Lundi 30 Octobre 2017

Public Sénat

Vice-présidente du Sénat, Catherine Troendlé (LR) a obtenu la délégation à la communication de la Haute chambre et de la chaîne parlementaire Public Sénat.

(DNA du 30 octobre 2017)


Dimanche 29 Octobre 2017

SÉNAT/ CAtherine Troendlé : « Ne pas prendre les Alsaciens en otage »

Catherine Troendlé, vice-présidente du Sénat et présidente des Républicains du Haut-Rhin, revient sur une rentrée très agitée pour son parti.

Quel bilan tirez-vous des dernières élections ?

Emmanuel Macron a été élu face aux extrêmes que je combats et avec lesquels il n’y a pas de rapprochement possible. Pour autant, nous devons reconnaître que nous sommes un parti de droite, avec des valeurs de droite : le travail, la famille, l’effort, le mérite, l’autorité et le respect. On peut les décliner de manière beaucoup plus digne que les partis extrémistes. Nous n’avons pas répondu aux attentes des Français. Nous n’avons pas eu le courage de mettre en œuvre des réformes dont certaines ont été reprises par Emmanuel Macron. Je pense à l’Éducation nationale sur laquelle je n’ai aucune critique à émettre. Le président de la République est en revanche léger sur la famille… Le traitement qu’il réserve aux Armées et aux collectivités locales me choque également – et le matraquage fiscal des retraités est inacceptable !

Fallait-il exclure les Constructifs ?

Je respecte Bruno Le Maire qui a quitté le parti – il assume ainsi sa traîtrise. Qu’Édouard Philippe, Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu en fassent de même. Je suis très en colère contre la traîtrise absolue de Thierry Solère ! Il a créé son groupe des Constructifs et utilisé les centristes comme tremplin pour obtenir la questure de l’Assemblée. Il a manipulé tout le monde… Ils se sont exclus eux-mêmes des Républicains. Les sanctions sont attendues par les militants.

Soutiendrez-vous Laurent Wauquiez ? Et si oui, n’est-il pas trop clivant ?

Je n’ai parrainé personne. J’ai appelé Laurent Wauquiez pour lui dire que je serai à ses côtés. Mais ce soutien verbal n’est pas un blanc-seing. Nous sommes une famille politique au sein de laquelle il peut y avoir différentes personnalités et points de vue. Je lui fais confiance mais je resterai vigilante pour que chacun trouve sa place.

Comment voyez-vous l’avenir de l’Alsace ?

Il ne faut pas reproduire les erreurs du passé, c’est-à-dire laisser la place à tous les autonomistes qui cristallisent les peurs. Nous devons répondre aux attentes des Alsaciens en faisant en sorte que l’ancienne région Alsace continue d’être un fer de lance dans l’économie, les relations internationales et l’enseignement des langues. Il ne suffit pas de scander « l’Alsace libre » , c’est aux Alsaciens eux-mêmes de cultiver leurs racines.

Quelle alternative prônez-vous ?

Dans un premier temps, je milite pour la fusion des départements – elle est possible rapidement. Il ne faut plus raisonner en termes de Bas-Rhin et de Haut-Rhin, mais à l’échelle alsacienne. La proposition de loi déposée par des députés alsaciens [le retour aux anciennes régions après référendum, NDLR] a un sens et elle tient juridiquement la route. Mais la clé appartient au gouvernement et particulièrement au président de la République. Un groupe de travail a été constitué. Laissons la place à la concertation. L’Alsace a besoin d’un traitement particulier, dans la sérénité et non par à-coups. Les Alsaciens ne doivent être pris en otage.

Comment concevez-vous le rôle du Sénat aujourd’hui ?

Le Sénat a toujours été une chambre de réflexion avec un fonctionnement moins politique que l’Assemblée nationale. Nous assistons à une multiplication des partis et des tendances. Au Sénat, nous avons toujours voté les dispositions qui se rapprochaient le plus de nos idées, avec une volonté de ne pas être inféodés aux partis. Le Sénat a adopté une position plus frontale sous François Hollande en raison de réformes estampillées très à gauche. Aujourd’hui, il y a des dispositions qui nous conviennent, d’autres qui nous heurtent.

