Lundi 30 Mai 2016
Catherine Troendlé obtient que les maires soient associés à la carte de soinsLa sénatrice Catherine Troendlé (LR) a reçu une réponse à la question écrite posée à la ministre de la Santé sur l’organisation territoriale de soins.
Demandant que les élus locaux, et surtout les maires, puissent être associés à l’offre de santé sur les territoires, elle a obtenu gain de cause : les maires dont les communes comptent un hôpital seront membres de droit du « comité territorial des élus locaux ».
(L'Alsace du 29 mai 2016)
Lundi 30 Mai 2016
Santé/Place des maires dans le dispositif Catherine Troendlé , sénatrice (LR) du Haut-Rhin, a demandé à la ministre des Affaires de la Santé « de bien vouloir prendre en compte, dans la rédaction des décrets » de la loi de modernisation du système de santé, « la place légitime des maires et des présidents des établissements publics de coopération intercommunale dans la construction partagée d’une offre de santé sécurisée, de qualité et de proximité ».
La ministre lui a indiqué que le rôle et la composition du Comité territorial des élus locaux répondraient à ces objectifs.
(DNA Du 30 mai 2016)
Lundi 30 Mai 2016
Saint-Louis - Education civique
Petit pèlerinage annuel pour Catherine Troendlé : la sénatrice du Haut-Rhin est venue, dernièrement, rencontrer des élèves en première S au lycée Jean-Mermoz.
Un établissement ludovicien qui est familier pour celle qui préside également le groupe d’amitié France-Allemagne au Palais du Luxembourg : elle y a suivi ses études secondaires, y est revenue en 1988-1989 comme conseillère principale d’éducation (CPE) puis en 2004, elle a siégé comme conseillère régionale au conseil d’administration.
Un vrai cours très instructif
La première vice-présidente de la commission des lois à la Haute Assemblée s’est prêtée à un véritable cours d’éducation civique : de la commune, premier échelon administratif, aux deux chambres du Parlement, en passant par l’intercommunalité, le Département et la Région. Catherine Troendlé n’a pas manqué de retracer le parcours d’un texte, qu’il émane d’un projet de loi (émanant du gouvernement) ou d’une proposition de loi (émanant d’un parlementaire), avec le consensus qui doit se dégager de la fameuse “navette”.
Des «exigences fortes » et « un grand privilège »
Au-delà de ce vaste tour d’horizon autour des institutions françaises, le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas a aussi souligné « les exigences fortes » de ses engagements de parlementaire, vice-présidente de comcom et de maire.
Des engagements qui occupent cette dernière du lundi matin au dimanche midi aussi bien à Paris, en région frontalière où dans une des 377 communes du département dont elle est l’élue : « On voit tellement de monde, on aborde tellement de sujets. C’est un grand privilège ! ».
(DNA DU 28 MAI 2016)
Mardi 24 Mai 2016
Fessenheim/Sarkozy dénonce "le grand chelem de l'erreur"
En déplacement dans l'Est, le président des Républicains s'est à nouveau prononcé contre la fermeture de la centrale.
Ignorer les sondages et continuer à incarner le parti jusqu'à la dernière seconde. Lors d'un déplacement sur le site de Fessenheim, Nicolas Sarkozy a rencontré pour un déjeuner de travail les élus du département. «Il est hors de question de quitter la présidence du parti. Il faut un chef pour cheffer. Si je le quittais aujourd'hui, quinze jours après il se retrouverait dans l'état où je l'ai trouvé il y a deux ans», a-t-il prévenu. (...)
(Le Figaro du 23 mai 2016)
Mardi 24 Mai 2016
Blodelsheim/visite de Nicolas Sarkozy
Avant de rencontrer les responsables de la centrale nucléaire de Fessenheim et les syndicalistes (lire en pages Région), Nicolas Sarkozy a fait une halte pour déjeuner au restaurant chez Pierre, à Blodelsheim.
Le président des Républicains a été accueilli par Eric Straumann, président du conseil départemental ; Michel Sordi, député ; Jean Rottner, conseiller régional ; Catherine Troendlé, sénatrice ; François Beringer, maire de Blodelsheim et Claude Brender, premier magistrat de Fessenheim.
Arrivé après 12 h 30, Nicolas Sarkozy est rapidement entré dans le restaurant pour un repas entre élus avec au menu foie gras, asperges et tarte à la rhubarbe.
