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Mardi 28 Novembre 2017

Les édiles au Sénat

image La tradition a été respectée. Chaque année, un sénateur du Haut-Rhin organise, pour les élus haut-rhinois présents au congrès des maires, à Paris, une visite de la Haute assemblée suivie d’un dîner.

Cette année, les invitations ont été lancées par la vice-présidente du Sénat, Catherine Troendlé (Les Républicains). Le dîner a eu lieu mercredi soir, auquel 140 édiles ont participé.






(DNA du 28 novembre 2017)


Lundi 27 Novembre 2017

Mulhouse/déradicalisation

Vingt-trois délinquants considérés comme en voie de radicalisation islamiste, mais non soupçonnés d'actes de terrorisme, ont été pris en charge avec succès dans le cadre d'un programme judiciaire de déradicalisation expérimenté dans le Haut-Rhin, ont annoncé vendredi les promoteurs de cette initiative.

Deux ans après le lancement de ce projet, on note des "indicateurs d'évolution positifs", en tout cas pour les neuf personnes qui sont allées au bout du programme individuel élaboré à leur intention, a expliqué lors d'une conférence de presse le procureur général près la cour d'appel de Colmar, Jean-François Thony. Pour les 14 autres, le suivi n'est pas terminé. Aucun des participants n'est en détention.

"On ne peut jamais dire d'une manière ferme et définitive qu'une personne est déradicalisée, mais on peut dire +il y a des signes de réinsertion+", a précisé M. Thony, évoquant une "prise de distance avec les théories du complot" ou une "reconstruction des liens familiaux".

Les individus concernés sont pris en charge pendant au moins six mois par une équipe pluridisciplinaire d'éducateurs, de psychologues ou de psychiatres. Chaque parcours est individualisé : l'un peut être amené à suivre des cours sur les théories du complot, un autre à faire un "séjour de rupture" avec des éducateurs...

"C'est une prise en charge exigeante : la personne doit honorer trois ou quatre rendez-vous et démarches par semaine, et cela peut durer un an", a souligné le procureur de Mulhouse, Dominique Alzeari.

A ceux qui douteraient de la sincérité des "déradicalisés", "je réponds que pour dissimuler (ses idées) pendant un an, toutes les semaines, il faut vraiment être un bon comédien", a commenté de son côté son homologue de Colmar, Christian de Rocquigny.

Quant à la question de savoir si une telle initiative peut être efficace alors qu'elle est imposée, le magistrat a estimé que "la contrainte permet d'amorcer la pompe, d'établir un contact, ensuite elle s'estompe".

Le programme s'adresse à des personnes ayant commis une infraction pénale. Dans certains cas, il peut s'agir de faits d'incitation à la haine ou d'apologie du terrorisme. Dans d'autres, de faits n'ayant aucun rapport avec cette problématique - comme des violences conjugales ou des dégradations - mais dont les auteurs sont "repérés" pour leurs propos extrémistes.

"On peut proposer à la personne d'échapper aux poursuites si elle se soumet au programme. On peut aussi lui imposer ce programme dans le cadre d'un contrôle judiciaire, ou bien encore dans le cadre d'une condamnation avec sursis et mise à l'épreuve", a détaillé M. Thony.

Le programme mulhousien "est immédiatement transposable à l'ensemble du territoire français", a souligné la sénatrice (LR) du Haut-Rhin, Catherine Troendlé, co-auteur en juillet dernier d'un rapport parlementaire sur la politique de déradicalisation menée en France.

Cette initiative est très peu coûteuse - de l'ordre de quelques milliers d'euros par personne suivie et par an -, loin de la "gabegie financière" qu'a représenté, selon elle, le centre controversé de Pontourny (Indre-et-Loire), qui a fermé cet été faute de résultat.

Ce projet est très similaire au dispositif Rive ("Recherche et intervention sur les violences extrémistes"), dévoilé début novembre par la ministre de la Justice Nicole Belloubet. Expérimenté depuis un an dans le plus grand secret, il concerne actuellement 14 personnes.

Le gouvernement doit présenter d'ici à début janvier "une quinzaine de plans de lutte contre la radicalisation", a précisé mi-novembre le président Emmanuel Macron.

