Archives des publications


Samedi 31 Mars 2018

Kappelen - Vie associative 5000 heures sur le terrain

image C’est à Kappelen que l’Unité Locale des Trois Frontières de la Croix Rouge a tenu son assemblée générale. Tour d’horizon des grandes missions avec Daniel Dietschin, président depuis 2012.

En 2017, les trois chefs d’intervention, la trentaine d’acteurs de l’urgence et onze logisticiens ont effectué pas moins de 68 postes, soit l’équivalent de 1656 heures sur le terrain, et 62 interventions, dont trois évacuations. Par deux fois, une délégation s’est rendue en Principauté de Monaco à l’heure des grands prix de Formule 1.

Pour autant, la formation continue n’aura en rien été négligée : 17 secouristes ont suivi les formations visant à la licence d’opérateur radio, au soutien psychologique, ou au commandement d’intervention. Quelque 90 personnes extérieures à la Croix Rouge, réparties en dix sessions, ont également été formées aux gestes du secours et à la sensibilisation à l’arrêt cardiaque. Au total, toutes actions confondues, les 100 bénévoles étaient présents plus de 5000 heures sur le terrain.

Actions sociales

Les maraudes sont effectuées à Mulhouse depuis le 1er novembre dernier et se poursuivront jusqu’au 31 mars. Par ailleurs, les secouristes ont été associés au plan grand froid activé cet hiver.

Avec deux containers situés à Village-Neuf, 5 286 kg de vêtements ont été collectés en 2017. L’équipe « Vêtements » de l’UL3F soutient une vingtaine de familles à Saint-Louis et Huningue tout au long de l’année. Avec d’autres containers situés dans les déchetteries de SLA, 286 kg de radiographies ont également été collectés. Un nouveau container sera installé à Blotzheim courant 2018.

(DNA du 31 mars 2018)


Dimanche 25 Mars 2018

Catherine Troendlé présidente de la mission commune d'information du Sénat sur la réinsertion des mineurs enfermés

La mission commune d'information du Sénat sur la réinsertion des mineurs enfermés a tenu hier sa
première réunion, au cours de laquelle elle a désigné son Bureau.
Présidée par Mme Catherine TROENDLE (LR, Haut-Rhin), vice-présidente du Sénat, la mission aura pour rapporteur M. Michel AMIEL (REM, Bouches-du-Rhône), vice-président de la commission des Affaires sociales.

Les vice-présidents désignés sont Mme Eliane ASSASSI (CRCE, Seine-Saint-Denis), présidente du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste, M. Daniel CHASSEING (Les Indépendants,Corrèze), vice-président de la commission des Affaires sociales, Mme Catherine CONCONNE (PS, Martinique), Mme Josiane COSTES (RDSE, Cantal), M. Michel FORISSIER (LR, Rhône), secrétaire de
la commission des Affaires sociales, M m e Françoise GATEL (UC, llle-et-Vilaine), secrétaire du Sénat, M me Laurence ROSSIGNOL (PS, Oise), ancienne ministre.
Créée à l'initiative du groupe La République En Marche cette mission à dresser un état des lieux de l'enfermement des et le point sur les règles juridiques applicables,
notamment l'ordonnance du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante. Elle examinera les mesures mises en oeuvre pour favoriser leur réinsertion, pendant la durée de leur période d'enfermement et à l'issue de celle-ci, avec l'objectif de formuler des propositions concrètes pour augmenter les chances de réinsertion.

Les travaux de la mission commune d'information devraient s'achever en juillet 2018.

(Le Bulletin quotidien du 25 mars 2018)


Dimanche 25 Mars 2018

Mineurs enfermés.

Catherine Troendlé, vice-présidente du Sénat (LR, Haut-Rhin), a été élue présidente de la mission d’information sur la réinsertion des mineurs enfermés. Elle examinera notamment les mesures mises en œuvre pour favoriser leur réinsertion. Les travaux de la mission commune d’information devraient s’achever en juillet 2018.