(L'Alsace du 23 mai 2016)
Mardi 24 Mai 2016
Saint-Louis/A la rencontre des lycéens
Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin, est venue, accompagnée par son assistant parlementaire Paul-Bernard Munch, à la rencontre des élèves de 1re S du lycée Jean-Mermoz.
L’établissement ludovicien est familier pour celle qui y a suivi ses études secondaires, est revenue en 1988-1989 comme CPE, puis en 2004 a siégé comme conseillère régionale au conseil d’administration.
C’est à un véritable cours d’éducation civique que s’est prêtée la première vice-présidente de la commission des lois à la Haute assemblée : elle est passée de la commune aux deux chambres du parlement, en passant par l’intercommunalité, le Département et la Région. Catherine Troendlé a retracé le parcours d’un texte (projet ou proposition de loi) avec le consensus qui doit se dégager de la fameuse « navette ».
Le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas a aussi souligné les exigences fortes de ses engagements qui l’occupent du lundi matin au dimanche midi, aussi bien à Paris qu’en région frontalière.
(L'Alsace du 24 mai 2016)
Mardi 24 Mai 2016
Saint-Louis/Le lycée court contre la faim dans le monde
Vendredi, au lycée Jean-Mermoz de Saint-Louis, plus de 160 élèves se sont mobilisés contre la faim dans le monde. Un beau geste de solidarité et de générosité qui montre que la jeunesse ludovicienne, bien loin d’être insensible aux injustices, entend bâtir un monde meilleur dans lequel l’autre occupe toute sa place.
Pour la troisième année consécutive, l’Association ACF (Action contre la faim), une ONG française reconnue d’utilité publique, a pu s’appuyer sur le concours sans faille des deux organisateurs internes au lycée, Stéphane Griggio, professeur-coordinateur d’histoire-géographie, et Marité Jehanno, sa collège documentaliste.
Un parcours d’un kilomètre
Le binôme a pu compter sur le soutien actif de tous les professeurs d’histoire-géo autour de la question de la faim, étudiée en cours.
« Les enseignants relaient l’opération dans chaque classe. Cette action se place, depuis trois ans, dans un projet transdisciplinaire mené au sein du lycée tout au long de l’année afin d’alerter les élèves sur la situation alimentaire mondiale et les graves problèmes nutritionnels que celle-ci engendre , explique Stéphane Griggio. Alors que la planète pourrait nourrir aisément 12 milliards de personnes, étant donné les productions réalisées grâce à la chimie et de spectaculaires progrès agricoles dans la sélection des semences et des animaux d’élevage, l’humanité ne parvient pas à assurer la sécurité alimentaire des 7,5 milliards d’hommes sur Terre. Ainsi, près de 800 millions de personnes ne mangent toujours pas à leur faim, particulièrement en Asie et en Afrique, notamment dans la zone subsaharienne. »
Aux côtés de Catherine Chevalier, proviseure-adjointe, de la CPE Tatsiana Vézine, les professeurs d’EPS ont, quant à eux, balisé le parcours d’un kilomètre dans l’enceinte même du lycée. Ils ont encadré la course ainsi que les dix élèves volontaires de la Maison des lycéens qui ont comptabilisé le nombre de tours effectués par chaque coureur. Cela grâce à des traits de marqueur sur chaque dossard. Ils ont aussi aidé à récupérer les passeports pour la course. Stéphane Griggio n’a eu aucun mal à sensibiliser le magasin Géant Casino Saint-Louis qui a offert boisson et petite collation à l’issue de la course à chaque élève participant.
(...)
(L'Alsace du 24 mai 2016)
Lundi 23 Mai 2016
Culture gaullisteGaulliste jusqu’au bout des ongles, la sénatrice Catherine Troendlé s’est « mobilisée pour permettre » à l’association Les Vendredis de la Colline, club politique indépendant, de remettre aux sénateurs appartenant à l’Amicale gaulliste son rapport intitulé Le Gaullisme, une voie d’avenir pour la France ?
La sénatrice du Haut-Rhin s’est « réjouie de cette rencontre et de cet échange de points de vue sur un sujet qui lui tient à cœur, celui du gaullisme, entre des représentants de différentes générations et cultures politiques ».