Que pensez-vous du projet d’Emmanuel Macron de réduire d’un tiers le nombre de parlementaires ?

Les Français souhaitent des modifications de nos institutions. On peut baisser le nombre des parlementaires à condition de leur donner davantage de moyens. Je suis totalement opposée à un scrutin régional à la proportionnelle. Il nous couperait de notre mission première qui est de représenter les territoires. Cette diminution du nombre d’élus ne doit pas non plus être un alibi pour ceux qui veulent supprimer le Sénat. Le bicamérisme est un gage pour la démocratie.

(L'Alsace & DNA du 29 octobre 2017)


Vendredi 27 Octobre 2017

Village-Neuf/Marcel Wisslé, un bénévole émérite

Affichant 43 ans au sein de l’AAPPMA de Village-Neuf, Marcel Wisslé s’est vu remettre la médaille d’honneur du bénévolat associatif par Max Delmond, vice-président du conseil départemental.

Ayant intégré le conseil d’administration de la société de pêche en 1974, il est nommé vice-président en 1987.

Toujours présent et sachant donner l’impulsion nécessaire à ses pairs, Marcel assure l’entretien de l’étang, « soit plusieurs kilomètres pour la tonte », relève le président Éric Reibel. Il veille à la propreté des lieux et prend part aux différents travaux du refuge.

Assistant le président lors des réunions avec la fédération, il est également sur le pont à chaque manifestation, interne ou organisée par la commune. En fin pédagogue, il intervient régulièrement au sein de l’école de pêche ainsi qu’aux animations jeunesse et de l’IME.

Catherine Troendlé, maire de Ranspach et vice-présidente du sénat, a souligné les compétences reconnues du récipiendaire. « Une médaille, c’est sortir quelqu’un du rang pour le mettre en exemple », dira le député Jean-Luc Reitzer. Et cette médaille-là n’est décernée qu’à quatre personnes par an, « c’est ce qui en fait sa valeur », conclura Max Delmond.

(L'Alsace du 25 octobre 2017)


Vendredi 27 Octobre 2017

Délégation

Le bureau du Sénat installe ses huit délégations Bulletin.
La question de la diffusion des séances de questions d'actualité au gouvernement sur Public Sénat sera le premier chantier de la vice-présidente (LR, Haut-Rhin) du Sénat Catherine TROENDLE, qui prend en charge la délégation Communication et Public Sénat.

(Le Bulletin quotidien du 27 octobre 2017)


Lundi 23 Octobre 2017

Saint-Louis/L'histoire, c'est rasoir....

Les sociétés d’histoire de la région frontalière occupent le Forum, à Saint-Louis, jusqu’à ce soir.

Pour leur grand rassemblement, les historiens locaux ont décidé de mettre en avant les métiers d’antan.
Quitte à les incarner en chair et en os, comme cet ancien coiffeur qui, pour l’occasion, a dépoussiéré des rasoirs presque séculaires (et des têtes grisonnantes).
(...)

(L'Alsace et les DNA du 22 octobre 2017)












Dimanche 22 Octobre 2017

Passeports

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a demandé au ministre de l’Intérieur que le nombre de stations biométriques soit augmenté pour le traitement des cartes nationales d’identité et des passeports biométriques.