(L'Alsace & DNa du 25 mars 2018)


Dimanche 25 Mars 2018

GUEBWILLER Un nouveau cœur pour la ville

image Guebwiller inaugurait hier sa place de l’Hôtel-de-Ville rénovée, un chantier de 1,37 million d’euros s’inscrivant dans le projet global de réhabilitation de la rue de la République et de ses abords. L’objectif étant d’améliorer l’attractivité et redynamiser le centre-ville, grâce à des aménagements urbains repensés et un nouveau plan de circulation.

Un beau soleil baignait hier le parvis de la mairie de Guebwiller, où une foule nombreuse était rassemblée afin d’assister à l’inauguration officielle de la place de l’Hôtel-de-Ville. Cette cérémonie marquait ainsi l’aboutissement d’un chantier commencé en avril l’an dernier, et qui s’est achevé au mois d’octobre, offrant à la place et au centre-ville un nouveau visage. Pour rappel, les travaux ont consisté à aplanir la place en déposant l’ancien revêtement et le mobilier urbain, afin de créer une zone piétonne plus grande en pavés de pierre naturelle.

Le projet prévoyait également de réorganiser le parking, qui offre aujourd’hui 69 places, dont deux dédiées aux personnes à mobilité réduite et quatre équipées de bornes à recharge rapide pour les véhicules électriques. Plusieurs places sont également disponibles pour les motos. Enfin, une fontaine sèche, des bancs amovibles, des mâts aiguilles pour l’éclairage et des arbres disposés en « U » autour du parvis viennent compléter l’équipement de cette place, pensée pour être polyvalente et pouvoir ainsi accueillir une large gamme de manifestations.
(...)
Le maire Francis Kleitz, comme d’autres intervenants après lui, a débuté son allocution en ayant une pensée émue pour les victimes de l’attaque terroriste perpétrée vendredi dans l’Aude, citant en exemple la bravoure du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, « un véritable héros national » , a-t-il expliqué. L’élu a ensuite rappelé l’historique du chantier de la place de l’Hôtel-de-Ville, un projet de 1,4 million d’euros (lire encadré) qui marque une étape symbolique dans la revitalisation du cœur de ville. « Il s’agissait de redonner un lieu de vie et de lien à notre ville » , a lancé le maire, inscrivant la réfection de la place dans celle, plus large, de l’ensemble de la rue de la République. ((...)

(L'Alsace du 25 mars 2018)


Dimanche 18 Mars 2018

Mineurs enfermés.

Le sénateur Jacques Bigot (PS, Bas-Rhin) et sa collègue Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) ont été désignés membres d’une mission d’information relative à la réinsertion des mineurs enfermés.

(L'Alsace & DNA du 18 mars 2018)


Jeudi 15 Mars 2018

Haute-Garonne : où va l’argent de la lutte contre la radicalisation ?

Dans un département fortement touché par le terrorisme et les départs en Syrie, la préfecture de Haute-Garonne articule sa politique de prévention de la radicalisation autour de neuf associations ou établissements. Mais l'opacité demeure sur les montants alloués.

En juillet dernier, les sénatrices Esther Benbassa (EELV) et Catherine Troendlé (Les Républicains) dénonçaient le fiasco des politiques de « déradicalisation » en France. Business lucratif, associations douteuses, les reproches n’en finissaient pas : « Si l’offre de services de certaines associations dénotait la volonté de leurs responsables de contribuer à relever le défi de la prévention de la radicalisation à une échelle relativement inédite, elle traduisait également, pour nombre d’autres, la nécessité d’obtenir par cette reconversion de nouvelles ressources financières, leur budget subissant la réduction drastique des subventions publiques dans le secteur associatif depuis plusieurs années, écrivaient-elles dans un cinglant rapport d’information sur le désendoctrinement, le désembrigadement et la réinsertion des djihadistes en France et en Europe. Ce phénomène a alimenté un nouveau marché lié au secteur du terrorisme. Le recours dans l’urgence à des associations disponibles pour satisfaire une demande nouvelle des pouvoirs publics a pu conduire à des effets d’aubaine financière. » Les deux élues allaient même jusqu'à parler de « gouffre à subventions » !

