Archives des publications


Dimanche 31 Mai 2015

Parlement/Collège : Catherine Troendlé interpelle Vallaud-Belkacem.

En séance, Catherine Troendlé, sénatrice UMP, a reproché à Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de faire « la sourde oreille » devant la levée de boucliers des enseignants sur la réforme des collèges.
La ministre a répliqué qu ’« une consultation a été lancée ». « C’est seulement après avoir recueilli l’avis des 800 000 enseignants qu’ils seront définis. La consultation va au-delà, j’ai sollicité de grands historiens pour le forum du 3 juin » , a-t-elle précisé.

(L'Alsace du 31 mai 2015)


Samedi 30 Mai 2015

Ami Hebdo/personnalités

Cinq Alsaciens font partie du nouveau bureau politique de l’UMP. Joseph Daul , ancien député européen et président du Parti populaire européen, membre de droit,Jean Rottner , maire de Mulhouse est membre invité permanent.

Les sénateurs Fabienne Keller et Catherine Troendlé font partie du collège des cinquante parlementaires et Bernadette Thiebaut fait partie du collège des dix représentants des fédérations.

(L'Ami Hebdo 31 mai 2015)


Vendredi 29 Mai 2015

Collège/nouvelle grève le 11 juin

La ministre Najat Vallaud-Belkacem a défendu jeudi sa réforme devant les sénateurs.

« Vous avez publié un décret en catimini, au lendemain d’une mobilisation des enseignants (…) Entendez-vous ouvrir une large concertation sur la réforme du collège et les programme ? ».
La question posée par la sénatrice Catherine Troendlé n’obtiendra pas de réponse de la ministre ? Najat Vallaud-Belkacem en appelle « à la sérénité ».
(...)

(Le Figaro du 29 mai 2015)


Jeudi 28 Mai 2015

Pourquoi la FCPE a déboulonné son président Paul Raoult

Révolution de palais ou crise de régime ? Au dernier congrès de la FCPE, première fédération des parents d'élèves, la contestation s'est cristallisée sur la personne de son président.

Le 24 mai 2015, le 69e Congrès national de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), classée à gauche, a déboulonné son président Paul Raoult et n’a pas validé le rapport d’activité, c’est-à-dire le bilan des actions de l’année. Du jamais vu dans l’histoire de la FCPE.

Est-ce une remise en cause de la direction, qui a clairement défendu la réforme du collège ? La droite ne s’est pas gênée pour le dire. Catherine Troendlé, sénatrice UMP, parle d’un "revers cinglant de l’équipe nationale de la FCPE". Selon elle, les parents d’élèves "ont sévèrement sanctionné les soutiens inconditionnels de Mme Vallaud-Belkacem et le projet de réforme du collège". (...)

(Le Nouvel Obs du 27 mai 2015)


Mercredi 27 Mai 2015

Droit d'asile. Le Sénat adopte la réforme contre l'avis du gouvernement

Le Sénat a adopté mardi en première lecture la réforme du droit d'asile après l'avoir durcie, contre l'avis du gouvernement.

UMP et centristes se sont opposés entre eux sur une disposition - rejetée à gauche - voulant qu'un rejet définitif de demande d'asile par l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) vaille obligation de quitter le territoire français.
(...)
La procédure d'asile « a été dévoyée et transformée en véritable machine à légaliser des clandestins », a lancé Catherine Troendle (UMP). « Notre groupe se satisfait des travaux du Sénat, qui ont permis d'améliorer ce texte, par l'introduction de deux principes importants à nos yeux : celui de l'insertion, des bénéficiaires d'une protection, et celui de l'éloignement, des personnes déboutées de leur demande d'asile », a-t-elle ajouté.
(...)

(Ouest-France du 27 mai 2015)


Mercredi 27 Mai 2015

Asile/Paris entre la loi de Bruxelles et celle celle du Sénat

"Quotas". Le mot dérange à Paris, mais la Commission de Bruxelles va proposer, en ce milieu de semaine, que 40 000 demandeurs d'asile arrivés en bateau en Italie et en Grèce soient accueillis dans d'autres pays de l'Union.
(...)

Autre question sensible : que faire des déboutés du droit d'asile qui engluent la machine de l'asile ? Bernard Cazeneuve ambitionne de réduire à neuf mois en moyenne la durée totale de l'examen d'une demande de statut de réfugié, alors qu'actuellement elle peut excéder deux ans.