Mulhouse, France | AFP | vendredi 24/11/2017 - 19:53 UTC+1 | 557 mots


Lundi 27 Novembre 2017

Des résultats jugés « positifs » pour un programme de déradicalisation expérimenté en Alsace

Pour les neuf personnes qui sont allées au bout de ce programme « très peu coûteux » selon la sénatrice du Haut-Rhin, des « indicateurs d’évolution positifs » ont été notés.

Vingt-trois délinquants considérés comme étant en voie de radicalisation islamiste, mais non soupçonnés d’actes de terrorisme, ont été pris en charge avec succès dans le cadre d’un programme judiciaire de déradicalisation expérimenté dans le Haut-Rhin, ont annoncé les promoteurs de cette initiative vendredi 24 novembre.

Deux ans après le lancement de ce projet, on note des « indicateurs d’évolution positifs », en tout cas pour les neuf personnes qui sont allées au bout du programme individuel élaboré à leur intention, a expliqué le procureur général près la cour d’appel de Colmar, Jean-François Thony, lors d’une conférence de presse. Pour les quatorze autres, le suivi n’est pas terminé. Aucun des participants n’est en détention.

Les individus concernés sont pris en charge pendant au moins six mois par une équipe pluridisciplinaire d’éducateurs, de psychologues ou de psychiatres. Chaque parcours est individualisé : l’un peut être amené à suivre des cours sur les théories du complot, un autre à faire un « séjour de rupture » avec des éducateurs…

« On ne peut jamais dire d’une manière ferme et définitive qu’une personne est déradicalisée, mais on peut dire “il y a des signes de réinsertion” », a précisé M. Thony, évoquant une « prise de distance avec les théories du complot » ou une « reconstruction des liens familiaux ».

« C’est une prise en charge exigeante : la personne doit honorer trois ou quatre rendez-vous et démarches par semaine, et cela peut durer un an », a souligné le procureur de Mulhouse, Dominique Alzeari.

A ceux qui douteraient de la sincérité des « déradicalisés », « je réponds que pour dissimuler [ses idées] pendant un an, toutes les semaines, il faut vraiment être un bon comédien », a commenté son homologue de Colmar, Christian de Rocquigny.

Quant à la question de savoir si une telle initiative peut être efficace alors qu’elle est imposée, le magistrat a estimé que « la contrainte permet d’amorcer la pompe, d’établir un contact, ensuite elle s’estompe ».
« Transposable à l’ensemble du territoire »

Le programme s’adresse à des personnes ayant commis une infraction pénale. Dans certains cas, il peut s’agir de faits d’incitation à la haine ou d’apologie du terrorisme. Dans d’autres, de faits n’ayant aucun rapport avec cette problématique – comme des violences conjugales ou des dégradations – mais dont les auteurs sont « repérés » pour leurs propos extrémistes.

« On peut proposer à la personne d’échapper aux poursuites si elle se soumet au programme. On peut aussi lui imposer ce programme dans le cadre d’un contrôle judiciaire, ou bien encore dans le cadre d’une condamnation avec sursis et mise à l’épreuve », a détaillé M. Thony.

Le programme mulhousien « est immédiatement transposable à l’ensemble du territoire français », a assuré la sénatrice Les Républicains du Haut-Rhin, Catherine Troendlé, co-auteur en juillet dernier d’un rapport parlementaire sur la politique de déradicalisation menée en France.

Cette initiative est très peu coûteuse – de l’ordre de quelques milliers d’euros par personne suivie et par an –, loin de la « gabegie financière » qu’a représenté, selon elle, le centre controversé de Pontourny, en Indre-et-Loire. Il a fermé cet été faute de résultat.

Ce projet est très similaire au dispositif Rive (« Recherche et intervention sur les violences extrémistes »), dévoilé début novembre par la ministre de la Justice Nicole Belloubet. Expérimenté depuis un an dans le plus grand secret, il concerne actuellement 14 personnes alors que le gouvernement doit présenter d’ici à début janvier « une quinzaine de plans de lutte contre la radicalisation », a précisé mi-novembre le président Emmanuel Macron.