Quid de la politique de « déradicalisation » en Haute-Garonne, territoire touché de plein fouet par le djihadisme ? Il existe, comme dans tous les départements, une cellule de suivi mise en place par l’État. Elle analyse les signalements transmis via le Numéro Vert du centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation, vérifie que les situations ne relèvent pas de la police ou de la justice, puis organise une prise en charge des familles et de leur proche radicalisé ou en voie de l’être. En charge de la politique de prévention de la radicalisation, la préfecture subventionne des associations via le FIPDR (Fonds interministériel de prévention de la délinquance et . . .

Emilie Lopes, 13/03/2018, Médiacité Toulouse



Mercredi 14 Mars 2018

Exonérer les pompiers de taxe sur les carburants ? Le gouvernement dit "non"

Olivier Dussopt vient d’opposer une fin de non-recevoir à la demande d’une sénatrice d’exonérer les pompiers de TICPE (taxe intérieure sur la consommation des produits énergétiques).

Intervenant au nom de la sénatrice LR du Lot-et-Garonne Christine Bonfanti-Dossat, Catherine Troendlé demandait, lors des questions au gouvernement, le 6 mars, de faire bénéficier les pompiers d’une exonération ou du remboursement partiel de la TICPE sur le gasole, au même titre que "les entreprises de collecte de lait, les taxis et les transporteurs routiers". "Sans méconnaître la qualité des Sdis, il n'est pas possible au gouvernement de répondre favorablement à votre demande d'exonération", lui a rétorqué le secrétaire d’Etat, expliquant que le "droit européen" l’en empêchait. "La hausse de la TICPE impacte l'ensemble des composantes de la société, y compris les forces armées, les forces de l'ordre et l'administration. Il n'est donc pas possible d'en exonérer les Sdis", a-t-il argué. Une réponse jugée "brutale" par Catherine Troendlé, également présidente du CNSPV (Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires) depuis quelques mois. "Le droit communautaire ? Mais il peut évoluer ! Il suffit d'une volonté gouvernementale. L'opérationnalité des Sdis est conditionnée à leurs déplacements. Sans compter qu'ils suppléent aux carences des services de santé dans de nombreux territoires : les sapeurs-pompiers sont le dernier rempart contre la désertification médicale", a fait valoir la sénatrice du Haut-Rhin.

Catherine Troendlé s’est félicitée de l’achat par l’Etat de six nouveaux bombardiers d’eau en janvier. "Mais au quotidien, ce sont les collectivités qui financent largement les Sdis. Le sujet n'est pas clos, nous devrons faire évoluer le droit communautaire."

L’argument du secrétaire d’Etat a ceci d’étonnant que la loi Montagne du 28 décembre 2016 a récemment permis d’exonérer de TCIPE et de TVA sur la TICPE les camions réalisant la collecte du lait en montagne (article 61). Le décret de cette disposition est toujours en attente.
La sénatrice a aussi souligné les difficultés financières des Sdis. Elle a rappelé que les services de secours ont fait face à une augmentation de 3,7% des interventions entre 2015 et 2016, "soit une intervention toutes les 7 secondes", une augmentation du nombre d’agressions de 17% en 2016, et dans le même temps à "une diminution de leur budget de 1,4% en 2016".

Depuis la loi de finances pour 2018, les pompiers ont toutefois un motif de satisfaction : ils n’ont plus à payer de péage lorsqu'ils empruntent une autoroute pour se rendre plus vite sur le lieu d'une intervention.

Caisse des dépôts et consignation - 13/03/2018 M.T.


Mardi 13 Mars 2018

Gérard Larcher en visite officielle à Ranspach-le-Bas, accompagné de sa Vice-Présidente Catherine Troendlé

image Après une visite officielle au centre d’intervention et de secours de Saint-Louis, la délégation de Gérard Larcher, Président du Sénat, s’est rendue à Ranspach-le-Bas. Vendredi midi, Gérard Larcher, a fait l’honneur à Catherine Troendlé, sa Vice-Présidente, de se rendre au centre de première intervention intercommunal (CPII) de Michelbach-le-Bas-Ranspach-le-Bas, village dont Catherine Troendlé a été le maire de 2001 à 2017, avant d’être frappée par le non-cumul des mandats.

