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Mardi 29 Novembre 2016

POLITIQUE François Fillon rafle la mise

Sans grande surprise, les électeurs sundgauviens ont (eux aussi) porté leur choix sur François Fillon lors du second tour de la primaire ouverte de la droite et du centre, dimanche. Un scrutin qui aura largement mobilisé dans le secteur.

Avec plus de 7000 votants dans toute la circonscription d’Altkirch-Saint-Louis pour ce seul second tour, la primaire de la droite et du centre aura déjà réussi son pari : celui de mobiliser les électeurs… tout en préparant la bataille de 2017.

Rien que dans le Sundgau, ils ont été près de 3700 à se rendre aux urnes, dimanche dernier. Une participation toutefois en léger recul par rapport au premier tour et ses 3951 votants. Comme pour le premier tour, sept communes du secteur accueillaient en tout 12 bureaux de vote : Altkirch, Illfurth, Ferrette, Dannemarie, Hirsingue, Seppois-le-Bas et Waldighoffen.

Des scores sans appel

Comme au niveau national, point de renversement de tendance : dans le Sundgau, François Fillon était déjà arrivé largement en tête au soir du 20 novembre, avec plus de 46,2 % des suffrages, loin devant Nicolas Sarkozy (29,7 %) et Alain Juppé (20, 5 %). Face à Juppé seul, la « vague » Fillon a littéralement déferlé dans les urnes du Sundgau. L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy a affolé les compteurs dans chacun des bureaux de vote, flirtant voire dépassant les 75 %. Sur l’ensemble de la circonscription, François Fillon a recueilli exactement 5461 voix (soit près de 78 %) contre à peine 1527 pour le maire de Bordeaux. À Altkirch, où le député-maire Jean-Luc Reitzer avait pourtant appelé à voter Juppé, Fillon dépasse son adversaire de plus de 500 voix (il en totalise 727, contre 233 pour Juppé) en s’adjugeant plus de 77 % des voix, excusez du peu !

Le Sundgau, nouveau fief filloniste…

L’épreuve du scrutin et de ses divisions passée, chacun aux Républicains appelle aujourd’hui à serrer les rangs en vue de 2017. Seul mot d’ordre : tous derrière Fillon. De cette primaire reste en tout cas, pour la sénatrice LR Catherine Troendlé, « une véritable réussite en matière de participation ».
De quoi conférer « une légitimité sans conteste » au nouveau champion de la droite. « Il nous faut nous tourner résolument vers l’avenir afin d’aborder, avec conviction et détermination, les échéances futures, a réagi la parlementaire. Dans cette perspective, la fédération départementale va se mobiliser avec tous ses militants rassemblés désormais derrière François Fillon. » (...)

(L'Alsace du 29 novembre 2016)


Mardi 29 Novembre 2016

Catherine Troendlé, présidente des Républicains du Haut-Rhin : « Fillon a transformé l’essai"

Catherine Troendlé, présidente des Républicains du Haut-Rhin :
« Fillon a transformé l’essai.
Il nous faut nous tourner résolument vers l’avenir afin d’aborder, avec conviction et détermination, les échéances futures. Je le félicite pour la force de conviction et de rassemblement dont il a su faire preuve. »

(DNA du 29 novembe 2016)


Mardi 29 Novembre 2016

Politique - Primaire de la droite et du centreFillon bouleverse la donne en Alsace

Les électeurs alsaciens du second tour, un peu plus nombreux qu’au premier, ont accentué de façon appuyée leur préférence pour François Fillon. La droite classique y a sans doute eu l’appoint des orphelins de la démocratie chrétienne.

Les scrutins voulus par la droite, dans leurs résultats alsaciens, se suivent et ne se ressemblent pas. En 2012, les Républicains encartés, à l’époque dans l’UMP, avaient mis François Fillon un peu devant Jean-François Copé pour la présidence de leur mouvement : 54,5 % en Alsace, mais seulement 49,47 % dans le Bas-Rhin.

Dimanche dernier, la droite élargie qui a voté à la primaire a abandonné Copé (0,26 %), mais a totalement plébiscité Fillon (47,08 %). Puis, ce dimanche, elle l’a couronné : il frôle en Alsace les 72 %.

Alain Juppé retrouve ses voix du 1er tour

Le Haut-Rhin place l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy nettement plus haut que le Bas-Rhin. Il y a là un « effet Colmar », dans la ville dont le maire, Gilbert Meyer, était un soutien de Fillon, mais il y a aussi une certaine fidélité : en 2012, c’est dans le Haut-Rhin que Fillon avait viré en tête devant Copé. Sur l’ensemble des scrutins, la Haute-Alsace a toujours tendance à voter plus à droite que son voisin bas-rhinois.

Le corps électoral, entre les deux tours de la primaire, a un peu bougé. Mais globalement, les reports de voix de premier tour de Nicolas Sarkozy (20,75 %) et Bruno Le Maire (3,26 %) se sont bien faits sur le vote Fillon. Alain Juppé retrouve globalement ses voix du premier tour, augmentées d’un pourcentage correspondant peu ou prou à celles de Nathalie Kosciusco-Morizet (2,62 %). Il est mieux placé dans le Bas-Rhin que dans le Haut-Rhin, conséquence sans doute d’un vote Juppé urbain dans l’Eurométropole, notamment dans certains quartiers de Strasbourg et à Schiltigheim.
À l’exception de quelques bureaux de vote urbains atypiques (lire ci-dessous), le vote Fillon est en tête dans l’ensemble du territoire alsacien. Son apogée est à Drulingen, avec 87 % des suffrages ; 83 % à Ranspach-le-Bas.

La circonscription de Saverne, dont son fidèle soutien Patrick Hetzel est député, lui a offert 77 % de ses voix. Le Sundgau a voté Fillon à près de 78 % dans une circonscription d’Altkirch-Huningue dont le député Jean-Reitzer avait pourtant soutenu Alain Juppé. C’est l’effet de la ruralité combiné à l’ancrage des sénateurs sarkozystes locaux que sont Catherine Troendlé et René Danesi. (...)

(DNA du 29 novembre 2016)


Mardi 29 Novembre 2016

Primaire de la Droite et du Centre/La réaction de Catherine Troendlé

Catherine Troendlé, sénatrice LR du Haut-Rhin :
« Pour le parti Les Républicains, c’est une réussite en matière de participation vers une légitimité sans contestation du candidat arrivé en tête de ce deuxième tour.
Il nous faut maintenant nous tourner résolument vers l’avenir afin d’aborder, avec conviction et détermination, les échéances futures rassemblés derrière François Fillon. ».

