Archives des publications


Lundi 27 Juin 2016

RSI

Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) avait attiré l’attention du ministre des Affaires sociales sur les difficultés rencontrées par la Caisse de régime sociale des indépendants (RSI) d’Alsace, concernant le fonctionnement du système d’information.

Marisol Touraine lui a répondu qu’elle avait demandé au directeur du RSI et à celui de l’ACOSS de lui « proposer une nouvelle organisation conjointe de leurs réseaux pour améliorer le recouvrement des cotisations sociales des travailleurs indépendants ».

(DNA du 27 juin 2016)


Lundi 27 Juin 2016

Hégenheim nouvelle piste d'athlétisme

image Déjà utilisée depuis la rentrée par les élèves du collège des Trois Pays de Hégenheim et leurs professeurs d’EPS, la nouvelle piste d’athlétisme a été inaugurée hier. Un équipement qui s’avérait plus que nécessaire pour offrir une pratique décente de ce sport aux collégiens.

C’est avec une pointe d’émotion que la sénatrice Catherine Troendlé, présidente du Sices (Syndicat intercommunal du collège d’enseignement secondaire), a inauguré hier après-midi la toute nouvelle piste d’athlétisme du collège des Trois Pays. Il faut dire qu’il s’agissait d’un des derniers projets du syndicat, ce dernier ayant vocation à être dissout au 1er janvier prochain, ses compétences étant transférées, comme pour les autres syndicats du secteur, à la Communauté d’agglomération des Trois frontières (CA3F).

Un équipement modèle

L’élue a rappelé que le syndicat avait été créé en 1970 et que c’est sous son impulsion qu’avait été construit le Cosec en 1983. La piste d’athlétisme avait également été rénovée une première fois en 2004 mais sa reconstruction devenait plus que nécessaire ces derniers temps : « La piste était devenue dangereuse. Il fallait faire quelque chose de nouveau et grâce aux compétences de l’entreprise qui est intervenue et aux matériaux utilisés, le collège dispose aujourd’hui d’un équipement digne des plus belles pistes du Haut-Rhin. » (...)

(L'Alsace du 27 juin 2016)


Lundi 27 Juin 2016

Hagenthal-le-Haut/ Le chateau de la mairie

image La mairie de Hagenthal-le-Haut vient d’intégrer ses nouveaux locaux, dans le château. Elle dispose de deux accès avec un parking situé rue des Cigognes, qui permet un accès de plain-pied.

« C’est l’aboutissement d’un beau projet collectif, c’était un long chemin » : Pierre Pfendler, maire de Hagenthal-le-Haut, a présidé l’inauguration de la nouvelle mairie de sa commune, désormais logée au château, acquis au prix de 2 700 000 €. (...)

« L’équivalent de douze années de recettes fiscales » : la commune s’est appuyée sur une opération immobilière pour financer l’achat, avec la création du lotissement Les terrasses de Hagenthal. Un logement ainsi qu’un institut de beauté sont aussi en location dans le bâtiment. « Avec ça, la commune a des recettes, la vie des communes a changé, on gère de plus en plus comme des entreprises. » C’est donc, comme l’a précisé Pierre Pfendler, « la réalisation de plusieurs projets s’articulant tous autour du château que nous souhaitons fêter aujourd’hui. »

La nouvelle mairie dispose de deux accès, avec un parking situé rue des Cigognes, qui permet un accès de plain-pied. Les locaux administratifs sont situés au rez-de-chaussée. Les normes d’accessibilité ont été respectées. Le château de Hagenthal-le-Haut, « si cher au cœur de nos habitants », est maintenant accessible à tous les riverains.