La Vice-Présidente du Sénat, très impliquée dans le domaine de la sécurité civile, jouissant de sa double casquette de Présidente du Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires et de Vice-présidente de la Conférence nationale des services d’incendie et de secours (CNSIS), a été nommée membre d’une mission gouvernementale pour relancer le volontariat auprès des sapeurs-pompiers, en janvier dernier​. La mission devra rendre ses conclusions dans le courant du mois d'avril.​

La délégation a été accueillie par la nouvelle maire de Ranspach-le-bas, Sandra Muth et des membres de son conseil municipal, cette dernière a pu faire découvrir le CPII, créé en juillet 2017, comptant 27 sapeurs-pompiers volontaires (dont une femme) et 7 jeunes sapeurs-pompiers (JSP) (comptant une jeune fille), commandés par le lieutenant Frank Muller, également présent avec son adjoint Alexandre Strith.

Une séquence a été consacrée spécialement aux JSP avec une présentation d'exercices et un échange des jeunes avec le Président Larcher. Les JSP constituent un formidable vivier de recrutement de Sapeurs-Pompiers Volontaires et des pistes sont recherchées pour promouvoir encore davantage cette filière. Le Haut-Rhin se distingue par une forte implantation de section JSP dans les collèges. Le SDIS 68 est exemplaire dans son implication.

L’occasion a été donnée une fois de plus d’aborder la question du volontariat chez les jeunes avec les représentants de la Haute-Assemblée dans un département fort de plus de 5800 pompiers volontaires et 1400 JSP.

Accompagné de Catherine Troendlé, le Président du Sénat a consacré son déplacement dans le Haut-Rhin à la thématique de la sécurité civile.

(DNA du 13 mars 2018)


Mardi 13 Mars 2018

RANSPACH-LE-BAS : Le président du Sénat rencontre les pompiers du CPI



Lors de sa visite dans le Haut-Rhin, afin d’évoquer l’avenir des centres d’incendie et de secours et les enjeux du volontariat des pompiers, le président du Sénat, Gérard Larcher, a rencontré les pompiers du CPI de Ranspach-le-Bas.

Le président du Sénat, Gérard Larcher, était vendredi dans le Haut-Rhin pour une visite de terrain, à la rencontre des pompiers professionnels et volontaires ( L’Alsace du 10 mars). Il a notamment fait une halte au centre de secours principal de Saint-Louis, puis a rencontré les Jeunes sapeurs-pompiers volontaires (JSP) au centre de première intervention (CPI) de Ranspach-le-Bas.

Gérard Larcher était accompagné de sa vice-présidente Catherine Troendlé, également présidente du Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires et vice-présidente de la Conférence nationale des services d’incendie et de secours (CNSIS). Elle a été nommée membre d’une mission gouvernementale afin de relancer le volontariat auprès des pompiers. La mission rendra ses conclusions en avril prochain.

La délégation a été accueillie par la maire de Ranspach-le-Bas, Sandra Muth, et des membres de son conseil municipal. Les JSP ont présenté à cette occasion des démonstrations d’exercices de secours et ont pu échanger avec Gérard Larcher.

Les JSP constituent un vivier de recrutement de pompiers volontaires. Des pistes sont étudiées pour promouvoir davantage cette filière. Le Haut-Rhin se distingue par plusieurs ouvertures de sections JSP dans les collèges.

L'Alsace 13/09


Lundi 12 Mars 2018

Sapeurs-pompiers : le gouvernement refuse d’exonérer les SDIS de la taxe sur les carburants


Publié par la Gazette des communes - le 09/03/2018 • Par Céline Groslambert • dans : Actu experts prévention sécurité, France

Dans un contexte de baisse budgétaire pour les services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), des voix s’élèvent parmi les élus et dans les rangs des organisations syndicales pour proposer de défiscaliser le carburant destiné aux véhicules des soldats du feu. Mais le gouvernement exclut cette éventualité, arguant de la législation européenne qui limite les possibilités d’exonération de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE).
Figure de la sécurité civile, la sénatrice (LR) Catherine Troendlé, est montée au créneau le 6 mars pour les sapeurs-pompiers lors d’une intervention dans le cadre des questions au gouvernement.