(L'Alsace du 29 novembre 2016)


Lundi 28 Novembre 2016

Sécurité civile/Rapport adopté à l'unanimité

Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a présenté son rapport pour avis sur le budget Sécurité civile pour 2017 en commission des lois au Sénat.
Il a été adopté à l’unanimité.
Elle a présenté les trois chantiers majeurs en la matière : planification nationale en cas d’accident nucléaire majeur, nouveau système d’alerte et d’information de la population déployé en 2016 et le taux des SDIS équipés de terminaux Antarès.

(DNA du 28 novembre 2016)


Lundi 28 Novembre 2016

Alcool : Catherine Troendlé obtient une réponse écrite.

La sénatrice Catherine Troendlé (LR) a posé une question écrite au ministère de la Santé pour s’inquiéter d’un rapport de la Cour des comptes « qui recommande de mettre en œuvre des actions ciblant l’ensemble de la population, visant à lutter contre les excès de consommation d’alcool mais d’en faire baisser la consommation moyenne ».

Le ministère a répondu : « La Direction générale de la santé s’est associée à la Milde-ca [Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives] pour saisir l’Inserm, afin de disposer d’une revue de l’état des connaissances scientifiques sur les dommages sanitaires et sociaux associés à l’alcool, assortie de recommandations pour la prévention et le soin ».

(L'Alsace du 27 novembre 2016)


Lundi 28 Novembre 2016

rapport préoccupant

«L'assurance de recevoir des soins urgents que leur état requiert est l'une des principales préoccupations de nos concitoyens, tout particulièrement ceux des zones rurales désertées par les praticiens libéraux », notent, dans leur rapport sur le secours à personnes, les sénateurs Pierre-Yves Collombat et Catherine Troendlé.
Si,sur le papier,les compétences sont bien réparties entre Sdis (service départemental d'incendie et de secours) et Samu,la réalité est autre. Les rapporteurs soulignent que 76% des interventions des pompiers sont
motivées par du secours à personnes, qui ne relève pas de leur coeur de mission. Surtout, ils sont trop souvent sollicités pour faire du transport sanitaire à la place d'ambulances X eû appela, ou 18 et au 15 manquent
de coondination privées. Or, ces interventions, en général non urgentes, plombent le budget des Sdis, alimenté par la fiscalité locale. Les sénateurs
préconisent donc de réunir sur un même plateau les appels arrivant au 18 (numéro des pompiers) et au 15(Samu), pour assurer une «meilleure coordination»-, de réduire de 3 à
2 personnels l'équipage des ambulances de pompiers appelés pour du transport sanitaire, ou encore
de mieux associer les services hospitaliers et de la Sécurité civile dans l'élaboration des schémas de couverture des risques. Des propositions qui s'ajoutent à
celles d'autres rapports publiés ces dernières
années (Cour des comptes, par exemple).
La qualité des secours se dégraderait-elle ?
Officiellement, aucun indicateur ne permet de le dire. Mais des acteurs de terrain apportent un autre éclairage. Comme ce pompier du Grand Lyon : «L'autre jour, un engind e la caserne de Lyon centre a dû partir sur une intervention gaz à Givors, à 40 minutes de route. Aucun n'était disponibles plus près. Faute d'effectijs, cela arrive plus souvent qu'avant. »

Les pompiers sont sollicités pour des tâches qui ne relèvent pas toujours de l'urgence.

(Que Choisir 1er décembre 2016)


Dimanche 27 Novembre 2016

Village-Neuf - Coopération transfrontalière La dernière pierre

image Paul-André Weber a oeuvré d’arrache-pied à la construction européenne. Par son combat, il a notamment initié et accompli le lancement d’un pont sur le Rhin, au Palmrain. Hier, la dernière pierre de l’édifice a été posée, une stèle en fait érigée sur l’ancienne plateforme douanière, à la mémoire du faiseur de ponts disparu en juillet dernier.

Aujourd’hui, c’est peut-être davantage la construction de murs qui retient l’attention, de par le monde. De préférence hauts, bardés de fer et réputés inviolables. Vu le contexte, il est bon de rappeler qu’avant que certains ne soient tentés de se claquemurer, des bâtisseurs ouverts et passionnés ont réussi à poser des ponts, notamment entre les deux rives d’un fleuve jadis frontière, jalons d’une construction européenne vertueuse (avant de se faire occulter par un voile tout technocratique), témoins d’une vision de la paix garantie par l’essor d’une âme européenne.

La paix a néanmoins eu ses batailles mémorables… Ainsi celle menée pendant une dizaine d’années par André-Paul Weber, ce Ludovicien fervent défenseur de l’Europe et de la coopération transfrontalière (lire ci-dessous) pour construire le Palmrain.
(...)

(DNA du 27 novembre 2016)






Vendredi 25 Novembre 2016

René Danesi et Catherine, sénateurs du Haut-Rhin, pour François Fillon

"Dimanche, les électeurs de la droite et du centre, et seulement eux, seront appelés aux urnes pour le 2nd tour de la Primaire. Après avoir soutenu Nicolas Sarkozy au 1er tour, notre choix se porte sur François F illon.

Des deux finalistes, il est le candidat qui a le mieux compris la situation dans laquelle se trouve la France. Son programme est solide et cohérent. Il veut en premier lieu libérer les énergies. Celles des entreprises et de leurs salariés, mais aussi celles des travailleurs indépendants et des agriculteurs, celles des territoires et des collectivités.

Il veut un Etat qui ne se mêle plus de tout mais se consacre à l’essentiel. C’est pourquoi il veut réduire considérablement le poids des Codes, des règlements et des normes qui bloquent les initiatives des Français. François Fillon est porteur d’une vision de l’Etat raisonnable, loin de la politique spectacle. Nul doute qu’il aura l’autorité nécessaire pour remettre en ordre de marche une France mise sans-dessus, sans-dessous par les cinq années calamiteuses de gouvernement socialiste".

(DNA du 25 novembre 2016)


Vendredi 25 Novembre 2016

Traitement des appels d’urgence : la sénatrice Catherine déplore le manque de coordination

"Aujourd’hui, deux ministères, l’Intérieur et la Santé, se sont engagés dans la construction parallèle de
systèmes unifiés de leurs propres services [de traitement des appels] d’urgence […]. Je pense qu’il
s’agit d’un gaspillage", affirme la sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin), lors de l’examen des
crédits du programme "sécurité civile" en commission des Lois, mercredi 16 novembre 2016.