Pour cette nouvelle mairie, la commune a investi 159 879 € dans la rénovation, des travaux subventionnés à hauteur de 27 446 € par le conseil départemental du Haut-Rhin, dont le président Eric Straumann aétait présent. L’aménagement du nouveau parking a coûté 66 203 €, subventionnés à hauteur de 6550 € par le conseil départemental et 10 000 € apportés par le fonds parlementaire de Jean-Luc Reitzer

(L'Alsace du 27 juin 2016)


Lundi 27 Juin 2016

Montreux-vieux/ça déménage à la mairie

La commune de Montreux-Vieux va lancer cette année le chantier de restructuration et de mise en accessibilité de sa mairie. Façades, toiture, isolation, chaufferie, etc. Le bâtiment, construit fin XIXe , va être refait (presque) de fond en comble, pour un montant approchant le million d’euros. D’ici là, les services vont devoir changer de crémerie pendant au moins un an.

Ce chantier, c’est un peu son « bébé » : voilà une bonne quinzaine d’années, soit depuis le début de son premier mandat, que le maire de Montreux-Vieux, André Trabold, avait dans l’idée de restaurer entièrement le bâtiment de la mairie, dont la construction remonte à 1878. « Quand je suis arrivé en 2001, les lieux étaient déjà en très mauvais état. » Et malgré les quelques travaux de rénovation ou de peinture effectués çà et là, les lieux avaient plus que jamais besoin d’un coup de jeune. Encore faut-il en avoir les moyens, en ces temps de disette budgétaires. « Depuis 2008, on mettait des fonds de côté pour ce projet … »
Un gros morceau
(...)
Avant le démarrage du chantier, prévu pour novembre prochain, des travaux de désamiantage sont prévus, notamment au rez-de-chaussée du bâtiment. Mais la mairie est déjà dans les cartons depuis près de deux mois. D’ici le milieu de semaine prochaine, le secrétariat, l’accueil du public et l’agence postale communale auront ainsi élu domicile dans le temple protestant (lire ci-contre). « Ça déménage en ce moment », s’amuse André Trabold.

En clair, le chantier consistera à restructurer entièrement le rez-de-chaussée, le sous-sol et le premier étage, soit une surface d’environ 300 m². Travaux d’isolation, remplacement des portes et fenêtres, nouvelle chaudière fioul et ventilation, mise aux normes sécurité incendie, notamment avec l’aménagement d’un escalier de secours, etc. La mairie va complétement changer de visage. Seul le grenier et l’appartement communal situé à l’étage ne seront pas touchés, mais la mairie profitera de l’opération pour aménager un accès direct au logement. Un nouveau hall avec sas et grandes baies vitrées permettra d’accéder directement au guichet d’accueil du public, le bureau du maire sera agrandi et une toute nouvelle salle de conseil, qui servira aussi de salle des mariages, sera aménagée à l’étage. Un ascenseur et deux toilettes pour les personnes à mobilité réduites seront aménagés à l’arrière du bâtiment, avec à chaque fois des accès dédiés à la mairie. Parking, parvis et auvent feront également peau neuve, de même que la cave, qui sera transformée en local de stockage des archives communales.

Coût global du projet : près d’un million d’euros (TTC), ce qui en fait le plus important chantier engagé depuis l’arrivée d’André Trabold aux manettes municipales. « Idéalement », le chantier devrait s’achever fin juin 2017.

Comme le million d’euros que devrait coûter la rénovation complète de la mairie de Montreux-Vieux. Environ 25 000 € de travaux de désamiantage sont d’abord prévus. Le chantier sera financé en majeure partie par des fonds propres de la commune (jusqu’à 600 000 €), ainsi que 400 000 € d’emprunt (à un taux fixe de 1, 4 %, sur quinze ans). Mais la municipalité table aussi sur une aide de la Région au titre de la rénovation BBC (bâtiment basse consommation) et une éventuelle subvention de l’État pour l’accessibilité (dont le montant reste à fixer), sans oublier un coup de pouce financier des parlementaires locaux : 15 000 € issus de la réserve du député Jean-Luc Reitzer et 10 000 € attendus de la sénatrice Catherine Troendlé, pour la partie mobilier et équipement. Le chantier devrait s’ouvrir début novembre et durer plus d’un an et demi. La fin des travaux est prévue pour fin juin 2017, avec une inauguration attendue pour la fin d’année 2017.