Sa réforme a été durcie, mardi soir, par le Sénat, qui a voté le principe selon lequel le rejet définitif d'une demande de statut de réfugié vaut obligation de quitter le territoire français. Les socialistes se sont même abstenus.
"La procédure d'asile a été dévoyée et transformée en véritable machine à légaliser des clandestin", selon Catherine Troendlé, orateur au nom du groupe UMP.
(...)

(Le Figaro du 27 mai 2015)


Mercredi 27 Mai 2015

La fédération de parents FCPE confrontée à une crise inédite

Désavoué lors du congrès national, qui s’est tenu à Reims du 23 au 25 mai, Paul Raoult ne sera pas reconduit à la présidence de la FCPE, la principale fédération de parents d’élèves.Il lui est reproché un manque de démocratie interne mais aussi un soutien « inconditionnel » aux réformes gouvernementales.

Les 840 représentants FCPE devaient, comme à chaque congrès, renouveler un tiers du bureau national. Étaient en lice 24 candidats, pour huit postes à pourvoir. À l’arrivée, aucun de ces sièges ne revient au président sortant, Paul Raoult.

N’étant plus administrateur, ce Vosgien ne peut briguer de second mandat à la tête de la fédération – une situation inédite en près de soixante-dix ans – et sera remplacé le 6 juin lors d’un vote du nouveau bureau. Ce désaveu s’est aussi traduit par un rejet du rapport d’activité, approuvé par à peine 41 % des votants.

La direction de la FCPE paie-t-elle son soutien à la réforme du collège ?

C’est ainsi que Catherine Troendle, secrétaire nationale de l’UMP à l’éducation, interprète ces résultats. « Les parents d’élèves du public membres de la FCPE ont sévèrement sanctionné les soutiens inconditionnels » de leur direction au gouvernement et à la réforme du collège, estime cette sénatrice.
(...)

(La Croix du 26 mai 2015)


Mercredi 27 Mai 2015

Crise à la FCPE et cinglant désaveu de son président

Crise de gouvernance » ou premier contrecoup du passage en force de la réforme du collège ? Les deux explications s’entremêlent sur la crise ouverte que traverse la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE).

Dimanche 24 mai, lors de son 69e congrès à Reims, le rapport d’activité présenté par la direction nationale a été rejeté et l’actuel président, Paul Raoult, n’a pas été réélu comme administrateur.

C’est la première fois depuis la fondation de la FCPE en 1947 qu’un président rééligible n’est pas reconduit comme membre du conseil d’administration. Quant au rapport d’activité, il a obtenu 41 % de votes positifs, 48 % de vote contre et 11 % d’abstentions. Pour l’élection des administrateurs, les suffrages des congressistes se répartissaient entre 24 candidats, chaque votant ayant la possibilité d’apporter son suffrage à huit d’entre eux. Paul Raoult n’a obtenu qu’environ 250 voix sur 800 – contre près de 400 à l’administrateur le mieux élu.

Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin et secrétaire nationale de l’UMP chargée de l’éducation, a réagi pour sa part en soulignant « le revers cinglant » essuyé par la direction de la FCPE.
(...)

(Le Monde du 26 mai 2015)


Mercredi 27 Mai 2015

Dannemarie/L’honorariat pour Gérard Landemaine

image Un sous-préfet, deux sénateurs, un député, des maires ou d’anciens élus et délégués de la Porte d’Alsace à la pelle : il y avait du beau monde, jeudi dernier, sur le parvis du pôle enfance de Dannemarie. Officiellement, tous avaient rendez-vous pour le dévoilement d’une plaque souvenir rappelant l’inauguration de la structure, le 28 septembre 2013. Mais il s’agissait surtout de rendre un hommage appuyé – et surprise ! – à l’ancien patron de l’intercommunalité, Gérard Landemaine, qui s’est donc vu remettre le titre de président honoraire de la CCPA des mains de Sébastien Cecchi, sous-préfet d’Altkirch.

L’occasion pour les anciens collègues de saluer l’action de l’ex-président. Et les qualités d’un homme de « rigueur » qui s’est engagé pour la cause publique trois décennies durant. « Trente années d’une vie consacrée à l’intérêt général de la collectivité, en reléguant bien souvent au second plan la vie privée. » Attribué par arrêté préfectoral, l’honorariat est une distinction symbolique qui permet aux collectivités de saluer l’engagement et la longévité de certains élus. Pour y prétendre, il faut justifier d’au moins dix-huit années de mandat. Avec Gérard Landemaine, le quota est largement atteint.