La sénatrice, qui est par ailleurs présidente du Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires (CNSPV) et vice-présidente de la Conférence nationale des services d’incendie et de secours (CNSIS), a interpellé Olivier Dussopt, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Action et des comptes publics, au sujet de l’application de la taxe sur le carburant consommé par les véhicules de sapeurs-pompiers.

Fin de non recevoir gouvernemental
Soulignant le fait que « leurs missions opérationnelles ne cessent d’augmenter, avec une hausse de 3,7% des interventions entre 2015 et 2016 », Catherine Troendlé a appelé le secrétaire d’Etat à « faire un geste fort en exonérant les SDIS de la TICPE ». Pointant du doigt leurs moyens financiers en berne, elle a prévenu : « Cette dégradation est appelée à s’amplifier, étant donné que la majorité du parc matériel des SDIS est constituée de véhicules roulants alimentés en carburant diesel et que les augmentations des taxes prévues en 2018 et 2019 sont de nature à impacter fortement ces budgets déjà contraints ». Rappelant que certaines professions sont exonérées en tout ou partie de la TICPE, tels par exemple « les entreprises de collecte de lait, les taxis ou les transporteurs routiers ».

La requête a reçu une fin de non-recevoir : « Il n’est pas possible pour le gouvernement de réserver une suite favorable à votre demande », a indiqué Olivier Dussopt. En cause, « le droit européen », lequel « encadre strictement les possibilités d’exonération de la taxe sur les carburants ». Or, comme l’a souligné le secrétaire d’Etat, « les SDIS ne font pas partie de la liste limitative des possibilités d’exonération arrêtée par le droit communautaire ». « Par ailleurs », a-t-il ajouté, la majoration de la TICPE « a pour objet d’affecter, par la hausse du prix des carburants, les consommations de l’ensemble des composantes de la société, y compris les forces armées, les forces de l’ordre, les services publics et les administrations ». Pas question donc, pour les sapeurs-pompiers, d’y déroger.

Une demande pourtant largement soutenue par les élus
« Monsieur le secrétaire d’Etat, votre réponse est brutale » a répliqué Catherine Troendlé, défendant une mesure jugée salutaire pour les SDIS par de nombreux élus. En effet, cette même question au gouvernement avait précédemment été posée au Sénat par Christine Bonfanti-Dossat, sénatrice du Lot-et-Garonne, le 15 février. Puis par Edouard Courtial, sénateur de l’Oise, lequel s’adressait au ministre de l’Intérieur le 22 février, plaidant pour « une mesure de bon sens », tout en détaillant ses bénéfices potentiels : « Pour le SDIS de l’Oise, cette exonération de taxes sur le carburant représenterait l’équivalent de onze nouveaux postes de sapeurs-pompiers professionnels ou le coût d’un nouveau fourgon mousse à grande puissance, indispensable pour combattre les feux d’usines ».

Le 28 janvier, Françoise Dumont, présidente du conseil d’administration du SDIS du Var, sollicitait l’exonération des taxes sur le carburant pour les sapeurs-pompiers dans les colonnes de « Var Matin », engageant les présidents des autres SDIS de France à faire de même, et appelant au soutien des députés. « C’est autant d’argent que je m’engage à réinjecter en investissements : véhicules, reconstructions de nos casernes » déclarait-elle.

Une démarche immédiatement plébiscitée par le syndicat de sapeurs-pompiers Spasdis-CFTC, dans un courrier adressé le 1er février au Premier ministre,expliquant que « cette gratuité soulagerait les finances des SDIS mais ne constituerait pas un gros sacrifice pour l’Etat puisque cela permettrait à ces derniers de pouvoir financer le remplacement des engins et infrastructures vieillissants ».

« Le sujet n’est pas clos »
L’organisation syndicale a dans la foulée reçu une lettre de soutien émanant du cabinet du président de l’Assemblée nationale : « Votre proposition d’exonération des SDIS des taxes sur le carburant est une piste à étudier notamment dans la perspective du projet de loi de finances 2019 » mentionne le document.