Elle salue cependant "l’annonce par le gouvernement de la mise en œuvre d’un projet de système de
gestion opérationnelle unifiée pour uniformiser au niveau national les logiciels équipant les plateformes de traitement des appels au 18 et les centres opérationnels des Sdis". La commission des Lois du Sénat émet par ailleurs un avis favorable à l’adoption des crédits du programme "sécurité civile" inscrits au projet de loi de finances pour 2017.

La mise en place d’un système de gestion opérationnelle unifié pour les Sdis "s’arrête au milieu du
gué", affirme Catherine Troendlé, rapporteure pour avis de la commission des Lois sur les crédits du
programme "sécurité civile". La sénatrice regrette en effet que le "chantier" lancé par le ministère de
l’Intérieur "n’ait pas été joint" à celui mis en œuvre par le ministère de la Santé, "dans un cadre
interministériel". Elle rappelle que le projet de système de gestion opérationnelle unifiée visant à
uniformiser les logiciels équipant les centres de traitement des appels et les centres opérationnels des
Sdis "sera lancé en 2017".

ÉLARGIR LE SYSTÈME À L’ENSEMBLE DES SERVICES D’URGENCE

"L’objectif assigné au système unifié ne sera pas pleinement atteint sans que ce mécanisme soit élargi
à l’ensemble des services d’urgence dont, au premier rang, les Samu. Or, le ministère chargé de la
Santé a choisi de construire l’homogénéisation des systèmes d’information des plateformes de
réception des appels au 15, mais selon une réflexion interne, sans tenir compte des missions assumées
par les sapeurs-pompiers dans le secours à personne et en ignorant les relations et l’interaction
quotidiennes des 'blancs' et des 'rouges'", explique la sénatrice LR du Haut-Rhin. Elle constate
cependant que le ministère de l’Intérieur "a prévu l’interopérabilité du futur système avec les
dispositifs des autres intervenants en matière de secours et de sécurité".
Catherine Troendlé rappelle que ce projet doit être financé dans le cadre d’un "fonds
d’accompagnement des projets structurants de sécurité civile, d’un montant de 20 millions d’euros,
dès 2017". Les crédits devraient donc "résulter d’un redéploiement des économies attendues de la
réforme de la gestion de la prestation de fidélisation et de reconnaissance des sapeurs-pompiers
volontaires" et non "d’un effort financier supplémentaire de l’État", regrette-t-elle.
Distincte de ce projet, une plateforme commune d’appel a été inaugurée dans le ressort de la
Préfecture de police, mardi 15 novembre 2016.

(Dépêche AFP du 24 novembre 2016)


Jeudi 24 Novembre 2016

Catherine Troendlé cosignataire de la Tribune du Figaro

Halte aux coups bas, ensemble élevons le débat !
« La droite la plus bête du monde ». La célèbre formule de Guy Mollet sonne comme un avertissement pour ceux qui empruntent aujourd’hui les mots que la gauche a forgés hier pour mieux emprisonner la droite. Au point de verser dans la caricature la plus absurde.
Car est-ce « ultra-libéral » que de vouloir faire passer la dépense publique de 57% à 50% du PIB comme le propose François Fillon ? Est-ce « brutal » que de vouloir augmenter le temps de travail dans la fonction publique en échange d’une négociation salariale et de meilleures perspectives de carrière ? Est-ce « réactionnaire » que de rappeler qu’un enfant a le droit de connaître son père et sa mère comme l’affirme la convention des Nations Unies sur les droits de l’enfant ?
« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » jugeait Albert Camus. En se glissant dans les habits sémantiques de la gauche, ceux qui caricaturent François Fillon ne prennent pas seulement le risque de se renier aux yeux des Français, ils aggravent le malheur de la France. Ils renforcent cette incapacité à mettre les mots justes sur les maux dont souffre notre pays, tout en collant des mots injustes sur ceux qui les dénoncent. Nous ne cèderons pas à cette facilité qui au mieux traduit une certaine fébrilité, au pire une volonté de ne rien changer.
Car de grâce, n’utilisons pas ces gaz incapacitants que pulvérise régulièrement la gauche pour tétaniser ses adversaires ! Car c’est bien de cela dont il s’agit : sommes-nous prêts à agir vraiment pour sortir de l’ornière économique, pour mettre en œuvre un traitement vraiment efficace plutôt que des mesures homéopathiques ? Sommes-nous prêts à défendre résolument la République, en combattant non pas seulement le terrorisme, mais le totalitarisme islamique ?
C’est ce courage qu’attendent nos compatriotes. C’est cette alternance claire et forte qu’ils demandent. Ne noyons pas le formidable espoir de redressement qui s’est exprimé dimanche dernier dans le bain des petits renoncements d’où jailliront, tôt ou tard, les reniements. Soyons à la hauteur de cet élan qu’attendent les Français, à la hauteur des défis qui attendent notre pays.
Pour battre la gauche et le Front National, nous devrons nous rassembler dès dimanche prochain. Nous ne pourrons le faire pleinement que si ce second tour offre l’image que nous avons donnée jusqu’à dimanche dernier : celui d’un débat franc mais respectueux des uns et des autres. Ne nous infligeons pas d’inutiles blessures, ne nous lançons pas dans des batailles stériles.
Alors halte aux coups bas, ensemble élevons le débat ! Plaçons-nous à la bonne altitude en écoutant le Général de Gaulle lorsqu’il dénonçait « cette vieille propension gauloise aux divisions et aux querelles ». De notre unité dépend notre efficacité pour redresser la France.

