Archives des publications


Dimanche 31 Juillet 2016

Téléphonie mobile à Goldbach-Altenbach

A de multiples reprises, le sénateur Catherine Troendlé avait attiré l’attention du ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique au sujet la couverture défaillante en téléphonie mobile sur le territoire de Goldbach-Altenbach. Elle avait été jusqu’à interpeller Emmanuel Macron en personne au Sénat.

Un technicien, mandaté pour effectuer des mesures de qualité du réseau téléphonique par l’Autorité de la régulation et des communications électroniques, a classé, en date du 29 avril 2016, cette commune en zone grise. Selon le technicien, la commune serait couverte car, pour lui, quatre appels sur sept ont abouti bien que ce résultat ne concernait qu’un seul opérateur.

Le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas a trouvé « ces conclusions inadmissibles au regard du parcours de longue haleine effectué depuis 2003 par la commune de Goldbach-Altenbach et sa communauté de communes, celle de la vallée de Saint-Amarin, déjà touchée par la sempiternelle baisse des dotations de l’État ».

Au terme de l’instruction menée par l’agence du numérique, cette communauté de communes s’est vu notifier, le 11 juillet dernier, le soutien financier de l’État – pour un montant maximal de 130 000 € - relatif au financement de l’implantation du pylône de téléphonie mobile.

Pour Catherine Troendlé, il paraissait « plus que jamais légitime que cette commune intègre le dispositif portant sur l’opération résorption des zones blanches » ! C’est à présent chose faite.


Samedi 30 Juillet 2016

Hésingue - Animation estivale

image Le village des tipis situé au cœur du Fronacker a été inauguré, mardi soir, dans une ambiance festive. Un nouveau lieu très apprécié par les jeunes du centre aéré.

Mardi soir, l’heure était l’inauguration du village des tipis installé sur le site du Fronacker à Hésingue.

À cette occasion, le président de l’association Jeunesse et avenir, Samuel Runser, a accueilli les enfants, les parents et des élus parmi lesquels Gaston Latcha, maire de Hésingue, Thomas Zeller, premier magistrat de Hégenheim, et une délégation d’élus de Buschwiller.

L’association Jeunesse et avenir organise les animations vacances des communes de Hésingue, Hégenheim et de Buschwiller.

Une véritable aventure pour les enfants dont les 70 % sont issus de Buschwiller-Hegenheim-Hesingue et qui ont découvert les joies de dormir au cœur d’un tipi (...)

Ils ont dit

Samuel Runser, président de l’association Jeunesse et avenir : « Ces projets contribuent à faire apprendre aux enfants l’acceptation et l’amour de la diversité ».

Gaston Latscha, maire de Hésingue : « C’est un vrai bonheur que de se retrouver sur le beau site du Fronacker. » Il a également annoncé la prolongation de trois ans de la délégation de service public petite enfance.

Thomas Zeller, maire de Hégenheim : l’élu a vivement félicité la commune de Hésingue pour la mise à disposition de cet environnement bucolique du Fronacker, et salué « la contribution des agents communaux de Hésingue dans la réalisation de ce premier village du genre. »

Jules Féron, assistant parlementaire du sénateur-maire de Ranspach-le-Bas Catherine Troendlé, a souligné « l’importance pour ces jeunes générations de participer à de pareilles initiatives visant à l’apprentissage de la vie en collectivité au travers de ces rencontres estivales. Ajoutant : « On dit souvent, la famille éduque et l’école instruit. Avec vos projets vous arrivez à allier les deux. »

(DNA du 30 juillet 2016)


Dimanche 24 Juillet 2016

Terrorisme : Catherine Troendlé fait voter un amendement

Catherine Troendlé, sénatrice LR et première vice-présidente de la commission des lois, a présenté un amendement pour permettre de recueillir en temps réel les données de téléphone et de courriels des personnes identifiées comme représentant une menace terroriste.

Il a été adopté à l’unanimité, avec un avis favorable de la commission des lois et du gouvernement.