(DNA du 23 mai 2016)
Lundi 23 Mai 2016
Nicolas Sarkozy dans le Haut-Rhin Le déplacement a été finalisé au pied levé, à la fin de la semaine dernière. Nicolas Sarkozy, président des Républicains, est aujourd’hui dans le Haut-Rhin. Il déjeunera dans un restaurant de Blodelsheim avec les parlementaires, grands maires et cadres de la fédération des Républicains du Haut-Rhin. Ils devraient être 35 autour de la table dont les députés Eric Straumann et Michel Sordi, les sénateurs René Danesi et Catherine Troendlé, les maires Jean Rottner (Mulhouse) et Gilbert Meyer (Colmar), et les conseillers départementaux et régionaux. (...)
(DNA du 23 mai 2016)
Lundi 23 Mai 2016
Saint-Louis/Contre la fin dans le monde
Ce plus de 160 élèves issus des seize classes de seconde générale qui se sont mobilisés, sur la base du volontariat, ce vendredi au lycée Jean Mermoz de Saint-Louis, contre la faim dans le monde. Un beau geste de solidarité et de générosité qui montre que la jeunesse ludovicienne, bien loin d’être insensible aux injustices, entend bâtir un monde meilleur dans lequel l’autre occupe toute sa place…
Pour la troisième année consécutive, l’Association ACF (Action Contre la Faim), ONG française reconnue d’utilité publique, a pu s’appuyer sur le concours sans faille des deux organisateurs internes au lycée, Stéphane Griggio, professeur-coordinateur d’histoire-géographie, et Marité Jehanno, sa collège documentaliste. (...)
(DNA du 21 mai 2016)
Dimanche 22 Mai 2016
Royal et Fessenheim : du pain bénit pour Sarkozy« Ces annonces sont simplement ahurissantes ! », s’exclame la sénatrice Catherine Troendlé à propos de la proposition de Ségolène Royal d’indemniser EDF de 100 millions d’euros pour la fermeture de Fessenheim ( L’Alsace d’hier).
« C’est une proposition de voyous » , accuse le député-maire de Cernay, Michel Sordi (LR), en rappelant qu’ « après la dernière visite décennale, EDF a dépensé 350 millions pour maintenir l’excellent niveau de sûreté de cette centrale ». Il cite encore le rapport des députés Mariton (LR) et Goua (PS), qui avait « conclu à un coût de fermeture de 5 milliards d’euros, dont 4 milliards pour EDF, qui aura à charge d’indemniser nos voisins suisses et allemands ».
Autant dire que c’est du pain bénit pour Nicolas Sarkozy, président des Républicains, qui sera demain dans le Haut-Rhin.
Après un déjeuner avec les élus de son parti, il rencontrera les salariés de la centrale, puis prendra un café avec les représentants syndicaux. Celui qui n’est pas encore candidat à la primaire n’en attendait pas tant.
(L'Alsace du 22 mai 2016)
Vendredi 20 Mai 2016
Bouchons sur l'A 35 : début des travaux fin 2018
À la sortie d’une réunion tenue vendredi dernier en préfecture - à laquelle assistait également Daniel Schicca comme représentant de la Ville de Saint-Louis - le sénatrice Catherine Troendlé, à l’initiative de cette rencontre, s’est félicitée que « ce dossier de la plate-forme TIR soit à présent bien engagé avec un scénario « f » validé par le ministère ». Un ministère des Transports sensibilisé depuis le 28 janvier 2015, date à laquelle Catherine Troendlé y avait déjà évoqué le transit des poids lourds vers la Suisse en général, et la sous-capacité de la plate-forme (avec son absence de séparation des flux soumis aux opérations de dédouanement) en particulier.
Très impliquée dans ce dossier, Catherine Troendlé se montre plutôt confiante : « Deux années sont encore nécessaires pour engager les travaux : quelques études complémentaires sont encore à mener avant de pouvoir dresser un cahier des charges et lancer les appels d’offres ». Pour autant, « alors qu’il y a urgence sur ce dossier, il aurait été souhaitable que les douanes suisses montrent davantage d’intérêt à ce sujet, puisqu’à titre gracieux, une partie du site leur est mise à disposition. La probabilité du renforcement des normes douanières suisses va immanquablement aggraver encore davantage la problématique actuelle ».
Au final, « ce sont quelque huit millions d’euros qui seront nécessaires afin de remédier au mieux aux dysfonctionnements répétés de la plateforme de dédouanement. Le financement sera à rechercher dans le Contrat de plan. ». Les premiers appels d’offres pourraient être lancés avec une perspective de travaux pour la fin de l’année 2018.