(L'Alsace du 27 juin 2016)


Samedi 25 Juin 2016

La confrérie de l'asperge intronise au Sénat

image La rencontre des parlementaires de la majorité alsacienne, réunis mensuellement à l’hôtel particulier de la questure au Sénat, a prêté son cadre à une cérémonie d’intronisation au sein de la Confrérie de l’asperge de Village-Neuf. Une grande première où la parité Haut-Rhin Bas-Rhin aura été pleinement respectée dans le salon des chartreux !

À l’initiative de Catherine Troendlé, consœur depuis 2005, et en présence de René Danési et Jean-Luc Reitzer, tous deux confrères depuis 1986, Fabienne Keller, première femme élue au conseil général du Bas-Rhin en 1992, maire de Strasbourg de 2001 à 2008, sénateur du Bas-Rhin depuis 2004, Antoine Herth, député de la cinquième circonscription du Bas-Rhin (Sélestat) depuis 2002, Francis Hillmeyer, député depuis 2000, élu maire de Pfastatt en 1995 tout comme Michel Sordi à Cernay, député depuis 2002, ont été accueillis, non sans avoir satisfait aux épreuves, dans le cercle très prisé célébrant le légume-roi de Village-Neuf.

Supervisée par Gilles Bisselbach, le grand aspergier d’Alsace, la belle carte du soir - soit le foie gras d’oie, les asperges blanches issues de la production de Bernard Poor, les deux jambons livrées par Bernard Koehl (Leymen) et la glace à la rhubarbe – a été magistralement préparée dans les cuisines du Sénat par Henri Wabnitz, ancien chef de cuisine à L’Ange de Village-Neuf, secondé par son
collègue et ami Théo Baumlin, du Lion d’Or à Rosenau.

Autant de mets accompagnés par les très bonnes bouteilles proposées par la Maison Clément et Matthieu Weck (Gueberschwihr), fournisseur de la cuvée de l’asperge 2016. Mémorable…

Aussi, à la demande générale, ce sera désormais la Confrérie de l’asperge de Village-Neuf qui assurera les prochains dîners des parlementaires alsaciens du mois de juin.

(DNA du 25 juin 2016)


Mardi 21 Juin 2016

altkirch - Inauguration de la médiathèque du Sundgau/Lieu de culture et de sociabilité

image «Un phare rayonnant» sur «l’avenue des Champs Elysées altkirchoise», un «poumon humain et culturel du Sundgau» : l’imagination n’a pas manqué aux élus hier lors de l’inauguration de la médiathèque du Sundgau pour décrire le nouvel équipement, sans oublier les citations d’auteurs bien sûr !

« L’heure est enfin venue ! ». Premier à prendre la parole, Nicolas Jander, conseiller départemental d’Altkirch, a, d’une phrase, résumé le sentiment général et le long chemin qu’il a fallu parcourir pour arriver à cette inauguration, un « événement majeur pour l’avenir et le développement du territoire ». Il a parlé de la médiathèque comme d’un lieu « où se tisse le lien social » et a rappelé comme d’autres orateurs par la suite, l’implication d’un certain nombre de personnes dans ce dossier qui fut compliqué, le président du conseil départemental Eric Straumannn, les 1er et 2e vice-présidents, Rémy With et Brigitte Klinkert et bien sûr, Alphonse Hartmann, ancien conseiller général d’Altkirch
(...)

(DNA du 19 Juin 2016)


Mardi 21 Juin 2016

PJL République Numérique : réunion de la CMP

La commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi pour une République numérique (adoptée en première lecture le 26 janvier à l'Assemblée nationale et le 3 mai au Sénat) aura lieu le 29 juin à 16h30 à l'Assemblée nationale.