(L'Alsace du 24 juillet 2016)


Dimanche 24 Juillet 2016

Saint-Louis/Réponse concernant le service d’oncologie

Par courrier, Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, avait fait part de son inquiétude quant à la fermeture de l’hôpital de jour d’oncologie de la nouvelle clinique des 3 Frontières après le départ du Dr Boehn.
Elle se disait « très préoccupée par la probable fermeture de cette petite unité à dimension humaine laquelle pourrait contraindre bon nombre de personnes à se déplacer à Mulhouse » (notre édition de L’Alsace du 23 juillet).

Une réponse de Marc Penaud, directeur général du Groupe hospitalier de Mulhouse et Sud Alsace, lui est parvenue : « Le groupe hospitalier s’est engagé à assurer le suivi des patients, assuré jusqu’alors par le Dr Boehn. La prise en charge des patients sera donc transitoirement réalisée sur le site de l’hôpital Émile-Muller de Mulhouse, au sein du service d’oncologie, par une équipe médicale et paramédicale spécialisée. Dans ce cadre, les patients seront contactés par le service d’oncologie afin de convenir d’un rendez-vous. »

Concernant l’hôpital de jour d’oncologie à la clinique de Saint-Louis, Marc Penaud reste « persuadé qu’un suivi de proximité est plus adapté pour les patients du bassin de population de Saint-Louis, raison pour laquelle nous recherchons activement un médecin spécialisé ».

(L'Alsace du 24 juillet 2016)


Dimanche 24 Juillet 2016

Primaire des Républicains/ L’« avant-garde » des sarkozystes

Le sénateur René Danési (LR), accompagné de plusieurs élus et de représentants des jeunes Républicains, a lancé hier à Ensisheim « un appel à parrainer la candidature de Nicolas Sarkozy à la primaire ».

Dans le Haut-Rhin, le chef de file des saykozystes est un (ancien) centriste. René Danési a la foi des nouveaux convertis. À l’entendre, Nicolas Sarkozy sera bien candidat après le 24 ou le 25 août, « cela ne fait pas de doute ».

Mais surtout, le président des Républicains va gagner les primaires, puis la présidentielle de mai 2017. Et Alain Juppé, donné en tête par les sondages ? Les cartes auraient été rebattues par la présence quasi certaine de François Hollande à la présidentielle. « Juppé apparaissait comme le candidat de substitution pour la gauche » , tacle Danési, persuadé que, « si Macron se présentait, il ringardiserait Juppé et Bayrou ».

Recréer l’Alsace

Autour de lui, les conseillères départementales Karine Pagliarulo et Catherine Rapp, les adjoints au maire mulhousiens Maryvonne Buchert et Roland Chaprier, l’élu colmarien Pierre Ouadi, le proche collaborateur du maire de Mulhouse, Aubin Brandalise, responsable de l’organisation, « forment l’avant-garde » des sarkozystes dans le Haut-Rhin – avec les conseillers régionaux Thierry Nicolas et Neijla Brandalise, excusés… Après le 25 août, « d’autres parlementaires, élus de grandes villes » devraient les rejoindre. Les noms de la sénatrice Catherine Troendlé, présidente de LR 68, et du maire de Mulhouse et vice-président du conseil régional, Jean Rottner, sont lâchés. « Mais nous comptons sur les militants et les sympathisants, autant que sur les élus », assure René Danési, réjoui par avance de « l’arrivée des ouvriers de la onzième heure »… Néanmoins, ses amis et lui répètent avec force que le parti sera « rassemblé au soir du 27 novembre derrière le candidat LR, contre la gauche et le FN ». (...)

(L'Alsace du 24 juillet 216)





Samedi 23 Juillet 2016

Clinique des 3 frontières Le service d’oncologie menacé ?