Catherine Troendlé se félicite également que « depuis ce printemps, le préfet, omniprésent dans ce dossier, use à bon escient de son pouvoir de police sur cette plate-forme avec multiplication d’amendes voire de retraits de permis ».
« Avec M. le préfet et plus que jamais ses services impliqués dans ce dossier, nous avons décidé, Daniel Schicca et moi-même, de nous retrouver à l’échéance de cet automne afin de faire le point sur ce dossier ludovicien », conclut Catherine Troendlé.
(L'Alsace du 20 mai 2016)
Jeudi 19 Mai 2016
Vie politique/Taxes et URSSAF Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin et vice-présidente du groupe d’amitié France-Suisse au Sénat, se félicite de l’annonce, par le ministre de l’Aménagement du territoire et des Collectivités territoriales, de la compensation des taxes locales que versaient à la communauté d’agglomération des Trois Frontières les entreprises du secteur suisse de l’EuroAirport.
« Depuis le mois de juin 2013, je me suis fortement mobilisée sur ce sujet en interpellant notamment le premier ministre sur l’imposition des nouvelles taxes imposées aux compagnies aériennes opérant en secteur suisse, risquant de mettre à mal l’économie de toute la région frontalière ». Au dernier trimestre 2014, Catherine Troendlé s’était emparée cette fois de la problématique du régime fiscal des entreprises du secteur douanier suisse de l’Euroairport. Ainsi, deux lettres avaient été adressées au président de la République et au premier ministre, afin de tenter de solutionner cette situation juridique instable. Il y a quelques mois, face à l’inertie, elle avait demandé qu’une table ronde soit organisée, réunissant tous les acteurs impliqués et notamment les employeurs suisses. En vain…
« À présent, mes différentes interventions ont porté : c’est quelque deux millions d’euros de compensation qui apparaîtront bel et bien sur la ligne “recette fiscale” du budget de la communauté d’agglomération des 3F ». Pour la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, « ce régime juridique qui s’inscrira dans la durée permettra encore davantage de consolider le rayonnement de la région frontalière, par son fleuron économique qu’est l’EuroAirport ».
Pour autant, Catherine Troendlé dit vouloir rester « vigilante jusqu’à la signature de la convention entre les deux gouvernements, la France et la Confédération helvétique, convention qui devra être ratifiée : trop d’annonces ont été faites sans concrétisation effective ! ».
Urssaf/travailleurs frontaliers
Les nombreuses interventions menées par Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, auprès de différents ministères, viennent d’être couronnées de succès : « l’Urssaf Alsace vient d’annoncer qu’elle cessait désormais d’adresser des demandes de cotisations sociales des travailleurs frontaliers (employés à temps partiel dans les deux pays ou cumulant un emploi en suisse et des indemnités de chômage en France) à leurs employeurs. Bien que d’une durée temporaire, ce moratoire permettra aux chômeurs français polyemployés de trouver plus aisément un emploi en Suisse, car les employeurs n’auront plus à payer des charges sociales en France bien plus élevées qu’en Suisse.
Il y a lieu d’espérer que la législation sociale actuellement en cours de négociation entre les gouvernements des deux pays suivra la même voie bénéfique, pour l’emploi des travailleurs frontaliers et l’épanouissement économique de notre territoire des trois pays ».
Les sénateurs du Haut-Rhin Catherine Troendlé et René Danesi (LR), cosignataires de la proposition de résolution présentée par leur collègue de Haute-Savoie, Cyril Pellevat (LR), visant à améliorer la coordination des régimes d’assurances sociales des travailleurs frontaliers avec la Suisse, souhaitent que cette action commune et concertée pèse de tout son poids.
(L'Alsace du 19 mai 2016)
Mercredi 18 Mai 2016
EuroAirport/compensention financière L’exonération des taxes locales appliquée aux entreprises suisses de l’aéroport de Bâle-Mulhouse sera compensée par l’État français. La communauté d’agglomération des Trois Frontières touchera bien ses 2 millions d’euros de recettes fiscales malgré l’accord sur le régime fiscal de l’aéroport.(...)
« Le gouvernement veillera à l’équilibre d’ensemble, au bénéfice du territoire » , a répondu Jean-Michel Baylet, ministre de l’Aménagement du territoire.
Une réponse satisfaisante pour les élus dont Catherine Troendlé, sénatrice LR et vice-présidente du groupe d’amitié France-Suisse au Sénat, qui suivait aussi le dossier.