Un fin gestionnaire doublé d’un « battant »

« C’est grâce à des battants comme toi, Gérard, et à la confiance qu’ils savent inspirer, que notre comcom a avancé, ainsi que tout notre Sundgau », a insisté l’actuel président de la CCPA, Pierre Schmitt, qui n’a pas manqué de retracer le riche parcours de son prédécesseur. En 1987, Landemaine avait été élu vice-président au moment de la création du Sivom, le syndicat intercommunal qui, six ans plus tard, allait donner naissance à l’actuelle communauté de communes, première à avoir été créée en terres alsaciennes.

(L'Alsace du 27 mai 2015)


Mardi 26 Mai 2015

BFMTV/Réforme du collège: désavoué, le président de la FCPE ne sera pas reconduit

Les délégués de la fédération de parents d'élèves n'ont pas reconduit dimanche le président Paul Raoult dans ses fonctions d'administrateur. L'UMP voit dans ce désaveu un "revers cinglant" pour la réforme du collège, soutenue par la FCPE.

La FCPE, première fédération de parents d'élèves, devra se trouver un nouveau président après le désaveu inattendu des délégués ce week-end, attribué en interne à une "crise d'organisation" mais vu à l'UMP comme un "revers cinglant" pour la réforme du collège.

Réunis en congrès à Reims, les délégués de la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE), classée à gauche, n'ont pas reconduit dimanche le président Paul Raoult dans ses fonctions d'administrateur. Le Conseil d'administration était renouvelé par tiers, et Paul Raoult est arrivé 17e sur 24. Il ne pourra de ce fait se représenter au poste de président début juin, a expliqué la FCPE lundi.
(...)

Le prix de son soutien à la réforme du collège ?

Mais la lecture est différente dans l'opposition, où la sénatrice UMP Catherine Troendle a parlé de "revers cinglant de l'équipe nationale de la FCPE". Les parents d'élèves "ont sévèrement sanctionné les soutiens inconditionnels de Najat Vallaud-Belkacem et le projet de réforme du collège", a-t-elle estimé dans un communiqué.
(...)

(BFMTV du 26 mai 2015/Par la rédaction avec AFP)


Mardi 26 Mai 2015

Paul Raoult, le président de la FCPE, qui n’a pas été réélu ce dimanche, assure que son soutien à la réforme du collège n’est pas en cause.

"C’est la démocratie". Interrogé par Europe 1, Paul Raoult, le président de la FCPE, la puissante fédération des parents d’élèves qui revendique 300.000 adhérents, concède volontiers sa défaite. L’homme n’a pas été reconduit dimanche lors du 69e congrès de la fédération comme membre du conseil d’administration, une première depuis 1947 pour un président rééligible. Réputé proche du PS, la FCPE soutient depuis le début la très controversée réforme du collège. Paul Raoult paye-t-il aujourd’hui ce soutien ? C'est en tout cas l'explication lancée par l'UMP. Le futur ex-président du mouvement s’en défend.

(...)
L’UMP, elle, a en tout cas clairement fait le lien entre ce qui s’est passé dimanche au congrès de la FCPE et la réforme du collège. Catherine Troendle, sénatrice et secrétaire national de l’UMP à L’Education, écrit ainsi que "les parents d’élèves ont sévèrement sanctionné les soutiens inconditionnels de Mme Vallaud-Belkacem et le projet de réforme. On comprend mieux la précipitation du gouvernement à vouloir faire passer en force le décret relatif à cette réforme, au mépris de tout dialogue".

(Europe 1 du 26 mai 2015)


Lundi 25 Mai 2015

UMP/ Catherine Troendlé, reconduite à la CNI

Membre du nouveau bureau politique de l’UMP, la sénatrice Catherine Troendlé a été reconduite à la commission nationale d’investiture du parti où elle sera la seule Alsacienne à siéger.

(DNA du 25 mai 2015)


Lundi 25 Mai 2015

Paul Raoult n'a pas été réélu à la tête de la première fédération de parents d'élèves de l'enseignement public.

Coup de théâtre au congrès annuel de la fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE), première fédération de parents d'élèves de l'enseignement public, proche de la gauche. Si Najat Vallaud-Belkacem avait été ovationnée samedi par les congressistes réunis à Reims, en soutien à sa réforme du collège, dimanche, c'était la douche froide pour ses partisans.

Pour la première fois depuis une vingtaine d'années, le rapport d'activité de la FCPE, qui revendique 300.000 membres, n'a pas été adopté. Paul Raoult, le président sortant n'a pas été réélu, en partie victime de son soutien affiché à la controversée réforme du collège. Le Snes, principal syndicat d'enseignants du second degré, opposé à la réforme, s'est empressé d'ironiser: «On comprend mieux pourquoi il fallait publier le décret sur la réforme du collège 2016 aussi vite! C'est à dire avant le congrès de la FCPE.»