L’idée a même fait l’objet d’une proposition de loi « visant à exonérer les services départementaux d’incendie et de secours de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques », déposée le 21 février à l’Assemblée nationale par le député des Alpes-Maritimes Eric Pauget et celui du Var Jean-Louis Masson, cosignée par trente-neuf de leurs pairs. Le texte précise : « La récente augmentation du prix du carburant décidée par le gouvernement vient alourdir considérablement ce poste de dépenses des SDIS ».

Si la position affichée par le gouvernement augure mal d’une issue favorable pour cette proposition de loi, Catherine Troendlé semble, pour sa part, ne pas s’en contenter. « Le sujet n’est pas clos » a-t-elle prévenu Olivier Dussopt lors de la séance au Sénat, rappelant au passage que « ce sont les collectivités qui contribuent de façon très importante au fonctionnement des SDIS, au regard de l’implication de l’Etat qui est tout de même moindre ». Et concluant : « Je pense qu’il faut absolument faire évoluer le droit communautaire en la matière, et nous pourrions le faire ensemble ». Une position réaffirmée via un communiqué de presse publié le 7 mars, dans lequel la sénatrice annonce qu’elle « entend revenir auprès du ministre ».


Dimanche 11 Mars 2018

Journée ds droits des femmes

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin), le 8 mars dernier, a estimé qu’ « un jour pour parler de la condition féminine, c’est un peu court » et qu’ « il nous faut nous approprier ce sujet tous les jours de l’année, pour que, peut-être, les statistiques s’améliorent avant la prochaine journée de la femme ! »

(L'Alsace & DNA du 11 mars 2018)


Dimanche 11 Mars 2018

Gérard Larcher au chevet des pompiers volontaires

image Saint-Louis, Ranspach-le-bas, Ottmarsheim, Meyenheim : le président du Sénat Gérard Larcher s’est livré hier à une visite de terrain comme il les affectionne, en sillonnant méthodiquement – mais au pas de charge – le département du Haut-Rhin, à l’invitation de sa collègue sénatrice (LR) Catherine Troendlé.

Principal motif de cette venue : la mission de réflexion initiée en décembre dernier à la demande du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, dans le but de promouvoir le volontariat au sein des sapeurs-pompiers. Catherine Troendlé est l’un des rapporteurs parlementaires de cette mission dont les conclusions sont attendues par le ministre pour la mi-avril… Quant à Gérard Larcher, il suit lui-même le dossier avec attention. Enfin, le choix d’une visite de terrain dans le Haut-Rhin n’est pas un hasard : cas unique dans l’Hexagone, le département conserve de nombreux corps locaux, ce qui semble y atténuer la « crise des vocations » de sapeurs-pompiers volontaires (SPV) constatée au niveau national – un problème déjà ancien, « qui va finir par devenir significatif si l’on n’y met pas bon ordre » , pour reprendre le diagnostic tout en pondération du président du sénat. Pour fixer les idées, l’Hexagone a perdu quelque 15 000 SPV entre 2004 et 2013… Et bien que cette baisse se soit un peu ralentie, il en compte désormais moins de 200 000, pour quelque 40 000 professionnels et 13 000 militaires.

« Un geste citoyen »
Objectif avoué : repasser au-dessus de ce seuil des 200 000 dans les meilleurs délais, en corrigeant d’éventuelles anomalies réglementaires. Un seul exemple, relevé hier tant par Catherine Troendlé que par Gérard Larcher : la non-reconnaissance de la formation de SPV par l’inspection du travail, alors même que celle-ci est nettement plus exigeante que celle de sauveteur secouriste du travail (SST). Enfin, le président du Sénat ne méconnaît pas les réticences de nombre d’employeurs, à l’idée d’embaucher un volontaire susceptible de brusquement filer sur une intervention de secours. « Pourtant, compter un SPV dans son entreprise, c’est aussi une richesse, un facteur de cohésion, ainsi qu’un geste citoyen » , estime Gérard Larcher.