(Le Monde.fr avec AFP du 24.11.2017 à 23h39)


Samedi 25 Novembre 2017

Le coup de gueule de Catherine Troendlé

Plusieurs élus haut-rhinois ont assisté à la conférence de presse d’hier matin, dont les sénateurs Jean-Marie Bockel (UDI) et Catherine Troendlé (LR). Très investie sur ce sujet, Mme Troendlé a en particulier été rapporteur, avec sa collègue Esther Benbassa (EELV), d’une récente mission d’information parlementaire consacrée au désendoctrinement des djihadistes européens ( L’Alsace du 14 juillet).

La voici qui prend aujourd’hui fait et cause pour le programme mulhousien, dont elle vante l’efficacité, ainsi que la modicité (3 000 € par personne suivie, au maximum) : « 100 millions d’euros ont été saupoudrés en trois ans auprès de diverses associations. Une vraie gabegie, alors que l’expérience mulhousienne, elle, a fait ses preuves, avec peu de moyens. »

Pourquoi ce coup de gueule ? Tout simplement parce que la sénatrice s’inquiète d’une récente découverte : « Dans la plus grande discrétion, depuis plusieurs mois, les services du ministère de la Justice ont développé le projet Rive (Recherches et intervention sur les violences extrémistes), qui répond exactement aux mêmes objectifs que le programme de Mulhouse. Il n’est pas concevable que celui-ci ne soit pas pris en considération dans le grand Plan national contre la radicalisation que le président de la République doit présenter en décembre. »

Catherine Troendlé et Esther Benbassa ont récemment plaidé dans le même sens, auprès de la garde des Sceaux, qui les a reçues place Vendôme.

(L'Alsace & DNA du 25 novembre 2017)


Dimanche 19 Novembre 2017

EuroAiport/Accord fiscal

Accord sur la fiscalité dans l’enceinte de l’EuroAirport de Bâle-Mulhouse, adopté par le Sénat :

« Malgré le fait que cet accord soit des plus pragmatiques, il est toutefois nécessaire de rester attentif à sa mise en application » , nuance pour sa part la sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin).


Dimanche 12 Novembre 2017

Au Parlement

Fiscalité. – Les sénateurs du Haut-Rhin René Danesi et Catherine Troendlé (LR) ont écrit aux maires, conseillers régionaux et départementaux pour les informer de leur combat contre la baisse de 17 % du fonds départemental de péréquation de la taxe professionnelle prévue dans le budget 2018. Ils ont alerté le rapporteur général du budget au Sénat, Albéric de Montgolfier (LR, Eure-et-Loire).

Fessenheim. – « La raison doit guider au maintien de l’activité de la centrale nucléaire de Fessenheim » , juge le député Raphaël Schellenberger (LR, Haut-Rhin) après l’annonce faite par Nicolas Hulot du report de l’objectif de baisse de la part du nucléaire à 50 % dans la production d’électricité. La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) lui a demandé des précisions sur les modalités de reconversion de Fessenheim, qui doit fermer avec l’ouverture de l’EPR de Flamanville : « Pourquoi partir d’une page blanche alors que votre prédécesseur avait déjà travaillé sur la reconversion ? »

(L'Alsace & DNA du 12 novembre 2017)


Samedi 11 Novembre 2017

CA de Public Sénat

Le Bureau du Sénat a indiqué jeudi que le conseil d’administration de la chaîne parlementaire Public Sénat avait été porté à 12 membres nommés pour un mandat de 3 ans afin que chaque groupe parlementaire y dispose d’un
représentant. Le Bureau a ainsi nommé, sur propositions des présidents des groupes : David Assouline, pour le groupe Socialiste et républicain, Josiane Costes pour le groupe Rassemblement Démocratique et Social Européen, Cécile Cukierman pour le groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste, André Gattolin pour le groupe La
République En Marche, Alain Joyandet, pour le groupe Les Républicains, Michel Laugier, pour le groupe Union
centriste et Colette Mélot pour le groupe Les Indépendants – République et territoires. En outre, 3 sièges sont réservés à des membres de droit : Catherine Troendlé, vice-présidente du Sénat chargée des relations avec la chaîne parlementaire, Vincent Capo-Canellas, questeur et Emmanuel Kessler, président-directeur général de Public Sénat.
Enfin, deux personnalités qualifiées avaient été désignées par le Bureau en 2016 : Pascal Perrineau et Haude d’Harcourt.