De même Catherine Troendle, sénatrice et secrétaire nationale de l'UMP à l'Éducation, note «le revers cinglant de l'équipe nationale de la FCPE»: «Les parents d'élèves ont sévèrement sanctionné les soutiens inconditionnels de Mme Vallaud-Belkacem et le projet de réforme. On comprend mieux la précipitation du gouvernement à vouloir faire passer en force le décret relatif à cette réforme, au mépris de tout dialogue. L'UMP renouvelle son appel au retrait pur et simple de ce projet.»

Marie-Estelle Pech

(LeFigaro.fr du 24 mai 2015)


Lundi 25 Mai 2015

La FCPE, première fédération de parents d'élèves, devra se trouver un nouveau président.

Réunis en congrès à Reims, les délégués de la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE), classée à gauche, n'ont pas reconduit le président Paul Raoult dans ses fonctions d'administrateur lors du renouvellement dimanche du conseil d'administration. Il ne pourra de ce fait se représenter au poste de président début juin, a-t-on appris ce lundi auprès de la FCPE.

Le rapport d'activité a également été rejeté, avec 48% de voix contre, 41% pour et 1% d'abstentions.
(...)

La FCPE « continuera, pour la réussite de tous les élèves, à défendre la réforme du collège, qui devra être abondée en moyens suffisants pour répondre aux exigences des parents d'élèves », a d'ailleurs martelé lundi la fédération dans un communiqué.

Ou un « revers cinglant » pour la réforme du collège

Mais la lecture est différente dans l'opposition, où la sénatrice UMP Catherine Troendle a parlé de « revers cinglant de l'équipe nationale de la FCPE ». Les parents d'élèves « ont sévèrement sanctionné les soutiens inconditionnels de Mme Vallaud-Belkacem et le projet de réforme du collège », a-t-elle estimé dans un communiqué.
(...)

(Ouest-France du 25 mai 2015)


Dimanche 24 Mai 2015

Collège : l'opposition dénonce un passage en force !

Après la parution au Journal Officiel du décret et de l’arrêté mettant sur les rails la réforme du collège juste après les manifestations des syndicats d’enseignants qui s’y opposent, les réactions des sénateurs et des députés UMP et UDI n’ont pas tardé. (...)
« Que penser de tels moyens employés face à l’absence de dialogue avec les principaux acteurs d’une réforme que personne ne souhaite ! » s’insurge pour sa part la sénatrice Catherine Troendlé (UMP).

(L'Alsace du 24 mai 2015)


Dimanche 24 Mai 2015

Impôts/Les frontaliers échappent à la CSG

Le ministre du Budget assure que les frontaliers travaillant en Suisse resteront exemptés de la CSG-CRDS après leur affiliation au régime général de la sécurité sociale française, alors que l’Urssaf estime qu’ils sont redevables de ces contributions sociales. La direction des finances publiques se retranche derrière la position du ministre.À dix jours de l’échéance de la nouvelle réglementation, la direction départementale des finances publiques (DDFIP) a envoyé, hier, à la demande de L’Alsace, une « note de clarification » de la situation fiscale des frontaliers travaillant en Suisse.

« Les frontaliers actifs ne sont pas assujettis à la CSG-CRDS », indique la DDIFP. La note reprend l’argument développé par le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, dans sa réponse, datée du 7 mai, à la sénatrice Catherine Troendlé et au député Jean-Luc Reitzler.
(...)

L'Alsace du 22 mai 2015)


Dimanche 24 Mai 2015

Réforme du Collge : les réactions

La publication au Journal officiel, mercredi, du décret et de l’arrêté sur la réforme du collège a provoqué plusieurs réactions de parlementaires alsaciens.
(...)
La sénatrice Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) fustige, elle, «le double jeu de Hollande» qui annonçait mardi à Carcassonne que la réforme du collège serait poursuivie mais «qu’une concertation sera engagée sur la mise en œuvre » alors que le décret ainsi que l’arrêté portant sur la réforme tant contestée étaient publiés au Journal officiel le lendemain.