(L'Alsace du 18 mai 2016)
Dimanche 15 Mai 2016
Assemblée des chasseurs/Prélever un maximum de sangliers !
L’assemblée générale de la fédération départementale des chasseurs du Haut-Rhin s’est tenue samedi 30 avril, à Bartenheim, devant plus de 300 membres.
Avant d’entamer son rapport moral, le président, Gilles Kaszuk, a salué Jacques Ginther, maire de Bartenheim, Catherine Troendlé (...).
Les fédérations n’ont pas épargné leurs efforts pour réduire les accidents de chasse, et ont diffusé nombre d’informations concernant les règles de sécurité. Dans le Haut-Rhin, une formation destinée à tous les organisateurs de chasse collective sera organisée afin de les sensibiliser à la sécurité.
« La ruralité sans chasseurs, c’est moins de biodiversité »
Autre sujet évoqué par le président, celui de la biodiversité : « Lors du congrès de la fédération nationale des chasseurs, le ministre de l’Aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités locales a reconnu l’action des chasseurs dans le domaine sanitaire, de la sauvegarde et la restauration des paysages, de l’éducation au respect de l’environnement et de la sécurité. La ruralité sans chasseurs, ce sont des cultures ravagées, et moins de biodiversité ». La fédération départementale était également présente lors de la conférence du Rhin supérieur, avec l’Allemagne et la Suisse. Cette rencontre avait pour but de comparer les problèmes de régulation, de protection, de gestion, et de suivre des populations aussi différentes que la perdrix, le faisan, le loup, le lynx, et bien d’autres nuisibles. « Il est important que ces échanges se fassent, de manière à mettre en commun les études et les expériences, afin d’harmoniser les textes dans les trois pays sur certains problèmes existants, même si ce n’est sans doute qu’un rêve », n’a pas manqué de rappeler Gilles Kaszuk.
(...)
(DNA du 15 mai 2016)
Dimanche 15 Mai 2016
L'état d'urgence prolongé État d’urgence
Au nom du groupe des Républicains du Sénat, Catherine Troendlé (Haut-Rhin) a défendu « la nécessité de la prorogation de l’état d’urgence jusqu’au 26 juillet », en raison de l’Euro 2016 et du Tour de France, qui vont rassembler des milliers de personnes, « soit autant de cibles potentielles », et des récents attentats commis à l’étranger, visant les intérêts de la France et de ses alliés.
(DNA du 15 mai 2016)
Dimanche 15 Mai 2016
Sexisme/"Les lourdauds , on les envoie balader"L’affaire Baupin – si elle est confirmée par la justice – jette une lumière crue sur la politique, qu’on croyait d’abord destinée à séduire… les électeurs. Sans doute ne faut-il pas confondre les agressions, le harcèlement et le sexisme ordinaire, lequel ne se limite pas au monde politique, chacun en convient. Mais les élues ont toutes des anecdotes à raconter…
(...)« Les propos ne sont pas les mêmes lorsque les hommes se retrouvent entre eux et lorsque les hommes et les femmes sont ensemble. Ce qui est le cas depuis l’instauration de la parité » , note la Colmarienne Brigitte Klinkert, qui a été longtemps la seule femme au conseil général du Haut-Rhin. Discrètement, elle admet avoir essuyé des remarques sur la longueur de sa robe. Mais elle a su, très jeune, se faire respecter… La plupart des femmes ont appris à faire la part des choses, entre une remarque spontanée, une bise gentille et un compliment un peu – trop ? – appuyé.
« Les gens sont souvent tactiles en politique. Ils vous touchent le bras ou le dos. Rien à voir avec ce qu’on a pu lire sur Denis Baupin, si c’est avéré. Là, il ne faut pas avoir d’état d’âme. Ce serait ma main dans sa figure et je l’aurai raconté à tout le monde ! » , s’emporte la sénatrice Catherine Troendlé (LR).
(...)
(DNA du 15 mai 2016)
Mercredi 11 Mai 2016
Helfrantzkirch/Disctions pour citoyens
Lors d’une petite réception lundi soir à la mairie de Helfrantzkirch, cinq donneurs de sang bénévoles ont été diplômés. L’occasion de remettre la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports à Gilbert Tschamber.
Natif de Helfrantzkirch, Gilbert Tschamber, qui vient de recevoir la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports, a baigné dès son jeune âge dans la vie associative de son village. Son père Germain l’a initié au bénévolat et c’est ainsi qu’il a débuté, tout jeune, chez les musiciens de l’harmonie locale et qu’il a intégré le corps des sapeurs-pompiers.