(Le Figaro du 21 novembre 2016)


Mercredi 23 Novembre 2016

Battenheim - Nouvelle école élémentairePose de la première pierre

image Maurice Guth, maire de Battenheim et Bernard Notter, président du Syndicat de communes de l’Ile Napoléon (SCIN), assistés de Madison, 8 ans et de Thomas, 7 ans, ont posé la première pierre de la nouvelle école élémentaire dont se dote la commune.
(...)
Le maire Maurice Guth s’est ensuite adressé à ses invités : « Actuellement, nous accueillons les enfants scolarisés dans la commune sur trois sites dont deux datent du XIXe siècle. L’originalité de la future construction, qui sera opérationnelle début 2018, tient dans sa forme mais également dans le choix des matériaux. Nos choix ont suivi une démarche haute qualité environnementale ; le bâtiment est conçu pour limiter les besoins en énergie et une partie des toitures sera couverte de végétaux. » Les locaux pour les activités périscolaires actuellement dispensées dans la salle festive et culturelle (SFC)
commune de la taille de Battenheim ne peut fournir. »
(...)
Le coût prévisionnel de cette réalisation s’élève à 2 034 167 € hors équipement. Des subventions sont attendues : 572 000 € au titre de la DETR (dotation d’équipement des territoires ruraux) et 210 000 € en provenance de la CAF. Le premier magistrat précisant : « Le reste du financement, soit 1 252 167 € sera pris en charge par la commune, directement en autofinancement, sauf si nous trouvons d’autres partenaires disposés à nous verser un fonds de concours complémentaire, il est vrai que le périscolaire est du domaine de compétence de la communauté d’agglomération. »

La sénatrice Catherine Troendlé a annoncé qu’elle apporterait une aide financière qui sera prise sur sa réserve parlementaire pour l’équipement de l’école en tableaux blancs interactifs. (...)

(DNA du 23 novembre 2016)


Mercredi 23 Novembre 2016

Eguisheim - InaugurationUn nouvel écrin pour le tourisme

image La foule s’est pressée pour découvrir les locaux modernes du nouvel espace dédié à l’accueil et l’information des visiteurs d’Eguisheim, samedi. Après dix mois de travaux, le challenge a été relevé avec succès et les 45 m² de l’ancien office transformés en 170 m² afin d’être prêts à ouvrir pour les marchés de Noël, le 25 novembre.

(...)
Des élus investis dans le tourisme

Le cortège s’est ensuite dirigé jusqu’à l’Espace des Marronniers où Claude Centlivre a débuté les oraisons avec une fiction dressant un tableau sinistre de la ville sans l’investissement des élus pour le tourisme, pour en faire ensuite son éloge. Le maire d’Eguisheim a également annoncé le coût total de l’opération, 430 000 € HT dont 75 % sont financés par les subventions.
Martine Alafaci a ensuite remercié tous les partenaires en rappelant l’importance des habitants qui fleurissent les maisons et l’organisation d’un jeu de piste durant tout le week-end. L’adjoint en charge de l’urbanisme, Denis Kuster, est intervenu pour détailler le déroulement du chantier avec ses plus de 40 réunions depuis 2015, suivi par Jean-Pierre Toucas, président de la comcom. Les conseillers départementaux Lucien Muller et Monique Martin étaient également présents et le premier a pris la parole pour féliciter tous les intervenants ayant réussi à transformer l’office afin qu’il soit prêt pour les marchés de Noël prochains. Jacques Cattin, conseiller régional, a souligné le manque évident de place dans les anciens locaux et l’importance d’Eguisheim, berceau du vignoble, dans le tourisme local du territoire. (...)Avec les louanges de la sénatrice Catherine Troendlé pour la ville d’Eguisheim.
Christophe Marx, secrétaire général de la préfecture du Haut-Rhin, sous-préfet de l’arrondissement de Colmar a terminé en rappelant l’état d’urgence en vigueur jusqu’à fin janvier et l’importance de la sécurité, notamment aux marchés de Noël, afin que la fête reste belle.

(DNA du 23 novembre 2016)


Mardi 22 Novembre 2016

ALSACE/Pourquoi Fillon a bousculé les pronostics

Près d’un Alsacien sur deux qui s’est déplacé dimanche pour voter à la primaire de la droite et du centre s’est prononcé pour Fillon. Juppé arrive loin derrière, devançant cependant Sarkozy dans une région où Le Maire a une légère avance sur Kosciusko-Morizet. Pour le second tour, Fillon fait le plein des soutiens.

François Fillon a misé sur l’Alsace, terre traditionnellement de droite, et les électeurs lui ont donné raison. Lui que personne n’attendait il y a encore quinze jours a pratiquement séduit un électeur sur deux, dimanche. Son score est même meilleur – entre 1,5 % et 4 % de plus – qu’au niveau national. Avec 48 % des suffrages, l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy obtient un résultat plus élevé dans le Haut-Rhin que dans le Bas-Rhin (46,5 %). Dans cette compétition inédite à droite, il a pris quelques tours de piste d’avance…
Dès lors, la surprise est venue, en Alsace aussi, des contre-performances, à la fois d’Alain Juppé et de Nicolas Sarkozy. Ni le favori des sondages, ni l’ancien président de la République n’ont réussi à résister à la montée de Fillon. Dans le Haut-Rhin, ce dernier distance Juppé de 15 points et Sarkozy de 17 points. Dans le Bas-Rhin, grâce au poids de Strasbourg, l’écart est plus resserré avec le maire de Bordeaux.

(...)
Son équipe avait compris que les voix, ils devront les chercher dans les terres de droite, là où Alain Juppé et Nicolas Sarkozy espéraient faire le plein. À chaque réunion, François Fillon saluait, avec un rien d’ironie, « les élus qui me soutiennent… et ceux qui me soutiendront au soir du premier tour ». Il ne croyait pas si bien dire. Longtemps, ces derniers – ceux qui avaient signé pour Sarkozy, Juppé, Copé, Le Maire – ne croyaient pas à sa prédiction. Ils en souriaient. Puis ils ont senti le vent en train de tourner…

Alain Juppé et Nicolas Sarkozy avaient toutes les chances de virer en tête. Le maire de Bordeaux a bénéficié de soutiens les plus nombreux, de parlementaires LR comme les sénateurs Fabienne Keller – qui a fait la campagne à son côté – et André Reichardt, les députés Arlette Grosskost et Jean-Luc Reitzer, la vice-présidente du conseil départemental du Haut-Rhin, Brigitte Klinkert. Sans compter les UDI Jean-Marie Bockel, Claude Kern et Francis Hillmeyer. S’adressant à un large spectre de l’électorat, il pouvait séduire les Alsaciens.

Avec un positionnement différent, plus à droite, Nicolas Sarkozy pouvait espérer arriver premier ou deuxième en Alsace. Philippe Richert – au grand dam des amis de Fillon – s’était positionné en faveur de l’ancien président de la République. Mais ce dernier a aussi bénéficié du soutien constant du maire de Mulhouse, Jean Rottner, et des sénateurs Catherine Troendlé et René Danési. Pas rancunier, il n’a jamais coupé le contact avec les soutiens de ses concurrents, invitant les uns et les autres à dîner après ses meetings, discutant avec eux de l’avenir de la région. Mais le « Tout sauf Sarkozy » a joué.(...)