La sénatrice Catherine Troendlé vient d’écrire un courrier à Marc Penaud, à propos « de la problématique de la fermeture prochaine du service d’oncologie, confiée au Dr Andréas Boehm, à la clinique des 3 frontières de Saint-Louis, avec, de facto, la fermeture de l’hôpital de jour » , afin de connaître le positionnement du directeur général du Groupement hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace sur ce sujet. « Je reste très préoccupée par la probable fermeture de cette petite unité à dimension humaine, laquelle pourrait contraindre bon nombre de personnes à se déplacer vers Mulhouse. »

(L'Alsace du 23 juillet 2016)


Samedi 23 Juillet 2016

Ranspach-le-Bas/Une motion pour les cours d’enseignement religieux

Dans sa réunion du 21 juillet, le conseil municipal de Ranspach-le-Bas, réuni sous la présidence de Catherine Troendlé, maire, a adopté une motion pour le maintien du régime actuel des cours d’enseignement religieux en Alsace-Moselle.

« Le conseil municipal de Ranspach-le-Bas exprime son total désaccord avec la proposition ministérielle s’apparentant à une nouvelle attaque portée au droit local et exige le maintien des dispositions en place, afin, et plus que jamais, de pouvoir proposer un enseignement religieux dans les écoles et collèges alsaciens et mosellans. »

En amont de cette motion, Catherine Troendlé s’était déjà adressée au ministre de l’Éducation nationale sur ce sujet. « Je m’associe pleinement à mes collègues parlementaires, alsaciens et mosellans, déjà consultés individuellement, pour lesquels cette réforme, portée conjointement par les rectorats de Strasbourg et de Nancy-Metz, est bien plus inopportune ! Plus que jamais, j’en appelle au statu-quo et ni à céder, comme s’apprêteraient à le faire, semble-t-il, les plus hautes autorités de l’Etat aux vœux lancés par différentes associations appelant sempiternellement à la laïcité, ni à flatter un électorat anticlérical à l’approche des prochaines échéances électorales. »

(L'Alsace du 23 juillet 2016)


Samedi 23 Juillet 2016

Ranspach-le-Bas - Conseil municipal/Motion en faveur de l'enseignement religieux

Le conseil municipal de Ranspach-le-Bas qui s’est réuni, jeudi soir, sous la présidence Catherine Troendlé, sénateur-maire du Haut-Rhin, a exprimé « son total désaccord avec la proposition ministérielle s’apparentant à une nouvelle attaque portée au droit local », et exigé « le maintien des dispositions en place, afin et plus que jamais, de pouvoir proposer un enseignement religieux dans les écoles et les collèges alsaciens et mosellans. »

L’enseignement religieux dans les établissements publics en Alsace Moselle repose sur un caractère obligatoire dans le cycle primaire et secondaire, suivant plusieurs législations allemandes puis françaises. Ce caractère obligatoire, réaffirmé plusieurs fois, notamment par le Conseil d’État en 2001, s’impose aux écoles et collèges, mais en rien aux élèves, lesquels peuvent en être dispensés à l’initiative de leurs parents.

L’Observatoire de la laïcité, rattaché au service du Premier ministre, a formulé au mois de mai 2015 des préconisations relatives aux trois départements des Haut-Rhin, Bas-Rhin et Moselle, et notamment que les élèves ne souhaitant pas suivre l’enseignement religieux ne soient désormais plus tenus de demander une dispense. L’Observatoire suggère que ces mêmes élèves fassent une démarche volontaire d’inscription. L’heure d’enseignement religieux serait ainsi considérée comme une simple option, placée en supplément du temps de l’enseignement. Suite à ces préconisations, le ministère de l’Éducation nationale a consulté les grands élus alsaciens et mosellans en vue d’une évolution des conditions de l’enseignement religieux à l’école.