En 1969 démarre sa vie de footballeur pour défendre les couleurs de l’Ascco Helfrantzkirch. Des cadets de l’époque aux vétérans de nos jours, Gilbert est resté fidèle aux couleurs du club de ses débuts, dont il fut aussi le capitaine.
Référent arbitre de l’Ascco
Durant trente-deux ans, il a siégé au comité de l’Ascco, en fut le président de 1989 à 1991 et rempila par la suite pour cinq ans comme vice-président. Parallèlement, le récipiendaire a occupé les fonctions d’entraîneur de jeunes et, depuis 2007, il est le référent arbitre du club.
Ce parcours associatif a été salué par de nombreuses distinctions allant de la breloque de bronze à celle d’or, décernée en 2008 par la Lafa (Ligue d’Alsace de football).
Homme discret, mais toujours prêt à rendre service, Gilbert Tschamber jouit depuis peu d’une retraite méritée et nul doute qu’il mettra une part de celle-ci au profit du bénévolat et de la vie associative, celle qui a toujours donné un sens à sa vie.
Au cours de la même réception lundi soir à la mairie, le diplôme des donneurs de sang bénévoles 1er niveau a été décerné à Marie Burklé, Dominique Wioland et Anthony Bubendorff.
Véronique Bruat et Jean Bernard Sutter se sont vu remettre le diplôme 2e niveau pour dix dons.
(L'Alsace du 11 mai 2016)
Mardi 10 Mai 2016
Cérémonies du 8 mai/A Saint-Louis. La flamme du souvenir
Il y a 71 ans, la plus sanglante des guerres, avec ses quelque soixante millions de victimes, militaires et civiles, prenait fin en Europe.
Dimanche sur fond de flamme de la mémoire ravivée par le sous-préfet mulhousien Jean-Noël Chavanne et le maire Jean-Marie Zoellé, la traditionnelle commémoration de la Victoire alliée de 1945 a prêté son cadre officiel à la remise de l’insigne de porte-drapeau en vermeil (avec palme) par François Scherr, directeur de l’OPNAC 68, à Lucien Nowaczyk. Ce porte-drapeau de l’Amicale des anciens marins de Saint-Louis et environs totalise pas moins de 37 ans de service.
La renaissance d’une France libre
Comme par le passé, Albert Elser n’a pas manqué les grandes dates jalonnant la défaite allemande et la renaissance d’une France libre, assise au banc des vainqueurs, tournant la sinistre page de la Collaboration ! La lecture du message signé Jean-Marc Todeschini, Secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de Mémoire, a précédé le dépôt de trois gerbes, déposées notamment par Jean-Noël Chavanne, la sénatrice Catherine Troendlé, le maire de Saint-Louis Jean-Marie Zoellé, et Max Delmond, conseiller départemental.
Comme le veut une tradition ludovicienne, c’est en défilé, ouvert par l’Orchestre d’Harmonie de Saint-Louis, la Batterie Fanfare de Bourgfelden et le groupe folklorique « Les Trois Lys » que les nombreux officiels et les anciens combattants ont rejoint pour la première fois la place du Forum.
(DNA du 10 mai 2016)
Mardi 10 Mai 2016
DéradicalisationLe suivi des personnes endoctrinées est assuré par des associations à l ' expertise incertaine Manuel Valls veut empêcher les abus Déradicalisation : attention , business douteux Lors d' n comité interministériel pour la prévention de la délinquance ce lundi , Manuel Valls a présenté 50 nouvelles mesures contre la radicalisation . Parmi elles , la construction d'un centre de désendoctrinement par région, la création d'un véritable service de renseignement pénitentiaire et d'un collège universitaire dédié à la recherche contre la radicalisation.