(L'Alsace du 22 novembre 2016)




Mardi 22 Novembre 2016

POLITIQUE/Les Sundgauviens plébiscitent Fillon

Près de 4000 électeurs sundgauviens se sont rendus aux urnes, dimanche, dans l’un des douze bureaux de vote ouverts pour le premier tour de la primaire ouverte de la droite et du centre. Comme au niveau national, François Fillon arrive largement en tête.

Les bureaux de vote sundgauviens n’auront pas désempli, dimanche, pour le premier tour de la primaire ouverte de la droite et du centre. Rappelons que sept communes (soit 12 bureaux de vote) du secteur accueillaient les électeurs : Altkirch, Illfurth, Ferrette, Dannemarie, Seppois-le-Bas, Waldighoffen et Hirsingue.

Comme à l’échelle nationale, la première bonne nouvelle de ce scrutin aura été la forte participation. Tout confondu, on comptabilise 3951 votants dans cette partie de la 3e circonscription du Haut-Rhin. « Un très large succès », salué notamment par la sénatrice (LR) Catherine Troendlé. « Le peuple de droite et du centre s’est réveillé », analysait hier le député (LR) Jean-Luc Reitzer, qui a eu une « bonne surprise » en découvrant des files d’attente devant la Halle au blé, dimanche. « Les gens étaient heureux de pouvoir choisir leur candidat pour 2017. C’est un signe encourageant pour la démocratie … »
Nicolas Sarkozy à la seconde place

Que retenir de ce premier tour à l’échelle locale ? Comme ailleurs, les électeurs de droite ont largement fait mentir les sondages en se choisissant eux-mêmes leur « champion » : François Fillon arrive largement en tête dans chacun des bureaux de vote du secteur. Dans le Sundgau, il recueille au total plus de 46, 2 % des suffrages, loin devant Nicolas Sarkozy, qui totalise 29, 7 % des voix et Alain Juppé, qui culmine à 20, 5 %.
Le tiercé dans le désordre ! C’est bien l’une des grandes différences par rapport aux résultats observés à l’échelle nationale ou même haut-rhinoise : dans tous les bureaux de vote du secteur, l’ancien président Sarkozy se hisse sur la seconde marche du podium, preuve que le Sundgau compte encore quelques fervents sarkozystes. Au final, à peine un peu plus de 20 % des électeurs sundgauviens ont porté leur choix sur Alain Juppé, candidat pour lequel le député-maire d’Altkirch avait pourtant appelé à voter…

Les sarkozystes ralliés à Fillon

Et maintenant ? Une question qui se pose avant tout pour les plus fidèles soutiens de Nicolas Sarkozy dans le secteur. « Je voterai François Fillon », a déjà fait savoir la sénatrice (LR) Catherine Troendlé, précisant qu’elle n’a « pas d’état d’âme » à apporter son soutien à « celui qui a repris une grande part de mes propositions relatives à la famille ». En premier lieu celle de « revenir sur le mariage pour tous ». Et la sénatrice de voir en Fillon un « coureur de fond qui a dépassé ses concurrents ». (...)

(L'Alsace du 22 novembre 2016)


Mardi 22 Novembre 2016

Alcoolisme/ Eat des connaissances

Alcoolisme
La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) avait attiré l’attention du Premier ministre sur le rapport de la Cour des comptes concernant les politiques de lutte contre les consommations nocives d’alcool.

Le ministère des Affaires sociales et de la santé précise que la direction générale de la santé a demandé à l’Inserm une revue de l’état des connaissances scientifiques sur les dommages sanitaires et sociaux associés à l’alcool assortie de recommandations pour la prévention et le soin.

(DNA du 20 novembre 2016)


Mardi 22 Novembre 2016

Primaire de la droite et du centre/Des bureaux très vivants

image Les électeurs se sont déplacés hier, tout au long de la journée, dans les huit bureaux de vote du secteur des Trois Frontières, à l’occasion du premier tour de la primaire de la droite et du centre. Un scrutin inédit bien vécu par les organisateurs.

La petite mairie de Ranspach-le-Bas s’est mobilisée, ce dimanche, comme les sept autres bureaux répartis sur le secteur des Trois-Frontières. À ce premier tour de première primaire lancée par le parti Les Républicains, Catherine Troendlé, maire, sénatrice et présidente départementale de la fédération LR a noté une recrudescence de l’intérêt des électeurs : « Ils ont lu la presse, suivi les débats sur les médias […] de notre côté, nous avons pris contact avec les mairies du Haut-Rhin pour que les gens sachent à quel bureau ils allaient être rattachés. »

L’élue a souligné l’effort concédé, en amont de ce premier tour, afin d’établir « une vraie communication car nous voulons que ce vote soit ouvert à tout le monde ».

« Il n’y a pas de fracture, on est ensemble »

Les électeurs n’ont donc pas été surpris, à leur entrée en mairie, de passer d’abord à la signature de la fameuse charte de soutien et de partage des valeurs républicaines. Tout comme, ils n’ont pas rechigné à s’acquitter des deux euros de participation au frais de la primaire.

Climat bon enfant donc à Ranspach-le-Bas, où les habitants du village venus exprimer leur choix, ont retrouvé leurs voisins de Ranspach-le-Haut, Attenschwiller et Michelbach-le-Haut. Dans la matinée, le petit village est même devenu une plaque tournante avec l’arrivée simultanée, de Max Delmond, conseiller départemental et maire de Folgensbourg, et celle de Thomas Zeller, maire de Hégenheim et délégué de la 3e circonscription sur cette primaire. « Aujourd’hui, je suis volant ! », a lancé l’élu, « je fais le tour des 24 bureaux qui seront tenus par près de 130 bénévoles sur les deux week-ends ».

« Sans distinction de candidats »

Son rôle ? « Continuer à répondre aux questions qui nous sont posées ». Hier, il s’est réjoui de voir les électeurs se déplacer en nombre, « à nous de les renseigner […] et cela se présente bien ». Comme Catherine Troendlé, qui n’a fait sa sortie de soutien à Nicolas Sarkosy « que depuis cette dernière semaine », Thomas Zeller, proche des idées de Bruno Lemaire, a donné priorité à l’information de tous les votants et à l’organisation du scrutin « sans distinction de candidats ».
Selon lui, « le second tour ne devrait pas poser de problème de ralliement ». À l’échelle de la 3e circonscription, « il n’y a pas de fracture, on est ensemble », a témoigné le délégué. Un avis partagé par Catherine Troendlé : « Si ce scrutin doit permettre de légitimer celui des sept candidats qui sortira des urnes, au second tour, nous devrons pouvoir rester fédérés dans la famille politique ». (...)