« Une remise en cause profonde du statut scolaire d’Alsace-Moselle […] »

Selon Catherine Troendlé, « en Alsace-Moselle, l’enseignement religieux fait partie intégrante du programme scolaire. Cet enseignement y est obligatoire même si des dispenses sont accordées », et « la proposition de mettre cet enseignement religieux en dehors de l’horaire dédié aux enseignements de l’Éducation nationale, en créant une vingt-cinquième heure hebdomadaire de cours, pourrait paraître bien anodine. Il n’en est rien !.» Selon l’élue, il s’agit là « d’une remise en cause profonde du statut scolaire d’Alsace-Moselle qui se profile : vouloir sortir cet enseignement pourtant obligatoire du tronc commun, c’est tout bonnement porter atteinte à l’esprit même du concordat, et, de facto d’une façon plus large, à notre droit local, auquel est particulièrement attachée la population de nos trois départements. » Et l’élue d’ajouter : « Je réaffirme, comme je l’ai toujours déclaré, défendre cette exception alsacienne. Indéniablement, cette différence n’est autre qu’élément fort dans l’apprentissage des cultures religieuses des uns et des autres, présentement important […]. » La réforme des collèges, « applicable à la rentrée prochaine, est déjà source de bien de préoccupations légitimes et d’inquiétudes diverses exprimées par le corps enseignant, les représentativités syndicale et parentale […]. » Avant de conclure : « Je m’associe pleinement à mes collègues parlementaires, alsaciens et mosellans, déjà consultés individuellement, pour lesquels cette réforme, portée conjointement par les rectorats de Strasbourg et de Nancy-Metz, est bien plus inopportune !

Plus que jamais, j’en appelle au statu quo et ni à céder, comme s’apprêteraient à le faire, semble-t-il, les plus hautes autorités de l’État aux vœux lancés par différentes associations appelant sempiternellement à la laïcité, ni à flatter un électorat anticlérical à l’approche des prochaines échéances électorales. »

(DNA du 23 juillet 2016)


Samedi 23 Juillet 2016

Sainte-Marie-aux-Mines - 50e anniversaire du jumelage avec Trzic

image La manifestation célébrant le 50e anniversaire de jumelage entre Sainte-Marie-aux-Mines et Trzic a malheureusement été marquée par l’attentat commis à Nice.

« Un acte de barbarie contre le symbole même de la république et ce que la France incarne dans le monde » comme l’a introduit dans son discours Claude Abel, maire de Sainte-Marie-aux-Mines, en reprenant l’édito du jour du New- York Time puis en invitant l’assemblée à une minute de silence.

« La France incarne tout ce que les fanatiques religieux du monde détestent : la joie de vivre et une myriade de petites choses….»

Une minute lourde d’émotion et de fraternités dans les messages de tous les orateurs solidaires, de Borut Sajovic, Jozé Klofutar, Raymond Kuhn, Karl Mangei, à la députée européenne Nathalie Griesbeck, (...)
Des mots approuvés par les sénateurs, René Danesi, Catherine Troendle, le conseiller régional Jacques Cattin et tous les participants.

Comme l’a signifié Claude Abel dans son discours : « 1966 est une « année marquée » par des événements qui auront une résonance des années durant au niveau politique, humain ou scientifique. Pour les Sainte – Mariens et leurs amis de Trzic l’année 1966 est marquée par cette double signature le 8 mai sur le parvis de la mairie, par Paul Baumann et de Tine Tomazin, du serment de jumelage. Ces signatures marquent le choix des deux communes, pleinement réalisé, d’être amis.

Cinquante ans, une formidable tranche de vie, riche en événements, des plus terribles, des plus tragiques aux plus heureux. Un demi-siècle marqué pour les amis Slovène par l’accession à l’indépendance en 1991, mais aussi cinquante années d’amitié durable entre les deux cités.

(DNA du 19 juillet 2016)


Lundi 18 Juillet 2016

Oenotourisme : Catherine Troendlé satisfaite des avancées

La sénatrice Catherne Troendlé (LR) a communiqué sa satisfaction au sujet de l’adoption de l’amendement au projet de loi du système de santé qui précise que « ne sont pas considérés comme une publicité ou une propagande, les contenus, images, représentations, descriptions, commentaire ou références relatifs à une région de production, à une référence ou à une indication géographique à un terroir, à un itinéraire, à une zone de production, au savoir-faire, à l’histoire ou au patrimoine culturel, gastronomique ou paysager liés à une boisson alcoolique disposant d’une identification de la quantité ou l’origine ».