Ses 14 membres (7 députés et 7 sénateurs) ont été désignés.
Il s'agit, pour les membres titulaires, de:

pour le Sénat : Mme Catherine TROENDLE (LR / Haut-Rhin), M. Christophe-André FRASSA (LR /
représentant les Français établis hors de France), M. Philippe PALLIER (LR / Seine-Saint-Denis),
Mme Catherine MORIN-DESAILLY (UDI-UC / Seine-Maritime), M.Jean-Pierre SUEUR (PS /
Loiret), M. Yves ROME (PS / Oise), M. Jean-Pierre BOSINO (CRC / Oise).

- pour l'Assemblée nationale: M. Dominique RAIMBOURG (SER / Loire-Atlantique), M. Luc
BELOT (SER / Maine-et-Loire), M. Emeric BREHIER (SER / Seine-et-Marne), Mme Corinne ERHEL
(SER / Côtes-d'Armor), M. Philippe GOSSELIN (LR / Manche), Mme Laure de LA RAUDIERE (LR /
Eure-et-Loir), M. Lionel TARDY (LR / Haute-Savoie).

(Le bulletin quotidien du 21 juin 2016)


Mardi 21 Juin 2016

Galfingue-Mulhouse/Mérite agricole

image Le monde agricole avait une triple raison de se réunir dimanche matin à Galfingue. On y fêtait les 20 ans de la Cuma des Quatre-Saisons, on inaugurait une aire de lavage, et le Mérite agricole était décerné à Henri Perroy et Paul Deguille.


Une centaine de personnes prennent part, ce dimanche matin, à ces trois événements auxquels les deux médaillés ont partie liée. Ils gèrent et animent la Coopérative d’utilisation de matériels agricoles des Quatre-Saisons dont le siège est à Galfingue. Laquelle Cuma a mis en place une nouvelle aire de lavage et de rinçage des pulvérisateurs des machines agricoles, qui contribue à la protection de l’environnement.

C’est le président de la Cuma, Paul Deguille, qui retrace l’historique de la structure agricole qui a vu le jour au printemps 1996, Henri Perroy détaillant, diaporama à l’appui, les différents matériels acquis par la coopérative. « On a pu mettre nos idées au service du bien collectif », relèvent les intervenants qui précisent, s’agissant de l’aire de lavage : « Nous travaillons depuis cinq ans à la réalisation de cet ouvrage ».

Paul Deguille est le premier à être épinglé du Mérite agricole. C’est Laurent Wendlinger qui s’en charge après avoir félicité les adhérents de la Cuma « pour l’innovation dont vous avez fait preuve en périphérie de Mulhouse. Vous avez toujours eu une longueur d’avance par rapport aux politiques qui sont en vigueur actuellement. Vous avez su allier efficience économique et efficacité technique. »

« Une longueur d’avance »

Le président de la Chambre régionale d’agriculture enchaîne avec un portrait de Paul Deguille, qui exploite 140 ha à Galfingue, essentiellement en production céréalière. « Instinct collectif », « sens du partage », « passion pour la gestion », « sens des responsabilités », « courtoisie méticuleuse », « pragmatisme », « engagement », « vision d’avenir » : Laurent Wendlinger a le verbe précis pour qualifier celui qui, entre autres mandats, a intégré en 2000 la Fédération nationale des Cuma où il représente le Haut-Rhin. « En cette période de crise que subit le monde agricole, il est d’autant plus important d’avoir, comme vous, un temps d’avance dans la gestion de nos entreprises ».

Dans sa réponse, Paul Deguille reçoit avec émotion cette médaille « qui récompense mon courage d’entreprendre ». Une invite à continuer « à avancer dans le vrai, le juste et le bon ». (...)

(DNA du 21 juin 2016)


Jeudi 16 Juin 2016

La lutte contre la radicalisation une nouvelle fois interrogée

Depuis 2014, la France tente de mettre en place des outils pour prévenir les actes terroristes.
Le parcours d’Abballa illustre la complexité du défi . Le double assassinat, lundi 13juin, d’un policier et de sa compagne, au nom de l’organisation Etat islamique (EI), par Larossi Abballa, vient une nouvelle fois interroger les méthodes de suivi des individus radicalisés.