(DNA du 21 novembre 2016)



Lundi 21 Novembre 2016

Politique - Primaire de la droite et du centreLes « fillonnistes » alsaciens épanouis

L’Alsace a particulièrement alimenté la « vague François Fillon » au premier tour de la primaire de la droite et du centre. Qu’il soit soutenu par de grands élus, comme dans le Bas-Rhin, ou non.
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A contrario, l’avance du député de Paris sur Alain Juppé est d’autant plus surprenante qu’une majorité d’élus locaux haut-rhinois, y compris départementaux, s’était impliquée dans la campagne du maire de Bordeaux, de la députée Arlette Grosskost en passant par la vice-présidente du Département Brigitte Klinkert et du conseiller régional Jacques Cattin. Ils n’ont clairement pas été suivis, comme Eric Straumann, le président du conseil départemental du Haut-Rhin, n’a pas été suivi en faveur de Bruno Le Maire.

La troisième place de Nicolas Sarkozy est une douche froide pour celles et ceux qui l’ont soutenu dans le Haut-Rhin. À commencer par la sénatrice Catherine Troendlé, présidente des Républicains du Haut-Rhin et Jean Rottner, maire de Mulhouse et vice-président de la Région Grand Est. Catherine Troendlé s’est dite « interpellée » par les résultats de son candidat. Elle apporte son soutien « sans état d’âme » et « avec détermination » à François Fillon, candidat qui a promis de « revenir sur le mariage pour tous ».(...)

(DNA du 21 novembre 2016)


Samedi 19 Novembre 2016

SAINT-LOUIS-Voilà les quarante !

image Nouvel espace, le Forum, nouvelle scénographie et une continuité dans le concept de la présentation, le 22e Salon des 40, baptisé « 22 v’la les 40 » cette année, a ouvert ses portes hier soir.

Avec le déménagement du Salon des 40 vers le Forum, sa physionomie a changé. Pour Olivia Fricker, directrice du service culturel de Saint-Louis, « nous sommes globalement satisfaits. Par rapport à la salle des fêtes, c’est un joli changement au niveau de la scénographie, de la mise en lumière et dans la manière dont nous nous sommes approprié l’espace. » Et d’ajouter : « C’était une première, nous étions forcément un peu inquiets. Nous avons, avant tout, envie que cela plaise aux artistes et aux visiteurs. Ce qui me plaît cette année, c’est qu’il y a un lien direct avec le salon des jeunes talents, c’est incontestablement un plus. Maintenant, nous attendons le retour du public. »

Concernant le niveau de cette édition 2016, Olivia Fricker estime : « Tous les styles sont représentés et pour chacun d’eux, il y a un niveau intéressant. Je suis épatée chaque année par la force des œuvres. » Côté diversité : « Il y en a pour toutes les sensibilités. »

Le Forum offre un nouveau confort, plus de surface et d’espace pour un lieu plus aéré. Stéphane Valdenaire, attaché culturel de la Ville, déménager le Salon des 40, « c’était un défi, on avait beaucoup d’habitudes à la salle des fêtes, mais on peut toujours améliorer et je pense que c’est réussi. Pour l’instant, les retours sont positifs ». Stéphanie Gerteis, adjointe au maire et chargée de la culture, a inauguré le salon « qui va permettre de réunir les amateurs d’art, nous avons conçu ce salon dans l’esprit des précédents mais avec le nouveau Forum ». Et avec le salon des jeunes talents, « ces trois jours vont permettre de réunir les générations autour de l’art ». Elle a remis les prix issus des délibérations du jury présidé cette année par Pierre Fraenkel, un artiste mulhousien. Le prix Surface de la Ville de Saint-Louis est allé à Rebecca Everard, le prix volume de la Ville à Albert Eisenscher et le prix des Essences de l’art à Guy Hans.

(L'Alsace du 19 novembre 2016)


Mercredi 16 Novembre 2016

Voter, c’est légitimer

image Dimanche, huit bureaux de vote seront ouverts de 8h à 19h dans le secteur des Trois frontières, dans le cadre des primaires de la droite et du centre. Un exercice nouveau pour les militants des partis organisateurs dont LR, qui appellent le plus grand nombre d’électeurs à se déplacer aux urnes pour faire entendre leur voix. Et peut-être tordre le cou aux sondages…

Les primaires de la droite et du centre seront une bonne occasion de vérifier le pouvoir d’attraction de la droite, alors que l’UMP a failli imploser en 2012. « La fracture Copé-Fillon n’avait pas été comprise par les militants, mais s’il y a eu une forte hémorragie du militantisme après coup en France, nous avons réussi à la contenir chez nous, en raison notamment de notre proximité avec la base », rassure la sénatrice-maire de Ranspach-le-bas, Catherine Troendlé.

C’est elle qui pilotera, depuis son QG de Ranspach, les primaires dans le Haut-Rhin comme elle y a piloté l’ensemble de la campagne. Un exercice qui s’est soldé, heureusement, par le maintien d’une certaine sérénité. « J’avais peur que cela dérape… Au début j’étais contre le principe, car les primaires n’étaient pas dans notre culture, puis j’ai accepté la procédure en menaçant de sanctions le moindre dérapage… »

Une guerre de tranchées, même au niveau local, n’allait pas servir les intérêts de la droite, c’est évident… « Entre militants, nous nous connaissons, il n’y a pas eu de couacs, même si c’était un peu plus tendu sur les réseaux sociaux, résume Stéphane Cartier, un militant référent pour la 3e circonscription. Il y a plus important : l’enjeu véritable, le message le plus important à véhiculer, c’est d’inciter les électeurs à aller voter. Les objectifs principaux des militants étaient donc de renseigner les électeurs. »

Retrouver un exécutif qui soit exemplaire

« Pour que le candidat de la droite qui sortira vainqueur de ces primaires ait une vraie légitimité, il faudra une bonne mobilisation, confirme Catherine Troendlé. C’est notamment pour cette raison que nous avons cherché à rapprocher le plus possible les bureaux de vote des électeurs. Il y en aura 144 dans le Haut-Rhin. Et 576 bénévoles pour les gérer. »

Pour Thomas Zeller, maire de Hegenheim, référent LR pour la 3e circonscription, « les débats pour la primaire sont actuellement très suivis. Mais cela se traduira-t-il par un déplacement massif ? » A l’échelle du parti, ce dernier ressent un retour d’intérêt de la part des militants. « Mais cette campagne ne s’est pas traduite par l’arrivée de nouveaux adhérents. A voir par la suite, peut-être que des participants nous rejoindront. En tout cas, ces primaires permettent de mieux nous découvrir sans franchir le pas. » Pour l’instant…

Autre militant LR des Trois Frontières, Jules Féron voit dans ces primaires « un exercice qui doit s’organiser dans des circonstances compliquées, mais qui sera une bonne occasion de faire valoir des idées différentes. La concurrence fait naître de nouvelles idées. » Ce qui ne peut qu’être bénéfique au parti.