L'Alsace du 17 juillet 2016)


Samedi 16 Juillet 2016

Au 152 régiment d'infanterie de Colmar

image C’est dans la salle des Catherinettes à Colmar que le général Richoux, patron de la 7e brigade blindée de Besançon, a appelé le lieutenant-colonel Dabas, nouveau chef de corps du 152e RI de Colmar, à « rendre à l’ennemi tout le mal qu’il nous a fait ».

Le nouveau patron des Diables rouges rejoindra, durant la deuxième quinzaine de septembre, la bande sahélo-saharienne avec quelque 450 soldats de son régiment. Il prendra le commandement du groupement tactique baptisé « Désert ardent », une des composantes de la force Barkhane. Le lieutenant-colonel Dabas, 45 ans, commandera 700 militaires de la brigade (des fantassins du 15-2 mais aussi des sapeurs, artilleurs, cavaliers) qui seront positionnés « au Nord-Est du Mali, entre Tessalit et Kidal ». Certains Diables rouges seront également présents en Mauritanie.

Il prend, à Colmar, la succession du colonel Hasard qui est muté à la direction des ressources humaines à Tours.

(DNA du 16 juillet 2016)


Mercredi 13 Juillet 2016

Illzach/Gala de la nat'synchro Mulhouse

image Le club de la NSM (Nat’Synchro Mulhouse) a convié ses supporters à son troisième gala estival, pour clôturer une

L’ensemble des neuf membres du comité était sur le pont pour cette grande manifestation festive, artistique et sportive. Deux représentations ont eu lieu, la première le samedi soir, la seconde le dimanche, enchaînant au total 14 ballets pour un spectacle de deux heures !

Le thème du gala retenu par les entraîneurs: télévision et le cinéma, sur tous les continents. Tantôt en terre inca, au pays d’Aladdin, ou chez le peuple Navii des Avatar, plusieurs plateaux télé ont été présentés depuis celui de Danse avec les stars, de l’Euro 2016, une séquence hit machine et une épreuve de Koh Lanta emmené par un très beau totem en la personne de la nageuse Elsa Haeusser.
(...)
Au cours de ces deux jours festifs et sportifs, le gala a généré quelque 430 entrées, parmi lesquelles la présence d’officiels et a permis de clôturer l’année en beauté. Ainsi, la sénatrice Catherine Troendlé a remis le prix du Challenge interrégional de Chenôve (qui avait réuni toutes les équipes du Grand Est) à l’équipe Espoirs coachée par Jade Fahr, non sans ponctuer son intervention par un discours d’encouragement. Les applaudissements nourris du public ont salué unanimement la portée de cette allocution.
(...)

(DNA du 12 juillet 2016)


Mardi 12 Juillet 2016

Wittersdorf/"une vocation communale et intercommunale"

image La salle polyvalente rénovée de Wittersdorf a été inaugurée samedi après-midi.
(...)
Ce complexe communal, lieu de vie et de brasage social, est aussi une structure intercommunale notamment grâce à la médiathèque de la vallée de Hundsbach, installée au premier étage.

Atmosphère ouatée

Ce bâtiment est bien loin de « la Halla », la halle, comme l’appelait l’ancien agent communal, Jean-Louis Muller, aujourd’hui retraité. Barbara Koenig qui lui a succédé évolue maintenant dans une salle polyvalente à l’atmosphère ouatée. Samedi, tous les invités ont pu constater cet agréable changement et apprécier la modernité de l’édifice.

Ce complexe géré directement par la municipalité est destiné à favoriser le lien social en soutenant les associations. Cette salle est très souvent occupée et sa gestion nécessite une certaine discipline, la secrétaire de mairie, Régine Jelsch, faisant preuve de beaucoup de diligence pour satisfaire tout le monde.
(...)
En 2016, avec un endettement zéro et des taux au plus bas, un emprunt d’1 million d’euros a été contracté sur 20 ans au taux de 1,75 %. Une subvention de 230 000 € a été accordée au titre de la DETR (dotation d’équipement des territoires ruraux) et 31 000 € par le sénateur René Danési.
Une modernisation maîtrisée
Pour ce dernier, « cette salle est un symbole de la modernisation maîtrisée de notre vallée. C’est une nouvelle étape dans la longue vie de cette salle qui continuera à rendre d’éminents services ».