(CBNEWS.FR, 9 novembre 2017)


Mardi 7 Novembre 2017

Attenschwiller - Communauté d’agglomération Un second centre technique

image Après un an de travaux, Saint-Louis Agglomération dispose désormais d’un second centre technique. Implanté à Attenschwiller, il a été inauguré samedi dernier.

Les élus coupent le ruban. Le deuxième centre technique de Saint-Louis Agglomération est inauguré au terme d’une année de chantier. PHOTO DNA - P.M. Les élus coupent le ruban. Le deuxième centre technique de Saint-Louis Agglomération est inauguré au terme d’une année de chantier. PHOTO DNA - P.M.
Le projet avait été initié par l’ancienne Communauté de communes de la Porte du Sundgau. « Il répondait au besoin de regrouper en un seul lieu les différents moyens techniques », souligne Catherine Troendlé. Lors de l’inauguration samedi matin, l’élue s’est même souvenue de « cette époque où un minibus était nécessaire pour récupérer les machines-outils disséminées un peu partout dans nos villages. »

Une surface de 780 m²

Le projet a été repris par Saint-Louis Agglomération lors de la fusion des trois communautés. Pour son président, Alain Girny, le nouveau centre « vient compléter celui implanté dans la ZA de Village-Neuf ». Surtout, « il entre dans le cadre de notre politique de décentralisation, afin de favoriser la proximité. »

Implanté dans la ZA "Les Forêts", d’une surface totale de 780 m², le nouveau centre comporte un bureau, un local social, des locaux techniques et de rangements, un espace archives, un atelier équipé d’aires de travail et de stockage, ainsi qu’un carport dédié au stationnement des véhicules de service. Des espaces verts sont situés à l’arrière du bâtiment.

Pour l’énergie renouvelable

« Sa mission sera d’assurer la maintenance des bâtiments, des voiries, des pistes cyclables et des sentiers pédestres », souligne Jacques Ginther, vice-président de Saint-Louis Agglomération. Deux agents de maintenance seront affectés au bâtiment à cet effet.

La conseillère régionale Christelle Willer, quant à elle, elle a salué « la pose de panneaux photovoltaïques sur le toit », en mettant en avant « l’aspiration de notre société d’aspirer à des modes de vie plus écologiques

(DNA du 7 novembre 2017)


Mardi 7 Novembre 2017

Justice/Troendlé plaide en faveur du maintien de la cour d’appel de Colmar

La sénatrice Catherine Troendlé a indiqué hier dans un communiqué être intervenue « auprès de la garde des Sceaux afin de lui faire part de ses plus vives inquiétudes quant au devenir de la cour d’appel de Colmar ». Elle ajoute avoir plaidé « en faveur du maintien de la cour d’appel de Colmar et de l’ensemble de ses compétences, juridiction indispensable à la bonne marche de la justice dans notre région.

(L'Alsace du 3 novembre 2017)


Mardi 7 Novembre 2017

Gens du voyage.-

Gens du voyage.- Un amendement de la sénatrice Dominique Estrosi-Sassone, cosigné par Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) et Guy-Dominique Kennel (LR, Bas-Rhin), a été adopté sur la proposition de loi tendant à soutenir les collectivités territoriales et leurs groupements dans leur mission d’accueil des gens du voyage. Il vise à soutenir les collectivités territoriales en proposant de comptabiliser aux taux de logements locatifs sociaux les emplacements des aires permanentes d’accueil des gens du voyage.

(L'Alsace t DNA du 5 novembre 2017)


Mercredi 1er Novembre 2017

La Ronde des fêtes à Kintzheim

image La Ronde des fêtes a célébré ses 35 ans d’existence samedi à la Confrérie Saint-Etienne, à Kientzheim. Quelque 150 invités, dont de très nombreux élus, organisateurs et bénévoles des 60 manifestations au programme de l’association ont assisté à une dégustation solennelle, commentée par cinq grands conseillers dont Pascal Schultz, grand maître 2017 et vice-président de la Ronde des fêtes.

Roland Simon, président fondateur de la Ronde des fêtes, a reçu la médaille d’argent du Sénat des mains de Catherine Troendlé, vice-présidente du Sénat, et a été fait conseiller d’honneur de la Confrérie, avec cinq autres personnalité.

(L'Alsace du 30 octobre 2017)