Bénéfiques, donc, cette campagne des primaires, malgré la crainte des dissensions en toile de fond, et l’appréhension d’une mobilisation trop faible donc contre-productive ? « C’est vrai, les primaires du PS nous ont servis de rampe de lancement, consent le sénateur-maire de Tagsdorf René Danesi. C’est donc un exercice très novateur pour nous, et nous verrons si la greffe prendra ou non… »

Si, au niveau local en tout cas, la campagne n’a pas dressé les militants entre eux et, au contraire, peut-être suscité des regains de dynamisme, il reste à voir si l’électeur sera réceptif ou non. « Entre les présidentielles de 2012 et aujourd’hui, je sens une vraie déception auprès des électeurs, s’étonne Stéphane Cartier. Cela nous interpelle dans notre façon de convaincre, et dans le fait de retrouver un exécutif exemplaire. » Histoire que l’on soit plutôt tenté de voter pour, que de voter contre…

(DNA du 16 novembre 2016)


Mercredi 16 Novembre 2016

PRIMAIRE DE LA DROITE ET DU CENTRE À l’abri des candidatures ?

image La présidente des Républicains dans le Haut-Rhin, bien que référente pour l’organisation de la primaire dans le département, a finalement choisi d’afficher distinctement son soutien au candidat Sarkozy. De même que René Danesi, fidèle pilier depuis 2007.

Même avec la casquette de référente et d’organisatrice de la primaire dans le département, rien n’empêchait la sénatrice LR Catherine Troendlé de faire valoir son soutien au candidat de son choix. « Mais pendant un temps, je me suis imposé une éthique en décidant de ne pas rendre publiques mes préférences, cela afin que l’organisation des primaires soit la plus apaisée possible » , rappelle-t-elle.
« Il ne court pas après le FN, mais après les électeurs »
Il faut donc croire que tous les signaux sont au vert, que tous les protagonistes ont joué le jeu au moins jusqu’à cette dernière ligne droite avant le premier tour, dimanche, pour que la sénatrice du Haut-Rhin décide de peser de tout son poids dans la campagne de Nicolas Sarkozy. Si l’on n’ignorait rien de son positionnement sur l’échiquier de la droite, elle s’octroie maintenant la volonté de monter au créneau pour soutenir l’ancien président de la République à chaque occasion… Lequel compte sur un autre soutien de poids dans le département, le sénateur René Danesi, qui se présente comme sarkozyste depuis 2007. « Je n’oublie pas ce qu’il a fait pendant les cinq ans de son mandat présidentiel, à savoir avoir fait face à la plus grande crise économique depuis 1929. Alors qu’il est de bon ton d’oublier… » Pour Catherine Troendlé, qui évoque un engagement sur la durée, Nicolas Sarkozy a su fédérer et apaiser. « J’ai vu le parti se remettre en état de marche après 2012, grâce à lui », s’enthousiasme celle à qui le président des Républicains a confié le soin de travailler sur les familles en tant que cadre du parti.
Pour les deux sénateurs du Haut-Rhin, leur candidat détient toute l’expérience requise pour mener à bien un nouveau mandat à la tête de la République. « Il saura lutter sans merci contre l’islamisme politique et assumer les priorités qui sont la sécurité, l’emploi et la famille, martèle René Danesi. Le seul à opposer un rempart fiable au FN, c’est lui ! Si l’on veut pratiquer une politique de Bisounours, les Français renverseront la table en 2022… »

Quant à dire que leur candidat court après le FN, les deux élus balayent l’argument. « Il ne court pas après le FN mais après les électeurs, c’est différent… »

René Danesi et Catherine Troendlé aspirent-ils à courir après quelque ambition au sein de l’équipe du candidat Sarkozy, s’il émerge de la primaire ? « Mes 69 ans me mettent à l’abri de toute candidature, répond René Danesi. Cela me permet aussi de ne pas lui raconter ce qu’il veut entendre… » Quant à la sénatrice, sa seule ambition est de « partager les défis de demain avec lui ». Dont le premier sera d’inciter un maximum d’électeurs à se déplacer aux urnes dès ce dimanche, électeurs de droite et d’ailleurs, s’entend.

(L'Alsace du 16 novembre 2016)


Mercredi 16 Novembre 2016

RANSPACH-LE-BAS Un 11 Novembre riche en émotion

image La fraîcheur de la nuit tombante ainsi que la douce lumière de l’astre lunaire n’ont pu qu’accentuer le caractère solennel de la commémoration de l’Armistice de la Grande Guerre à Ranspach-le-Bas.

Vendredi soir, à l’issue de l’office célébré par le père Lucien Heitz, le sénateur maire Catherine Troendlé, le premier adjoint au maire Vincent Meyer, le maire junior ainsi que le lieutenant Franck Muller, chef du centre de première intervention, ont déposé une gerbe au pied du monument.

Avant que la parlementaire eût donné lecture du message du secrétaire d’État délégué aux Anciens combattants et à la Mémoire, Jean-Pierre Borgo a lu le message du président de l’Union des associations de combattants et des victimes de guerre. Le drapeau de la nouvelle section locale de Jeunesse et relayeurs a été confié à Priscilla Hell, l’une des plus jeunes porte-drapeaux de France. Puis les membres du conseil municipal des jeunes ont déposé une rose au pied du monument aux morts.

Vendredi, l’heure était également à la remise de médailles d’honneur des sapeurs-pompiers : en argent (pour vingt ans de bons et loyaux services à la cause de la sécurité collective) à l’adjudant Yannick Viarouge, aux sergents Emmanuel Volanti et Guillaume Latscha et au sapeur première classe François Schurrer. Quant au sapeur première classe David Habé, il est nommé au grade de caporal. Enfin, les galons d’adjudant-chef ont été décernés à l’adjudant Alexandre Stritt.

