour que des dérives comportementales individuelles, ne puissent plus se produire à l’avenir » explique-t-il.

« Il me semble que depuis une semaine, le Président de la République a préféré être le garant impartial de nos institutions, plutôt que de céder aux artifices de la communication » déclare Benjamin Griveaux, qui se fait huer par l’assemblée.

« Quand on est chef, on ne se défile pas, quand on est chef, et c’est sa marque de fabrique, on ne cherche pas à faire payer nos collaborateurs, on affronte ses erreurs, et on prend ses responsabilités » répond la sénatrice, sous les applaudissements de ses collègues.

Par Maud Larivière, Public Sénat 26/07/2018


Jeudi 5 Juillet 2018

Mémoire et transmission

Lorsqu’il l’a présenté pour la première fois il y a un an exactement, le sous-groupe UNC d’Altkirch avait souligné que le documentaire Le Sundgau sous l’occupation était à la disposition des établissements scolaires. Depuis, il a été vu par nombre de collégiens et lycéens.
Au collège de Ferrette, la sous-préfète Marie-Claude Lambert et la sénatrice Catherine Troendlé, aux côtés des intervenant et de Michel Millet, principal, ont assisté à la séance de projection et au débat avec les élèves. dr
Gérard Arnaud et Gérard Cronenberger à la rencontre des lycéens altkirchois. PHOTO DNA
Au collège de Ferrette, la sous-préfète Marie-Claude Lambert et la sénatrice Catherine Troendlé, aux côtés des intervenant et de Michel Millet, principal, ont assisté à la séance de projection et au débat avec les élèves.

Au collège de Ferrette, la sous-préfète Marie-Claude Lambert et la sénatrice Catherine Troendlé, aux côtés des intervenant et de Michel Millet, principal, ont assisté à la séance de projection et au débat avec les élèves. dr Gérard Arnaud et Gérard Cronenberger à la rencontre des lycéens altkirchois.

Produit par le sous-groupe UNC - OPEX - Soldats de France d’Altkirch, le documentaire Le Sundgau sous l’occupation est le fruit du travail de trois hommes qui ont voulu retenir la mémoire collective : Alphonse Monnet, président du sous-groupe, Gérard Arnaud, vice-président du même sous-groupe et Gérard Cronenberger, réalisateur, installé à Carspach. Ils ont interviewé les derniers témoins des événements survenus durant l’occupation allemande mais aussi de la vie quotidienne sous cette période.

De terribles histoires
Les Sundgauviens interrogés disent avec une touchante simplicité, en français ou en alsacien, comment, du jour au lendemain, il a fallu faire ses valises pour partir dans le sud-ouest ; comment, la peur au ventre, ils ont dû incorporer de force la Wehrmacht ; comment ils se sont retrouvés dans l’est de l’Allemagne dans un camp pour jeunes filles ; comment, aussi, ils ont survécu à l’horreur des camps de concentration. Une voix off, celle d’Émilie Messerlin, apporte juste la touche minimale de commentaires nécessaires pour suivre le fil de ces terribles histoires. Le film avait été présenté à l’époque à la Halle au Blé et plus récemment à la médiathèque du Sundgau à Altkirch et chaque fois, avait « accroché » le public par la diversité et la qualité de ses témoignages, la densité et la fluidité de son montage.

Plusieurs établissements scolaires ont, depuis, répondu à l’invitation du sous-groupe Sundgau de l’UNC : ce fut le cas durant cette année scolaire des collèges de Seppois-le-Bas, de Hirsingue et de Ferrette ainsi que du lycée Jean-Jacques Henner.

Au collège de Ferrette, la séance a été suivie non seulement par les élèves mais également par la sénatrice Catherine Troendlé et la sous-préfète, Marie-Claude Lambert, à l’invitation des professeurs et du principal, Michel Millet. Les collégiens ferrettois avaient préparé le sujet et ont posé de nombreuses questions. Ils se sont montrés intéressés et curieux. Il faut dire aussi que quelques jours avant la visite de Gérard Arnaud et Gérard Cronenberger, ils avaientt visité le camp du Struthof, une expérience toujours impressionnante et marquante.

«J’ai participé avec intérêt à cet échange avec les collégiens de Ferrette. C’est important, vis à vis de la jeunesse, de mener ce travail de mémoire et j’ai voulu témoigner de mon soutien et de mes encouragements», a expliqué la sous-préfète.

Sur l’intranet de la préfecture...
Marie-Claude Lambert a également voulu valoriser à travers les services de l’Etat le travail mené dans le Sundgau par le sous-groupe de l’UNC et l’établissement scolaire, et en a fait mention sur le site intranet de la préfecture.

Au lycée Henner, le film du sous-groupe de l’UNC illustrait une partie du programme d’histoire des élèves, intitulée « De l’État français à la Ve République ».

Mais si les lycéens ont suivi avec attention le documentaire, ils ont été plus avares de questions que les collégiens à l’issue de la projection, certains seulement osant évoquer des bribes plus ou moins confuses de souvenirs familiaux en rapport avec cette période. « À l’âge que vous avez, c’est normal, vous vous intéressez à l’avenir mais plus tard, vous y repenserez et vous voudrez savoir », les a assurés Gérard Cronenberger.

Qui a également souligné le contexte dans le quel il a oeuvré : « il y a encore dix ans, certains n’auraient pas été d’accord pour évoquer ce vécu et dans cinq, dix ans, il aurait été trop tard pour les interroger »…

Gérard Cronenberger et Gérard Arnaud poursuivront volontiers leur tournée des classes à la prochaine rentrée scolaire. Rendez-vous a d’ores et déjà été pris au lycée professionnel du Sonnenberg à Carspach.

DNA 05/07/2018


Lundi 2 Juillet 2018

Cartes d’identité.

- Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, a indiqué à la sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) qu’il allait intervenir à Berne pour que la Suisse prenne en compte les cartes d’identité françaises « facialement périmées » (dont la date d’expiration est dépassée, mais qui restent valables pour la France), ce qu’elles s’étaient engagées à faire par un accord de février 2014.

L'Alsace 01/07/2018