Depuis deux ans, tout un dispositif était en train de se mettre en place en France pour tenter de mieux repérer et prendre en charge ceux séduits par le djihad armé. Mais cet arsenal n’en est qu’à ses débuts, et le parcours du djihadiste de 25ans vient illustrer toute la complexité du sujet. (...)

Prise en charge tâtonnante

Un service a été créé spécifiquement pour le piloter : l’Etat-major opérationnel de prévention du terrorisme (EMOPT).La structure a été confiée à Olivier de Mazières, un préfet habitué des sujets sensibles –il était auparavant coordonnateur de la sécurité en Corse. Les fiches des individus signalés, près de 13000 aujourd’hui, « sonnent » depuis peu tous les deux mois si aucune mise à jour n’a été faite. Le fichier sert aussi de base à tout le «criblage » (passage au filtre des fichiers de police) des personnes pouvant être amenées à travailler dans des secteurs sensibles. Une vaste réflexion délicate est à ce titre en cours avec le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN). Si le suivi s’améliore, la prise en charge concrète des individus repérés, reste, elle, très tâtonnante. Dans les départements, de plus en plus d’associations sont mandatées par les préfets pour s’occuper de ce nouveau public. Les services sociaux (Pôle emploi ou les missions locales notamment) peuvent être associés.

Au moins un centre d’accueil est par ailleurs censé voir le jour d’ici à la fin de l’année, comme l’a annoncé le premier ministre, Manuel Valls, en mai. Situé en Indre-et-Loire, il accueillerait des personnes considérées comme les moins à risques – le «bas du spectre », en langage policier. A terme, il pourrait y avoir un centre de ce genre par département. Les grilles d’analyse et la doctrine manquent toutefois sur le sujet. Faut-il parler religion ou emploi aux personnes signalées ? Nécessitent-elles une prise en charge psychologique ou sociale ? Les cas de figure sont nombreux. Un secteur en friche dans lequel a du coup décidé de se plonger, depuis avril, une mission d’information présidée par la sénatrice EELV du Val-de-Marne Esther Benbassa, et la sénatrice LR du Haut-Rhin Catherine Troendlé. (...)

(Le Monde, le 16 juin 2016)



Lundi 13 Juin 2016

Heures supplémentaires défiscalisées

Catherine Troendlé pour la défiscalisation. – La sénatrice Catherine Troendlé (LR) a cosigné amendement dans la loi Travail pour rétablir la défiscalisation des heures supplémentaires qui, d’après ses chiffres, « a représenté un soutien de plus de 4 milliards d’euros au pouvoir d’achat des Français » , entre 2017 et 2012.

(L'Alsace du 12 juin 2016)


Lundi 13 Juin 2016

Quand la Confrérie de l’asperge officie au Sénat

image Une cérémonie d’intronisation au sein de la Confrérie de l’asperge de Village-Neuf a été organisée, lors de la rencontre des parlementaires de la « majorité alsacienne », mardi au Sénat.

À l’initiative de Catherine Troendlé, consœur depuis 2005, et en présence de René Danési et Jean-Luc Reitzer, tous deux confrères depuis 1986, la sénatrice Fabienne Keller, les députés Antoine Herth, Francis Hillmeyer et Michel Sordi ont été accueillis, après avoir satisfait aux épreuves, dans ce cercle très prisé par Gilles Bisselbach, le grand aspergier d’Alsace.

(L'Alsace du 12 juin 2016)


Lundi 13 Juin 2016

Agriculture

La proposition de loi visant à relancer la construction en milieu rural a été adoptée en première lecture au Sénat.

Un des amendements adoptés, cosigné par la sénatrice Catherine Troendlé (Haut-Rhin, LR), doit permettre aux coopératives d’utilisation de matériel agricole (CUMA) de bénéficier de la dispense de recours à un architecte pour les constructions à usages agricoles inférieurs à 800 m².