Beaucoup d'argent est parti pour rien », reconnaît la sénatrice EELV, Esther Benbassa, qui mène avec sa collègue Catherine Troendlé (LR) une mission d'information sur les méthodes de « désendoctrinement, désembrigadement et de réinsertion» des anciens djihadistes. « Cette affaire de déradicalisation est entrain de devenir un business » ,regrette-t-elle. Un écueil que le Premier ministre veut combattre en mettant en place une cellule nationale de coordination et d'appui regroupant maires , préfets et des réseaux d'opérateurs associatifs. Également annoncé, la création d'un collège universitaire chargé de la recherche contre la radicalisation. « Ce qui est très bien, c'est d'augmenter les sommes alloués à la recherche. On a longtemps oublié les chercheurs sur ces questions, souligne Esther Benbassa. Contrairement à ce que disait M .Valls, comprendre, ce n' est pas excuser. faut à tout prix comprendre l'extrême complexité de ce phénomène d ' embrigadement. »
(L'Opinion du 10 mai 2016)
Dimanche 8 Mai 2016
Gestation pour autrui (GPA)La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin), appelle, avant l’examen en juin d’un nouveau rapport sur la GPA par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, à le rejeter.
« Le désir d’enfant, légitime […] ne doit pas devenir un droit à l’enfant », estime-t-elle.
(DNA du 8 mai 2016)
Samedi 7 Mai 2016
Saint-Louis/L'enthousiasme des Amis du Patrimoine
L’année 2015 a été particulièrement dense en échanges culturels pour la société d’histoire de Saint-Louis, les Amis du patrimoine. Tour d’horizon lors de la dernière assemble générale.
(...)
Selon la présidente, « le vœu est émis de faire vivre ce lieu de mémoire avec rayonnement et dynamisme, par l’engagement sans faille de toute l’équipe de la société des Amis du patrimoine. Qu’ils en soient remerciés ». Daniel Schicca, adjoint au maire de Jean-Marie Zoellé, s’est fait le porte-parole de la municipalité afin de relever tous les champs d’action, divers et variés, manifestation après manifestation, déployés par les historiens locaux.
Le mot de la fin est revenu à Catherine Troendlé. La sénatrice du Haut-Rhin n’a pas manqué de relever « ces trop rares femmes à présider des cercles d’histoire en Alsace du Sud, des femmes pleinement investies. En témoigne l’enthousiasme communicatif de Jocelyne Straumann ou de Gabrielle Claerr-Stamm, à la tête de la société d’histoire du Sundgau. »
(L'Alsace du 7 mai 2016)
Vendredi 6 Mai 2016
Déradicalisation : la France en quête de stratégieDepuis les attentats de 2015, les initiatives locales se sont multipliées et les subventions de l'État ont bondi de 1000 %% , mais une politique nationale cohérente fait encore défaut.
La nécessité de professionnaliser le suivi des 13 000 islamistes radicaux identifiés en France s'impose au gouvernement. Aujourd'hui , pas moins de 75 structures diverses reçoivent 6 millions d'euros de subventions publiques, douze fois plus qu' en 2014. Mais le ministère de l'Intérieur veut reprendre la main sur cette nébuleuse : il compte ouvrir d'ici à deux ans des centres de déradicalisation gérés par ses soins et former plusieurs
centaines de psychologues et de travailleurs sociaux spécialisés. Le problème est particulièrement aigu dans les prisons, qui comptent 266 détenus pour des faits de terrorisme, presque exclusivement liés au djihadisme .
(...)
Ce « marché » de la prise en charge des apprentis djihadistes et de leurs familles a explosé. Au risque que s' y engouffrent des charlatans et des structures qui s'entredéchirent dans l'espoir de décrocher une partie de la manne étatique. « Le désendoctrinement risque de devenir un business , où tout le monde court après les subsides de l'État » , redoute la sénatrice (EELV) Esther Benbassa qui mène avec sa collègue Catherine Troendlé (LR) une mission d'information sur les méthodes de « désendoctrinernent , désembrigadement et de réinsertion» des anciens djihadistes ou candidats au djihad mises en oeuvre en France et en Europe.
(...)
(Le Figaro du 6 mai 20216)
Jeudi 5 Mai 2016
État d’urgence : une nouvelle prolongation validée par la commission des lois
Le projet de loi visant à prolonger de deux mois l’état d’urgence (à compter du 26 mai) sans perquisitions administratives a été adopté hier sans changement par la commission des lois du Sénat.
Cette prolongation vise « à avoir tous les moyens nécessaires pour assurer la sécurité » de l’Euro-2016 de football, puis du Tour de France cycliste, a précisé le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, hier.
Il revient au Parlement de voter la prolongation de l’état d’urgence déjà prorogé à deux reprises pour trois mois jusqu’au 26 mai. Sauf surprise, il devrait très probablement l’adopter, comme cela avait été le cas précédemment.