JF

(L'Alsace du 16 novembre 2016)


Mardi 15 Novembre 2016

Des galons pour les soldats du feu

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À Michelbach-le-Bas, selon la tradition, c’est toujours le samedi suivant le jour férié du 11 Novembre qu’on sacrifie au devoir de mémoire. A l’issue de l’office eucharistique célébré par le père Lucien Heitz.
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La cérémonie présidée par le maire Henri Mattès a été rehaussée comme par le passé par les belles voix céciliennes, dirigées par Albert Schermesser, et les musiciens de Blotzheim sous la baguette de chef Raphaël Allemann.

Après la lecture du message de Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’Etat aux anciens combattants, et le dépôt de gerbe, le caporal Anthony Hell a été promu au grade de caporal-chef. Enfin, Jean Zwiller a fait ses adieux au monde des pompiers : engagé dès 1981 au sein du cops d’Uffheim, puis en 1992 à Michelbach-le-Bas, l’honorariat lui a été conféré au grade de caporal-chef.

(DNA du 15 novembre 2015)


Lundi 14 Novembre 2016

Une cérémonie grave et digne au Hartmannswillerkopf

image La commémoration de l’Armistice a rassemblé représentants de l’État, personnalités civiles et militaires, vendredi au Vieil-Armand, où trois gerbes ont été déposées en hommage aux combattants de la Grande Guerre.

Une commémoration solennelle de l’Armistice de 1918 s’est déroulée vendredi au mémorial national du Vieil-Armand. Cette cérémonie, qui a attiré une centaine de visiteurs, a été organisée conjointement par le 152eRégiment d’infanterie et par le Comité du monument national du Hartmannswillerkopf. Elle était présidée cette année par le préfet du Haut-Rhin, Laurent Touvet. Le sous-préfet de Thann-Guewiller, Daniel Mérignargues, était présent à côté des parlementaires Catherine Troendlé et Michel Sordi et des consuls d’Allemagne et de Slovaquie.
Les maires de Wattwiller et d’Uffholtz et autres élus locaux côtoyaient des personnalités militaires et civiles. Jean Klinkert, qui préside le Comité du monument national du Hartmannswillerkopf, était présent à côté de Christophe Hesry, commandant le 152e Régiment d’infanterie, par suppléance. L’Amicale des anciens Diables Rouges et Diables Bleus et les associations patriotiques côtoyaient plus de 100 soldats du 152e RI lors de la cérémonie. Toutes les personnes participant à cette cérémonie du 11 Novembre avaient en mémoire l’épouvantable champ de bataille que constituait le lieu, avec ses 25 000 morts il y a près d’une centaine d’années, toutes nationalités confondues. Ce sommet de la montagne du Hartmannswillerkopf, aussi appelé « mangeuse d’hommes », a suscité pendant la manifestation une grande émotion parmi l’assistance. (...)

DNA du 12 novembre 2016)


Lundi 14 Novembre 2016

La population thannoise fidèle aux commémorations

image Outre les associations patriotiques, le corps des sapeurs pompiers, les représentants de la gendarmerie et de nombreux Thannois, le maire de Thann, Romain Luttringer, était entouré de Catherine Troendle, sénatrice, Daniel Mérignargues sous-préfet de Thann-Guebwiller et du Général Michel Courtois.

Ce dernier est le fils du Lieutenant André Courtois, premier officier français à entrer dans la ville au moment de sa libération le 7 août 1914. Âgé de 87 ans, habitant à Strasbourg, le général Courtois a été particulièrement ému de revenir sur cette part d’histoire qui a baigné son enfance.

Les Petits Chanteurs dirigés par Jean-Pierre Janton ont accompagné cet hommage solennel en interprétant la Marseillaise et le chant Ils sont morts dans la bataille. La lecture œcuménique de Marie-Claire Gaudelet, pasteur et Hubert Schmitt, chanoine a mis l’accent sur le fait que « nous sommes des artisans de la paix » et non de la guerre. Des élèves de l’école du Blosen et Louise-Marie Schnebelen ont apporté une émotion certaine par leurs lectures évoquant le cauchemar vécu durant ces combats.
Un dépôt d’œillets par les élus du conseil municipal des enfants, par des élèves de l’école du Blosen et ceux de l’IME Jacques Hochner a mis l’accent sur l’importance de faire participer les jeunes à ce devoir de mémoire.
Le sous-préfet se faisant l’écho du secrétaire d’état auprès du ministre de la défense, a repris la lettre commémorative nationale. À l’issue de la cérémonie, un vin d’honneur a été offert à l’Hôtel de ville. Romain Luttringer est revenu sur le rôle du Lieutenant Courtois au moment de la libération. Le fils de ce dernier a remis au premier magistrat, deux cartes postales écrites en allemand et datées du 7 août 1914 qu’il a trouvées dans les affaires de son père.

(L'Alsace du 13 novembre 2016)












Mercredi 9 Novembre 2016

Fonction publique territoriale

La loi de finances pour 2016 a instauré la mesure dite du « transfert primes/points », applicable aux fonctionnaires territoriaux mais pas aux agents contractuels. « Eu égard au principe d’égalité de traitement » entre ces deux catégories, la sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a demandé au ministre de l’Économie s’il envisageait d’étendre le champ d’application de cette mesure aux agents contractuels employés par une collectivité locale.

(DNA du 6 novembre 2016)


Vendredi 4 Novembre 2016

Plate-forme douanière de Saint-Louis

Jean-Marie Zoellé est revenu mardi soir sur le devenir de la plate-forme douanière de Saint-Louis, la plus grande de France, et qui doit faire l’objet de travaux de réaménagement, pour corriger les importants dysfonctionnements actuels et mieux gérer le trafic de poids-lourds.

Selon la sénatrice Catherine Troendlé, le financement (6,5 millions d’euros) de ce chantier a bien été validé dans le cadre du contrat de plan état-région grand Est pour 2015-2020. Jean-Marie Zoellé a de son côté confirmé le fait qu’un scénario avait été validé par la commune de Saint-Louis auprès de l’Etat, mais que les études menées par la DREAL devaient s’achever avant de connaître précisément l’option retenue et, de fait, son chiffrage définitif. « Ces études seront achevées l’an prochain et les travaux pourront débuter en 2018, assure-t-il. D’ici là, les questions techniques restent en suspens et le coût du chantier n’est donc pas encore déterminé. Il faudra également définir les clés de répartition des coûts avec la Suisse… Et discuter de tout cela avec le nouveau préfet…

(L'Alsace du 27 octobre 2016)