(DNA du 12 juin 2016)


Dimanche 12 Juin 2016

Élection présidentielle - Les Républicains

image Thierry Solère, président de la Commission nationale d’organisation de la primaire de la droite, est venu dans le Haut-Rhin pour mobiliser les Républicains. Objectif : permettre à la droite d’être au deuxième tour de l’élection présidentielle.

Alors que Nicolas Sarkozy mène campagne sans être candidat, Thierry Solère bat la campagne pour la primaire. Il a participé au comité départemental des Républicains du Haut-Rhin à Mulhouse pour prêcher la bonne parole et mobiliser les troupes, mais pas seulement. « Ce n’est pas la primaire des Républicains », prévient le président de la Commission nationale d’organisation de la primaire de la droite.

« C’est le choix du futur président de la République. Le seul objectif est d’unir la droite derrière un seul candidat. Celui qui sera élu le 27 novembre sera le prochain président », assure le député des Hauts-de-Seine. « Ne pas être rassemblés au premier tour, c’est prendre le risque d’être absents au deuxième. »

« Plus vous aurez de votants, plus ça aura du poids »

Et de nuancer l’idée selon laquelle la droite transcendera difficilement la culture du chef : « La primaire n’est pas plus dans la culture de la gauche que de la droite, elle est liée aux institutions ».

« Le succès » de la primaire sera conditionné à « un résultat incontesté » et à « la mobilisation », indique Thierry Solère. « Plus vous aurez de votants, plus ça aura du poids », poursuit le parlementaire qui table sur une estimation haute de la participation de 4 millions d’électeurs. Pour atteindre ces objectifs, la Haute autorité de la primaire a vu grand.

Elle disposera de 10 338 bureaux de vote -soit « autant que de stations-service » selon Thierry Solère-, dont 144 dans le Haut-Rhin, à raison de 24 par circonscription. « L’objectif est que les électeurs puissent voter facilement », explique-t-on. Les adresses des bureaux de vote seront disponibles via un moteur de recherche sur internet et un numéro de téléphone. Leur liste sera arrêtée le 15 juin.

Tous les Français inscrits sur les listes électorales ainsi que les Français qui auront 17 ans lors de la primaire (20 et 27 novembre) mais majeurs lors de l’élection présidentielle de 2017 peuvent voter. Ils devront s’acquitter de 2 euros par tour de scrutin et signer une charte ainsi rédigée : « Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m’engage pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France ».

Les bureaux de vote seront ouverts de 8 h à 19 h. Ils seront tous présidés par des élus et entourés de trois assesseurs. Les sommes perçues sont collectées par la Haute autorité de la primaire qui a le statut de parti politique. Elles doivent servir à couvrir les frais d’organisation.

« Le choc des titans »

La Haute autorité a bénéficié d’un prêt de 5 millions d’€ de la part des Républicains. Si les fonds récoltés dépassent ce prêt, le solde financera la campagne présidentielle du vainqueur de la primaire.

« Pour l’instant, ça marche super bien », note Thierry Solère. Pour l’instant surtout, la vraie campagne n’a pas encore vraiment commencé. Les candidats ont jusqu’au 9 septembre pour déposer leurs parrainages. La liste officielle sera dévoilée le 21 septembre.

En attendant, Catherine Troendlé, la présidente de la commission d’organisation de la primaire dans le Haut-Rhin, veille au grain. « Je recadre. Je ne peux pas accepter le moindre dérapage ni les petites phrases assassines. En septembre, ça va être le choc des titans puis il faudra rassembler les troupes », explique la sénatrice.

(DNA du 12 juin 2016)


Samedi 11 Juin 2016

Primaires - Les républicains en "ordre de marche"

image Les Républicains organisent des primaires les 20 et 27 novembre pour désigner leur candidat à l’élection présidentielle de 2017. Il y aura 24 bureaux de vote dans la 1re circonscription du Haut-Rhin : 14 bureaux à la Salle des Familles (19, place du Capitaine-Dreyfus) à Colmar ; cinq bureaux à l’Espace du Ried Brun (rue Vauban) à Muntzenheim ; cinq bureaux à la salle des fêtes (6, rue du Soleil) à Neuf-Brisach.