(DNA du 24 mai 2015)


Jeudi 21 Mai 2015

Edition/Les villageois de Lutter en leurs demeures

image Le nouveau livre Les villageois de Lutter en leurs demeures, une archéologie de la maison dans le Jura alsacien, 1530-1630 écrit par Marc Grodwohl, sera présenté à la salle des fêtes de Lutter, le vendredi 22 mai à 20 h.
(...)
Participation active des habitants

Ces travaux et la publication de ce livre de 340 pages, coédité par la mairie de Lutter et l’association Lutter en découverte, ont été financés par la réserve parlementaire de la sénatrice Catherine Troendlé, le conseil départemental, la communauté de communes du Jura alsacien, la commune de Lutter, les fonds européens Leader et l’association Lutter en découverte. Cet ouvrage a aussi été réalisé grâce à un énorme travail de bénévolat et à la participation active des habitants qui ont chaleureusement ouvert leurs portes aux chercheurs.

(L'Alsace du 22 mai 2015)


Mercredi 20 Mai 2015

Situation fiscale des retraité frontaliers

Interpellé dernièrement par le sénateur Catherine Troendlé (UMP) sur la situation fiscale des retraités frontaliers ayant exercé en Suisse – et soumis en France à la Contribution sociale généralisée (CSG) et à la Contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) sur les pensions de retraite –, Christian Eckert, secrétaire d’État au Budget, a adressé mercredi un courrier à l’élue.Selon ce dernier « l’assujettissement des revenus d’activité et de remplacement à la CSG et la CRDS est subordonnée à une double condition : celle de la domiciliation en France du contribuable et, d’autre part, au fait que le contribuable soit à la charge, à quelque titre que ce soit, d’un régime français d’assurance-maladie obligatoire. »

S’agissant par ailleurs de la situation spécifique des frontaliers avec la Suisse, « l’article L. 380-3-1 du code de la sécurité sociale prévoit que les travailleurs frontaliers et les titulaires de pensions et de rentes qui, sur leur demande, sont exemptés d’affiliation obligatoire au régime suisse d’assurance-maladie, sont affiliés obligatoirement au régime général de sécurité sociale en France. Et ne sont pas soumis sur ces revenus à la CSG et à la CRDS en France. » Une disposition qui, toutefois, ne s’applique pas aux personnes domiciliées en France qui perçoivent des revenus d’activité et de remplacement de sources, à la fois française et suisse. « Ces polypensionnés étant de plein droit affiliés à la sécurité sociale en France à titre obligatoire sont donc passibles de la CSG et de la CRDS sur l’ensemble de leurs revenus ».

L’action de l’administration « ne peut que se poursuivre »

Selon Christian Eckert, « les contrôles en cours, qui visent à assurer l’égale application de la loi fiscale à tous aboutissent, le cas échéant, à soumettre aux contributions sociales les contribuables qui n’auraient pas spontanément déclaré leurs pensions de retraite de source étrangère comme devant être soumises à ces prélèvements. » Le secrétaire d’État affirmant par ailleurs qu’« à cet égard, l’action entreprise par l’administration ne peut que se poursuivre », « qu’elle ne donnera lieu à l’application d’aucune majoration et que les intérêts de retard pourront faire l’objet de remise transactionnelle ».

(DNA du 20 mai 2015)


Mercredi 20 Mai 2015

UMP - Nouveau bureau politique

image La composition du nouveau bureau politique de l’UMP a été adopté mardi soir à l’unanimité. Il comprend cinq Alsaciens.

Joseph Daul , ancien député européen et président du Parti populaire européen et des Démocrates européens (PPE-DE), est membre de droit. Jean Rottner , maire de Mulhouse et tête de la liste UMP du Haut-Rhin aux régionales, figure parmi les membres invités permanents.

Les sénatrices Fabienne Keller (Bas-Rhin) et Catherine Troendlé (Haut-Rhin) font partie du collège des 50 parlementaires et Bernadette Thiebaut , secrétaire départementale de l’UMP du Bas-Rhin, figure dans le collège des dix représentants des fédérations.

(DNA du 20 mai 2015)












Dimanche 17 Mai 2015

VIN ET BIÈRE

Plusieurs parlementaires alsaciens se réjouissent de l’adoption, dans la loi Macron, de l’amendement visant « à clarifier les frontières entre ce qui relève de la publicité et de l’information journalistique et œnotouristique, de la création artistique et culturelle, en définissant ce qu’est la publicité ».

« Ça permettra aux professionnels de pouvoir valoriser leur patrimoine culturel vinicole », relève la sénatrice haut-rhinoise Catherine Troendlé (UMP).

(DNA du 17 mai 2015)


Dimanche 17 Mai 2015

Frontaliers : Christian Eckert répond à Catherine Troendlé

Christian Eckert, secrétaire d’État chargé du Budget, a répondu à la lettre de la sénatrice Catherine Troendlé (UMP) sur la situation de retraités frontaliers suisses qui doivent s’acquitter de la CSG et la CRDS en France sur leur pension suisse.