(L'Alsace du 11 mars 2018)


Vendredi 9 Mars 2018

Quatre candidats à la présidence de Public Sénat

La commission de sélection des candidatures au poste de président de la chaîne parlementaire Public Sénat a
retenu quatre noms, dont celui du président sortant Emmanuel Kessler, a annoncé jeudi le Sénat.

Outre celle de M. Kessler dont le mandat arrive à terme le 31 mai, les candidatures de Jean-François Achilli,
journaliste politique sur France Info, Aurélie Caille, directrice générale adjointe de France Télévisions
Distribution, et Pascal Jalabert, journaliste au groupe Ebra, ont été sélectionnées.
La commission de sélection, présidée par la sénatrice Catherine Troendlé (LR), procèdera à leur audition publique le 29 mars.
La décision finale sera prise par le bureau du Sénat le 19 avril, sur proposition du président de la Haute assemblée Gérard Larcher. Le nouveau président-directeur général de la chaîne prendra ses fonctions à compter du 1er juin pour une durée de trois ans.

AFP du 8 mars


Vendredi 9 Mars 2018

Quatre candidats à la présidence de Public Sénat

Outre celle d'Emmanuel Kessler dont le mandat arrive à terme le 31 mai, les candidatures de Jean-François
Achilli, Aurélie Caille, et Pascal Jalabert ont été sélectionnées.

La commission de sélection des candidatures au poste de président de la chaîne parlementaire Public Sénat a retenu quatre noms, dont celui du président sortant Emmanuel Kessler, a annoncé jeudi le Sénat. Outre celle d'Emmanuel Kessler dont le mandat arrive à terme le 31 mai, les candidatures de Jean-François Achilli, journaliste politique sur France Info, Aurélie Caille, directrice générale adjointe de France télévision, et Pascal Jalabert, journaliste au groupe Ebra, ont été sélectionnées.

Décision finale le 19 avril. La commission de sélection, présidée par la sénatrice Catherine Troendlé (LR), procédera à leur audition publique le 29 mars. La décision finale sera prise par le bureau du Sénat le 19 avril, sur proposition du président de la Haute assemblée Gérard Larcher. Le nouveau président-directeur général de la chaîne prendra ses fonctions à compter du 1er juin pour une durée de trois ans.

Par Rédaction Europe1.fr avec AFP du 8 mars 2018


Vendredi 9 Mars 2018

Baisse du budget des sapeurs-pompiers.

Le ministère de l'Intérieur a publié les statistiques des services départementaux d'incendie et de secours (Sdis) pour l'année 2016. Ce bilan montre une augmentation
du nombre d'interventions sur l'année, malgré une baisse du budget global des Sdis et du nombre de sapeurs-
pompiers professionnels. Le budget global des Sdis connaît une baisse de 1,4% en valeur brute par rapport à 2015, pour atteindre 4,84 milliards d'euros et les investissements passent de 761 à 711 millions d'euros.
L'effectif total des sapeurs-pompiers atteint 246 800, soit une baisse de 100 professionnels par rapport à l'année précédente. Cette diminution touche principalement les sapeurs-pompiers professionnels qui ont perdu 400 effectifs.

Le nombre de sapeurs-pompiers volontaires est pour sa part en légère hausse, loin des ambitions affichées par les gouvernements successifs.
Un nouveau plan de relance du volontariat doit être présenté fin mars 2018, suite à la mission de réflexion sur l'avenir du volontariat présidée par la sénatrice Catherine Troendlé.

(Hebdo Bourse Plus du 9 mars 2018)


Vendredi 9 Mars 2018

Assainissement non collectif : subventions confirmées

Sollicitée par les communes de Bréchaumont, Bretten, Bellemagny, Éteimbes, Saint-Cosme et Valdieu-Lutran concernant un éventuel désengagement de l’Agence de l’eau Rhin-Meuse dans le financement de leurs opérations de mise en conformité des installations d’assainissement non collectif (ANC), alors qu’une convention de mandat les lie jusqu’au 31 décembre 2018, la sénatrice du Haut-Rhin Catherine Troendlé était intervenue auprès du directeur général de l’Agence, Marc Hoeltzel, afin de solliciter une entrevue en présence des six communes.