Ce regroupement s’est effectué sur la base des anciens cantons de Colmar-Nord, Colmar-Sud, Andolsheim et Neuf-Brisach.

Ce scrutin est ouvert à tous les Français inscrits sur les listes électorales. Chaque bureau de vote sera composé d’un président et de trois assesseurs. « Nous sommes en ordre de marche », souligne Pierre Ouadi, le délégué de la 1re circonscription, qui a été chargé, comme tous ses collègues, de prendre contact avec les maires pour préparer l’implantation de ces bureaux de vote.

« Dans certaines communes, comme Mulhouse et Colmar, on regroupe une grande partie des bureaux dans un seul lieu », explique Catherine Troendlé, présidente des Républicains du Haut-Rhin et présidente de la commission départementale de l’organisation de la primaire.

Le parti, peu habitué à cet exercice, s’est rangé derrière la décision du bureau politique. « Les militants sont partagés mais ils s’y sont faits », note Pierre Ouadi, qui insiste : « Le scrutin est ouvert à tous ». Il est aussi prêt à accueillir les personnes volontaires pour tenir des bureaux de vote qui seront ouverts de 8 h à 19 h.

(DNA du 11 juin 2016)


Vendredi 10 Juin 2016

Alstom : la réponse de l'Elysée ne satisfait pas les parlementaires

Considérant que leur précédent courrier n’avait obtenu qu’une réponse insatisfaisante, onze sénateurs et deux députés (*) s’adressent une nouvelle fois à François Hollande pour défendre les intérêts du fabricant de trains Alstom.

Dans une première lettre, envoyée à l’Élysée il y a trois mois ( DNA du 8 mars), les parlementaires exprimaient leur « incompréhension » et leur « indignation » après la décision du secrétaire d’État aux Transports, Alain Vidalies, de renouveler le parc de « trains d’équilibre du territoire » (TET) par appel d’offres plutôt que par extension des contrats-cadres existants. Une décision qui « fragilise » les sites de production d’Alstom, dont celui de Reichshoffen, en Alsace du Nord, où travaillent près d’un millier de personnes.

Le directeur du cabinet du président de la République, Thierry Lataste, a répondu à ce courrier le 23 mai dans ce qui ressemble à un accusé de réception : « Le chef de l’État […] particulièrement attaché à la préservation de notre tissu industriel […] a notamment pris note de votre inquiétude liée à l’impact éventuel d’une telle procédure sur le niveau d’activités des sites de production. »

Mécontents, les parlementaires ont à nouveau pris la plume le 2 juin. « Notre objectif n’est pas seulement de vous interpeller, notre objectif est d’obtenir des réponses à notre interpellation, insistent-ils. Le courrier que vous avez bien voulu nous faire parvenir ne comporte aucune information permettant de connaître votre vision à propos de l’avenir d’Alstom […] Nous attendons de savoir clairement à quoi correspond la commande des trente nouvelles rames annoncée par Alain Vidalies, secrétaire d’État en charge du Transport. Nous attendons enfin de savoir si vous avez abandonné définitivement le recours à la procédure des “contrats-cadres” qui permettrait pourtant de consolider l’emploi industriel dans nos territoires. » Et les élus de presser le gouvernement « d’agir » afin de « pérenniser des milliers d’emplois […] ».

(DNA du 8 juin 2016)

(*) Les signataires sont les sénateurs Jean-Marie Bockel (Haut-Rhin), René Danési (Haut-Rhin), Fabienne Keller (Bas-Rhin), Guy-Dominique Kennel (Bas-Rhin), Claude Kern (Bas-Rhin), Jean-François Longeot (Doubs), Cédric Perrin (Belfort), Michel Raison (Haute-Saône), André Reichardt (Bas-Rhin), Catherine Troendlé (Haut-Rhin) et Jacques Grosperrin (Doubs) ainsi que les députés Damien Meslot (Belfort) et Frédéric Reiss (Bas-Rhin).