Éric Straumann a reconnu que le complexe est une « magnifique rénovation, l’entretien est bien assuré ».

Jean-Luc Reitzer a salué cette belle réalisation, « œuvre utile pour l’économie locale, la vie associative et la jeunesse ».

« Ce complexe, qui a 35 ans d’existence, est paré maintenant pour faire face à un nouveau défi générationnel » , a conclu Jean-Marie Freudenberger en saluant le travail et l’engagement des élus.

(DNA du 12 juillet 2016)



Vendredi 8 Juillet 2016

SAint-Louis/Les palmes académiques pour Bertrand Böhler

image C'est « un élément moteur et incontournable dans le fonctionnement du lycée », a commenté mardi le proviseur du lycée Mermoz de Saint-Louis, Jean-Luc Schildknecht, à l’occasion de la remise des insignes de chevalier dans l’ordre des Palmes académiques au proviseur adjoint Bertrand Böhler.

Originaire du Marais poitevin, Bertrand Böhler, professeur de maths-sciences, a commencé sa carrière au lycée professionnel d’Amiens, de 1998 à 1999. Agrégé en sciences physiques au collège Kennedy à Mulhouse à la rentrée 2000, puis au lycée Jean-Jacques Henner d’Altkirch, le récipiendaire a été lauréat du concours des personnels de direction en 2010. Sa carrière s’est poursuivie au lycée Bugatti à Illzach, à la rentrée 2010, comme proviseur adjoint, puis il a été muté au lycée Jean-Mermoz, à Saint-Louis, en septembre 2012.

Par la voix de Jules Féron, son assistant parlementaire, la sénatrice Catherine Troendlé, retenue à Paris, a tenu à témoigner « de l’implication sans faille de Bertrand Böhler dans les missions qui lui ont été confiées au lycée Jean-Mermoz. ». À l’origine de cette distinction, la parlementaire a également souhaité relever « la qualité et la constance de son action quotidienne, qui rejaillissent sur l’ensemble de l’établissement. Par ailleurs, son très fort engagement dans la conduite de projets tels que les partenariats transfrontaliers ou les formations à public mixé permettent au lycée de s’engager dans les démarches innovantes, valorisant les parcours de formation. »

(L'Alsace du 8 juillet 2016)


Vendredi 8 Juillet 2016

déradicalisation - Mission d’information sénatoriale/ Catherine Troendlé (LR) : "un phénomène de grande ampleur"

Co-rapporteures de la mission d’information sénatoriale sur la déradicalisation, Catherine Troendlé et Esther Benbassa étaient dans le Haut-Rhin dans le cadre de la préparation du rapport qu’elles présenteront en début d’année prochaine. Elles devraient y proposer la mise en place d’un cahier des charges pour les associations qui prennent en charge les jeunes.

La mission d’information sénatoriale intitulée Déradicalisation ou désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en France et en Europe a été créée le 16 mars. Ses co-rapporteures sont Catherine Troendlé, sénatrice (LR) du Haut-Rhin, et sa collègue Esther Benbassa (EELV).

« Je suis convaincue qu’on a trop laissé l’exécutif s’occuper de ce problème, sans lien avec les personnes qui, sur le terrain, mènent des expériences », a expliqué cette dernière. « De gros moyens ont été consacrés à la protection et à la répression, mais pas à la prévention », estime Catherine Troendlé.

Après avoir auditionné des chercheurs, les deux sénatrices ont visité la plateforme « Stop djihadisme » ( ✆ 0 800 005 696), l’unité de coordination de la lutte antiterroriste et la prison d’Osny. Elles se sont par ailleurs récemment rendues à Mulhouse où elles ont visité la maison d’arrêt, échangé avec les responsables de l’association Accord 68 et rencontré des magistrats.