Pour la parlementaire, il convenait d’abord de souligner l’engagement de ces collectivités, « qui font le choix d’améliorer la qualité des cours d’eau traversant leurs bans et le travail important que les élus mènent auprès de leurs concitoyens pour les accompagner dans la concrétisation des travaux de réhabilitation des installations d’assainissement non collectif non conformes ».

Le directeur général de l’Agence de l’eau Rhin-Meuse a ainsi répondu aux attentes des élus des villages concernés et de la sénatrice en organisant une rencontre avec ses services sur place, le 6 mars dernier, afin de faire le point sur l’avancement des opérations groupées de réhabilitation des ANC et d’apporter des précisions sur la mise en œuvre des financements. Ainsi, pour les communes qui ont signé des conventions de mandat, le maintien du versement des subventions à hauteur de 70 % a été confirmé jusqu’au 31 décembre 2018, dans la limite du nombre d’ANC prévue dans les conventions de mandat.

L'Alsace 09/03


Dimanche 4 Mars 2018

Village-Neuf - Le calendrier de la Confrérie L’asperge pointe son nez

image Comme de tradition, la saison de la Confrérie de l’asperge débute toujours avec le choix du vin qui accompagne au mieux les asperges.

Le choix de la Confrérie s’est porté unanimement sur un pinot Blanc 2015 du Domaine Charles Baur à Eguisheim Le climat du millésime 2015 a été clément à l’exception de quelques périodes caniculaires en été. Ce Pinot Blanc est un vin élégant, sec, dominé par des arômes de fruits blancs.

Avec le retour des beaux jours, le premier piquage des asperges est annoncé pour le mois d’avril à Village-Neuf. Suivant la tradition, les membres du Grand Conseil se retrouveront le samedi 28 avril pour la matinée dédiée à l’épluchage. Le lundi 21 mai, les amateurs du légume-roi de Village-Neuf auront le loisir de s’adonner à la « Balade autour de l’Asperge », douzième du nom.

Ce même mois, la Confrérie fera son retour au cœur du Frühlingsfest à Lörrach. Toujours en avril 2018, le Grand Conseil de l’Asperge sera, à Paris, l’hôte de Catherine Troendlé, vice-présidente du Sénat, et de Jean-Luc Reitzer et Jacques Cattin, députés du Haut-Rhin. Une intronisation de parlementaires alsaciens est annoncée.

Le mardi 29 mai, place au grand Chapitre, 33e du nom. Il devrait réunir quelque 250 convives au complexe culturel de Village-Neuf. Comme par le passé, de nouveaux intronisés rejoindront la grande famille de la Confrérie de Village-Neuf.

(DNA du 4 mars 2018)


Dimanche 4 Mars 2018

Pour un référendum

Les députés Laurent Furst, Patrick Hetzel, Frédéric Reiss, Raphaël Schellenberger, Eric Straumann, les sénateurs Claude Kern, André Reichardt et Catherine Troendlé, l’eurodéputée Anne Sander, écrivent, dans une lettre au président de la République : « L’exercice de l’action politique en Alsace est aujourd’hui paralysé par cette question institutionnelle qui génère un climat délétère, qui ne va ni dans l’intérêt de la région, ni dans l’intérêt de la France. Aussi, nous vous demandons l’organisation d’un référendum dans les départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, afin de trancher définitivement cette question. »

(Ami Hebdo du 4 mars 2017)


Jeudi 1er Mars 2018

Sanctuarisation de la Politique agricole commune

« L’action des gouvernements français successifs, depuis la création de l’Europe, a toujours résolument été tournée vers l’objectif de préservation de la Politique agricole commune (PAC) » , rappellent les parlementaires – parmi lesquels les sénateurs Guy-Dominique Kennel, André Reichardt et Catherine Troendlé, tous LR, et l’UDI Claude Kern – signataires d’une tribune en faveur de la « sanctuarisation de la Politique agricole commune ».

Pour eux, « admettre que la France ne soit pas aux avant-postes de la défense budgétaire de la PAC est une faute économique et historique. Plus que jamais, la priorité doit être de porter une ambition agricole et agroalimentaire forte. »

(L'Alsace du 25 février 2018)