Vendredi 10 Juin 2016

Visite d’Albert II de Monaco

image En visite hier à Colmar, Issenheim puis Thann, où la famille Grimaldi possède des titres de noblesse, le prince Albert II de Monaco, venu sans son épouse, a rencontré les élus et la population haut-rhinois, multipliant les autographes et les bains de foule. La simplicité princière a visiblement fait mouche parmi les curieux

Les pavois rot un wiss qui ornaient, sous Charles Buttner, l’Hôtel du Département du Haut-Rhin à Colmar pour protester contre la réforme des régions étaient de sortie hier… pour accueillir le prince Albert II de Monaco, en visite dans le Haut-Rhin à l’invitation du président Eric Straumann. Avant 11 h, pendant que le prince visitait le musée Unterlinden, quelque 250 personnes se massaient déjà contre les barrières de sécurité pour approcher « Son altesse sérénissime ».

Le prince est arrivé à 11 h 15 en compagnie d’Eric Straumann, accueilli par les trois premiers vice-présidents du conseil départemental, Rémy With, Brigitte Klinkert et Michel Habig. Dans le carré des officiels notamment, le député Sordi, la sénatrice Troendlé et les conseillers départementaux, mais c’est l’ancien président haut-rhinois Henri Goetschy qui a fait sensation en arborant les couleurs rouge et blanche sur sa canne et une écharpe… du festival du cirque de Monte Carlo !

Dans son discours, le président haut-rhinois a évoqué ces couleurs communes, « marqueurs de la complicité qui nous unit ». « Des couleurs que vous avez personnellement portées jusqu’au Pôle Nord en 2006 et au Pôle Sud en 2009 et qui symbolisent notamment le courage et la détermination » , a souligné Eric Straumann, rappelant que Rainier III, le père d’Albert II, avait « participé activement à la campagne d’Alsace ».

(L'Alsace du 8 juin 2016)


Samedi 4 Juin 2016

PRIMAIRES Les Républicains en marche

image Lors de leur dernier Stammtisch au Café Rapp à Colmar, Les Républicains ont commencé à sérieusement se pencher sur l’organisation de leur primaire ouverte qui aura lieu les dimanches 20 et 27 novembre.

C’est la sénatrice Catherine Troendlé, présidente du comité d’organisation des primaires dans le Haut-Rhin, qui a planché. Un rôle compliqué quand on sait que les militants sont « partagés » sur ce type de désignation de leur candidat à la présidentielle de 2017.

« C’est la première fois qu’on se lance dans l’aventure » , reconnaît la sénatrice qui craint « un choc des titans ». D’ailleurs, pour l’instant, elle reste « neutre » et ne dévoilera pas quel sera « son » candidat. « Il ne faut surtout pas que ça dérape, il faut rester unis ». Voilà l’objectif.

Plus concrètement, dans la première circonscription, il y aura trois lieux de vote : à Colmar (Maison des familles) avec 14 bureaux, à Muntzenheim (Espace Ried Brun) avec cinq bureaux et à Neuf-Brisach (salle des fêtes) avec cinq bureaux. Sachant qu’il faut quatre personnes par bureau de vote, ouvert de 8 h à 19 h, le parti mobilise pour ne pas être pris au dépourvu le moment venu. Rien que dans la première circonscription, il faudra trouver 96 volontaires, 576 pour tout le Haut-Rhin.

Toute personne inscrite sur les listes électorales au 31 décembre 2015 pourra participer au vote à condition de pouvoir justifier de son identité et de verser deux euros.

Chaque électeur devra également s’engager sur l’honneur en signant la phrase suivante : « Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m’engage pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. »
Il y a aujourd’hui 11 candidats déclarés à la candidature. La campagne sera lancée le 2 septembre.

(L'Alsace du 4 juin 2016)