Il rappelle que les travailleurs frontaliers et les titulaires de pensions et de rentes qui refusent de s’affilier au régime suisse d’assurance-maladie, sont d’office inscrits à la sécurité sociale française. Dans ce cadre-là, ils « ne sont pas soumis, sur ces revenus, à la CSG et à la CRDS en France ».

Mais s’ils vivent en France en touchant des revenus ou des retraites à la fois en France et en Suisse, ils « sont donc passibles de la CSG et de la CRDS sur l’ensemble de leurs revenus ».

(L'Alsace du 17 mai 2015)


Vendredi 15 Mai 2015

multi-accueils / recrutements difficiles

image La sénatrice Catherine Troendlé a interpellé la ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, sur la gestion du personnel de la filière médico-sociale exerçant dans les structures multi-accueils.

Afin de satisfaire à la réglementation, les collectivités territoriales doivent recruter du personnel de la filière médico-sociale, titulaires d’un diplôme d’État, pour exercer dans les structures multi-accueils. Pour autant, les candidats doivent également avoir satisfait au concours de la Fonction publique territoriale, ce qui est rarement le cas au sein des postulants.

En effet, de par le trop faible nombre de candidats (bien que possédant un diplôme d’État) titulaires du concours de la Fonction publique territoriale, les collectivités n’ont pas d’autre choix que d’embaucher des postulants, par le biais de contrat en CDD d’un an, renouvelable une fois, en attendant l’embauche éventuelle d’un fonctionnaire. La ministre a reconnu que cette situation posait problème depuis un moment, tout en précisant qu’il faut « forcément un concours [pour accéder à la fonction publique], afin d’échapper au favoritisme ».

(L'Alsace du 15 mai 2015)


Vendredi 15 Mai 2015

Classes bilangues/confirmation

Signataire de la Lettre ouverte au Premier Ministre, Catherine Troendlé, Sénateur du Haut-Rhin, a également pris avec Gilles Pécout, recteur de l’Académie de Nancy-Metz et coordonnateur de la future région ALCA, afin de se voir confirmer l’abandon des classes bi-langues.

« Il est faux d’affirmer qu’un régime d’exception permettra le maintien des classes bi-langues pour l’Académie de Strasbourg. Cependant, en vertu de l’article 8 du Règlement nouveau de la Réforme, toutes les classes bi-langues de continuité seront maintenues et consolidées » a-t-il répondu.

(Ami Hebdo 17 mai 2015)


Vendredi 15 Mai 2015

Halte aux prédateurs !

Sénateur UMP et secrétaire nationale du parti chargée de l'éducation, Catherine TROENDLE a déposé une proposition de loi visant à rendre obligatoire, pour toute personne condamnée pour des faits de pédopornographie, de pédophilie ou toute autre infraction de nature sexuelle sur mineur, l’interdiction définitive de tout contact avec des mineurs.

(Ami Hebdo du 17 mai 2015)


Dimanche 10 Mai 2015

Classes bi-langues/ Les président montent au créneau

Après l’intervention de tous les élus de la majorité alsacienne UMP et UDI, en faveur du maintien des sections bilangues, les présidents Philippe Richert, Frédéric Bierry et Éric Straumann remontent au créneau pour « défendre la place de l’allemand dans la réforme du collège ». « Elle prévoit la disparition des classes bilangues et des sections européennes » , maintiennent les trois élus.

Ils relèvent que « le recteur de Strasbourg s’est vu contredire par le recteur coordonnateur de la grande Région ainsi que par la directrice générale de l’enseignement scolaire qui, au contraire, indiquait qu’il n’y a pas de cas particulier pour l’Alsace ».

Le recteur coordonnateur avait cependant indiqué à la sénatrice Troendlé que « les classes bilangues demeurent pour les élèves qui, ayant appris une langue vivante autre que l’anglais à l’école élémentaire, pourront débuter l’apprentissage de l’anglais dès l’entrée au collège ». À qui le mot de la fin ?

(L'Alsace du 10 mai 2015)


Dimanche 10 Mai 2015

Pédophilie : Catherine Troendlé propose une loi

Après les récents cas de pédophilie dans l’Éducation nationale, la sénatrice Catherine Troendlé (UMP) travaille avec le député Pierre Lellouche (UMP) sur une proposition de loi cosignée, entre autres, par la députée UMP Arlette Grosskost.