(DNA du 5 mai 2016)
Mardi 3 Mai 2016
Urschenheim/La mairie inaugurée
Samedi matin, la mairie d’Urschenheim a été officiellement inaugurée. Un nouveau bâtiment lumineux, fonctionnel et accueillant, qui a coûté un peu plus d’1,2 million d’euros.
Lors de l’accueil des invités, le maire Robert Kohler est revenu sur le passé de la commune et son peu de confort, qui au fil des ans s’est largement amélioré, pour arriver aujourd’hui à cette inauguration.
La construction de la nouvelle mairie est issue de la réflexion de l’équipe précédente, dirigée par le maire honoraire Georges Poncelet : « Elle trouve sa justification dans l’étroitesse des précédents locaux, mais également dans le cadre de l’accessibilité et de la mise aux normes de locaux accueillant le public. La construction de notre mairie parachève un ensemble de réalisations importantes, qui font que le village dispose d’un bon niveau d’équipements collectifs, tout en maîtrisant les coûts de fonctionnement ».
Le maire a détaillé le plan de financement : d’un coût total de 1 264 266 € TTC, le projet a été autofinancé à hauteur de 477 468 € et a bénéficié de subventions ; 117 537 € du conseil départemental, 50 000 € de la Région ; 10 000 € de la sénatrice Catherine Troendlé ; 10 000€ de la communauté de communes du Pays de Brisach. Un emprunt de 400 000 € a été nécessaire. Le fonds de compensation de la TVA a permis d’apporter 199 261 €.
(...)
(DNA du 2 mai 2°16)
Mardi 3 Mai 2016
Travailleurs frontaliers/Proposition de résolution Les sénateurs du Haut-Rhin Catherine Troendlé et René Danesi (LR) sont cosignataires de la proposition de résolution, présentée par leur collègue de Haute-Savoie, Cyril Pellevat (LR), visant à améliorer la coordination des régimes d’assurances sociales des travailleurs frontaliers avec la Suisse.
Courant 2015, Catherine Troendlé avait déjà attiré l’attention des ministres des Affaires étrangères, du Travail et des Affaires sociales, sur deux règlements européens s’étendant à l’accord franco-suisse sur l’assujettissement de certains frontaliers. Ces directives concernent les salariés domiciliés hors de Suisse qui, en parallèle de leur emploi sur le territoire fédéral, sont inscrits à Pôle emploi en France ou y exercent une activité à temps partiel. La réponse de Jean-Marc Ayrault leur paraissait des plus évasives (voir notre édition du 11 avril dernier).
À présent et plus que jamais, la Sécurité sociale française multiplie les relances auprès des entreprises suisses employant du personnel frontalier afin d’obtenir l’affiliation de certains de leurs employés en France et le paiement des cotisations aux taux français, le cas échéant de manière rétroactive (pour une durée de trois ans).
Par leur résolution, les douze signataires, tous membres du groupe d’amitié France-Suisse, soulignent que, tels qu’ils sont actuellement appliqués, « ces deux règlements obligent les employeurs suisses à payer au barème français l’ensemble des charges sociales du personnel concerné ; que cette obligation coûteuse entraîne une grande complexité administrative et une insécurité juridique ».
Constatant que cette situation, tout en pénalisant les entreprises suisses, a des conséquences néfastes sur l’emploi des travailleurs frontaliers français, les sénateurs invitent le gouvernement à rechercher avec la Suisse, dans le cadre du droit européen, « un accord relatif à la coordination du régime des assurances sociales des travailleurs frontaliers dont les modalités garantissent l’affiliation des frontaliers auprès des assurances sociales du siège de l’employeur ».
(L'Alsace du 2 mai 2016)
Mardi 3 Mai 2016
Des trésors de diplomatie C’est en coalition que les sénateurs haut-rhinois René Danesi et Catherine Troendlé (LR), Patricia Schillinger (PS) et Jean-Marie Bockel (UDI) ont rencontré au Palais du Luxembourg Jean-François Kraft, le directeur départemental des Finances publiques du Haut-Rhin.
Au cœur de la discussion : la restructuration du réseau des trésoreries. Les quatre parlementaires demandent « une évolution progressive et en douceur » de cette démarche : « Qu’il n’y ait pas de décision généralisée et hâtive », « que les spécificités géographiques et sociologiques soient bien prises en compte » et « qu’il y ait une large concertation avec les élus locaux et les personnels des trésoreries ».
(DNA du 2 Mai 2016)