(L'Alsace & DNA du 21 octobre 2017)


Dimanche 15 Octobre 2017

Le 70e anniversaire des pompiers

Après la messe du souvenir des anciens, célébrée sous le chapiteau par le curé-doyen Vincent Fréchin, la foule s’est rassemblée sur la place de la mairie à Illtall. Les soldats du feu des environs, du centre de secours de Waldighoffen et les vétérans ont répondu à l’invitation, tout comme une pléiade d’élus : la sénatrice et vice-présidente du sénat Catherine Troendlé, Laurent Wendlinger, conseiller régional, Pascale Schmidinger, suppléante du député Reitzer, Brigitte Klinkert, présidente du conseil départemental, les conseillers départementaux Sabine Drexler et Nicolas Jander. Étaient également présents le lieutenant-colonel Gilles Triballier du SDIS, les commandants Roland Peter, Christian Brunner, Hervé Allemann, Serge Renger, Christian Demark, Étienne Grienenberger, le capitaine Philippe Klocker, chef du centre de Waldighoffen, le lieutenant Christophe Scholler de Hirsingue, les chefs de corps des CPI voisins, le drapeau et sa garde, les maires honoraires, les maires des villages voisins, le juge honoraire Germain Sengelin et les habitants.(...)

(L'Alsace du 15 octobre 2017)



Dimanche 15 Octobre 2017

Pompiers volontaires

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin), présidente du Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires, a participé à leur 124e congrès à Ajaccio, du 11 au 14 octobre.
Elle y a notamment mis l’accent sur « le besoin d’inventivité pour les mesures incitatives à créer afin de valoriser le recrutement des sapeurs-pompiers par les employeurs publics ».

(DNA du 15 octobre 2017)


Lundi 9 Octobre 2017

Les Alsaciens se placent au Palais du Luxembourg

Organisation du Sénat.- Plusieurs sénateurs alsaciens ont été élus à des postes importants de la Haute Assemblée ou de ses groupes politiques, après le renouvellement du 24 septembre. Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a été élue vice-présidente du Sénat et Guy-Dominique Kennel (LR, Bas-Rhin) a été élu secrétaire du Sénat ( L’Alsace de jeudi).
(...)

(L'Alsace & DNA du 9 octobre 2017)


Lundi 9 Octobre 2017

EuroAirport.

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) s’est vu confirmer que le projet de loi de ratification de l’accord binational relatif à la fiscalité de l’Euro-Airport de Bâle/Mulhouse était inscrit à l’ordre du jour du Sénat pour le jeudi 9 novembre. L’objectif étant que l’entrée en vigueur de cet accord se fasse en fin d’année.

(L'Alsace & DNa du 9 octobre 2017)


Jeudi 5 Octobre 2017

POLITIQUE/Catherine Troendlé vice-présidente du Sénat

La Haut-Rhinoise Catherine Troendlé fait partie du nouveau bureau qui assistera Gérard Larcher (LR), réélu lundi pour un troisième mandat à la présidence du Sénat.

Ce bureau, composé de 26 membres avec le président du Sénat, est renouvelé tous les trois ans, après chaque renouvellement partiel. Il est constitué de manière à ce que chaque groupe politique soit représenté selon son importance numérique. Les trois groupes les plus nombreux se sont vus ainsi attribuer chacun deux postes de vice-présidents, sur huit.

Catherine Troendlé a été désignée par le groupe Les Républicains, qui a également adoubé Philippe Dallier (Seine-Saint-Denis), ce dernier devenant premier vice-président.
Le groupe PS a de son côté donné les noms de Marie-Noëlle Lienemann (Paris) et David Assouline (Paris). Le groupe centriste a proposé Valérie Létard (Nord) et Vincent Delahaye (Essonne). Les deux derniers postes vont, l’un à LREM, avec Thani Mohamed Soilihi (Mayotte), et l’autre au RDSE, avec Jean-Marc Gabouty (Haute-Vienne). Les trois postes de questeurs sont attribués à Vincent Capo-Canellas (centriste, Seine-Saint-Denis), Bernard Lalande (PS, Charen-te-Maritime) et Rémy Pointereau (LR, Cher). Parmi les douze secrétaires, on trouve notamment le Bas-Rhinois Guy-Dominique Kennel (LR), ainsi que Mireille Jouve (RDSE), sénatrice des Bouches-du-Rhône (...)

(L'Alsace du 5 octobre 2017)