Le texte viserait à rendre obligatoire « l’interdiction définitive de tout contact avec des mineurs pour toute personne con damnée pour des faits de pédopornographie, de pédophilie ou toute autre infraction de nature sexuelle sur mineur ».
Les mesures envisagées s’étendraient aussi « aux personnels des établissements privés ouverts aux mineurs, ainsi qu’à l’entourage des personnels et bénévoles en charge des enfants par exemple, des membres de la famille des assistantes maternelles ».

(L'Alsace du 10 mai 2015)


Dimanche 10 Mai 2015

L’avenir des classes bi-langues

Les élus alsaciens sont engagés contre la réforme des collèges et notamment l’éventuelle disparition des classes bi-langues. Le 6 mai, ils ont envoyé une lettre au Premier ministre, Manuel Valls. Ils y rappellent les « nombreuses actions pour que les jeunes Français apprennent la langue de Goethe, connaissent mieux la culture de notre voisin allemande et développement des relations fraternelles avec les jeunes Allemands ».

C’est dans cet esprit, rappellent-ils, que s’est faite, dans l’académie de Strasbourg, « la création massive de classes bi-langues allemand-anglais au collège dès la 6e ». La disparition de ces classes serait « une erreur éducative, diplomatique, culturelle, politique et économique », notent-ils.

La lettre est signée par Philippe Richert, Frédéric Bierry, Eric Straumann, tous les députés UDI, UMP et apparenté, les sept sénateurs UMP et UDI, la députée européenne Anne Sander et le maire de Mulhouse Jean Rottner.

Par ailleurs, onze parlementaires alsaciens ont cosigné la lettre de 152 parlementaires rédigée avec Bruno Le Maire, qui en appelle au président de la République pour abandonner cette « réforme qui serait un naufrage pour notre nation ».

La députée Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) a rencontré le recteur coordonnateur de la future région, Gilles Pécout. Celui-ci, rapporte-t-elle, l’a assurée que, même s’il n’y aurait pas d’exception dans l’Est, toutes les classes bi-langues de continuité seront maintenues ou consolidées. Les élèves qui auront étudié une autre langue que l’anglais à l’école élémentaire (en général l’allemand), pourront la poursuivre et commencer l’anglais en collège.

(DNA du 10 mai 2015)


Dimanche 10 Mai 2015

Parlement/Protection de l’enfance

Arlette Grosskost (UMP, Mulhouse) a cosigné l’amendement de Pierre Lellouche d’insertion d’un article additionnel dans la Proposition de loi visant à rendre obligatoire, pour toute personne condamnée pour des faits de pédopornographie ou de pédophilie l’interdiction définitive d’exercer une activité avec des mineurs. La députée salue cette initiative tout comme celle de Catherine Troendlé qui compte reprendre et déposer au Sénat une proposition de loi similaire.

(DNA du 10 mai 2015)


Dimanche 10 Mai 2015

Saint-Louis - Cérémonie du 8 mai

image Il y a 70 ans, la plus sanglante des guerres prenait fin en Europe. Vendredi sur fond de flamme de la mémoire ravivée par le sous-préfet mulhousien Jean-Noël Chavanne et le maire Jean-Marie Zoellé, la traditionnelle commémoration de la victoire alliée de 1945 a prêté son cadre officiel à la remise des insignes de commandeur dans l’Ordre national du Mérite au lieutenant-colonel Albert Elser, président de l’Office municipal des sociétés patriotiques.
(...)
Comme le veut une tradition ludovicienne, c’est en défilé, ouvert par la batterie des Hussards d’Altkirch, l’Orchestre d’Harmonie de Saint-Louis, la Batterie Fanfare de Bourgfelden et le groupe folklorique « Les Trois Lys » que les nombreux officiels et les anciens combattants ont rejoint la place de l’Hôtel-de-Ville.

(DNA du 10 mai 2015)


Dimanche 10 Mai 2015

Partis /"Les Républicains"

image En Alsace, le changement de nom est largement approuvé par les élus UMP, histoire de tourner la page. En revanche, l’appellation « les Républicains » ne fait pas l’unanimité.

Avant d’être gaullistes, libéraux, chrétiens-démocrates, centristes, radicaux, nous sommes attachés à l’idéal républicain. La République a trop reculé face aux entorses multiples qui sont faites à ses principes », écrit Nicolas Sarkozy, dans un plaidoyer adressé aux militants qui seront amenés à se prononcer, à la veille du congrès du 30 mai à Paris.