« Nous sommes confrontés à un phénomène de très grande ampleur, qui touche toutes les couches sociales et pour lequel nous n’avons pas encore de réponses », note Catherine Troendlé. « De nouvelles difficultés apparaissent, comme les phénomènes de programmation et de simulation. Des jeunes reviennent car ils ont peur, mais ils reviennent militarisés. »

12 000 personnes ont été signalées à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), dont 1 800 sont suivies.

Catherine Troendlé considère toutefois qu’il y a des « expériences intéressantes à généraliser », comme les mesures complémentaires à la peine, basées sur le volontariat, lancées par le procureur général de Colmar. La sénatrice estime par ailleurs que « les programmes de déradicalisation en prison doivent aller à leur terme avant d’être jugés ».

Les deux sénatrices présenteront des propositions concrètes début 2017. Elles devraient notamment préconiser la mise en place d’un cahier des charges pour les associations qui s’occupent des jeunes. « L’écueil à éviter est que la déradicalisation devienne un business pour les associations en quête de subventions », note Catherine Troendlé.

(DNA du 8 juillet 2016)


Mardi 5 Juillet 2016

Décès d'André-Paul Werber

Fervent défenseur de sa région, l’Alsace, héritier des humanistes rhénans, André-Paul Weber, disparu dimanche soir, a aussi été un ardent défenseur de l’Europe fédérale et un pionnier de la coopération transfrontalière dans le Rhin supérieur.

Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin : « Je veux garder de lui l’image de l’homme droit et sincère, du grand capitaine d’industrie. Je ne veux pas oublier son engagement politique, au plus proche des autres et enfin l’écrivain fécond. Un humaniste au sens vrai du mot… Revenu à ses premiers amours au lendemain de son retrait de la vie politique, André-Paul Weber était un historien d’exception, un être toujours passionné par ses sujets ! »

(L'Alsace du 5 juillet 2016)


Mardi 5 Juillet 2016

Huningue - Disparition/André-Paul Weber

L’homme politique, chef d’entreprise et écrivain André-Paul Weber s’est éteint ce dimanche soir à l’âge de 88 ans à Saint-Louis, des suites d’une longue maladie. Vice-président du conseil général du Haut-Rhin de 1972 à 1992, il a été l’un des premiers à poser les bases de la coopération transfrontalière en région des Trois Frontières. Il a également été le cofondateur de la Regio du Haut-Rhin et un Européen convaincu. Son nom reste lié à la construction du pont du Palmrain entre la France et l’Allemagne.

Sa carrière politique terminée, André-Paul Weber s’est consacré aux lettres publiant de nombreux ouvrages dont, ces dernières années, des poèmes en alsacien, sa langue maternelle. « Son intelligence, sa culture, ses convictions européennes manqueront assurément à l’Alsace… », a déclaré hier Philippe Richert, président du conseil régional du Grand Est. Éric Straumann, président du conseil départemental du Haut-Rhin, a salué « un passeur […] avant tout entre les hommes, entre les cultures ». La sénatrice du Haut-Rhin (LR) Catherine Troendlé veut garder de lui « l’image de l’homme droit et sincère, du grand capitaine d’industrie […] sans oublier son engagement politique, au plus proche des autres, et enfin l’écrivain fécond. Un humaniste au sens vrai du mot ».

(DNA du 5 juillet 2016)


Mardi 5 Juillet 2016

Déradicalisation/Mission à Mulhouse

Après avoir auditionné des chercheurs, les deux co-rapporteures de la mission d’information sur la déradicalisation, Catherine Troendlé (sénatrice LR) et Esther Benbassa (EELV,) ont débuté des déplacements sur le terrain.

Après la plateforme « Stop djihadisme » mise en place par le ministère de l’Intérieur, l’unité de coordination de la lutte antiterroriste et la prison d’Osny, elles se sont rendues le 1er juillet à Mulhouse où elles ont rencontré des magistrats, des responsables d’association et visité la maison d’arrêt.

(DNA Du 3 juillet 2016)