Ni enthousiasme, ni rejet

Et les élus alsaciens ? « À gauche, on nous reproche de nous approprier le terme Républicains. Mais il n’y a pas de raison pour que ceux qui veulent porter ce flambeau ne puissent le faire » , assure le sénateur André Reichardt, président de l’UMP 67, proche d’Alain Juppé. « Cela met en évidence une valeur qui est la nôtre, mais j’espère qu’il y a beaucoup d’autres Républicains » , sourit-il.

Le député sundgauvien – et gaulliste – Jean-Luc Reitzer n’a « pas été emballé pour un terme générique qui renvoie trop aux Républicains américains, et à certaines de leurs maladresses au plan international ». « Mais, de l’UDR au RPR, la République a toujours été présente » , observe-t-il, lui qui aurait aimé « revoir plus souvent la Croix de Lorraine, que d’autres partis s’approprient » , grince-t-il. Plus globalement, il constate qu’ « il n’y a, au sein de l’UMP, ni enthousiasme, ni rejet, mais la volonté de tourner la page des scandales financiers ».

Celle aussi des « guerres fratricides » , complète la sénatrice Catherine Troendlé, présidente de l’UMP 68, qui a « complètement adhéré à cette nouvelle dénomination ». Faisant allusion, elle aussi, au Front national, elle espère que « les Républicains » feront oublier le jeu de mots, cher aux frontistes, sur l’ « UMPS ». Elle s’exaspère de ces procès d’intention : « Nous sommes tous des républicains, mais nous le revendiquons… ». (...)

(L'Alsace du 10 mai 2015)


Samedi 9 Mai 2015

Thann : Le 8 mai commémoré

image La cérémonie du 70e anniversaire du 8 mai 1945, jour ou l’Allemagne nazie a capitulé sans condition, a eu lieu vendredi matin devant le monument aux morts l’Alsacienne à Thann.

Il s’agissait de célébrer la victoire des armées alliées et de la résistance intérieure et extérieure, avec le général De Gaulle, qui a mis fin à la Seconde Guerre mondiale. Toute la cérémonie s’est déroulée sur fond musical avec l’Ensemble instrumental de Thann et les pompiers de la ville.

Pour la circonstance, Romain Luttringer, maire de Thann, était accompagné de Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, de Raphaël Schellenberger, maire de Wattwiller et conseiller départemental, ainsi que du sous-préfet de Thann-Guebwiller, Daniel Merignargues. Raymond Dreyer, président de l’Office municipal de coordination des sociétés patriotiques et d’anciens combattants (Omspac), a organisé la cérémonie avec l’appui du conseiller municipal délégué René Galisath, responsable local du Souvenir français.

La flamme du souvenir a été allumée par un jeune sapeur-pompier et une jeune Alsacienne en souvenir des nombreuses victimes civiles et militaires de la Seconde Guerre mondiale.

Le message du gouvernement a été lu par Daniel Merignargues, sous-préfet de Thann-Guebwiller. Christine Kammerer a lu l’ordre du jour numéro 9 du général d’armée De Lattre de Tassigny. Puis, Chantal Dagon a été décorée de la croix du combattant et de la médaille de la reconnaissance de la Nation, des mains du sous-préfet et du maire de Thann. Olivier Delabarre a été décoré au titre des blessés de guerre et José Ezcurra comme porte-drapeau.

Deux gerbes en l’honneur des morts ont été déposées simultanément par Romain Luttringer accompagné de Louis Lutringer, vice-président de l’Udac et de la Fnaca du Haut-Rhin, ainsi que par la sénatrice Catherine Troendlé et le sous-préfet de Thann-Guebwiller.

Après La Marseillaise , interprétée par l’ensemble musical, le maire et le sous-préfet, accompagnés par des autorités militaires et politiques locales, ont salué les porte-drapeaux.

(L'Alsace du 9 mai 2015)


Jeudi 7 Mai 2015

Politique/Une proposition de loi de la sénatrice Catherine Troendlé

La sénatrice Catherine Troendlé (UMP) est à l’origine d’une proposition de loi visant à interdire définitivement tout contact avec des mineurs, à toute personne condamnée pour des faits de pédopornographie, de pédophilie ou toute autre infraction de nature sexuelle sur mineur.

Cette initiative intervient quelques semaines après l’ouverture d’une enquête administrative, au lendemain de la révélation de soupçons de viols pesant sur un directeur d’une école primaire à Villefontaine (dans l’Isère).

Outre cette interdiction, la proposition de loi vise à rendre automatique l’inscription au fichier des délinquants pour ce type de criminels et à faire en sorte que la possession d’images pédopornographiques soit requalifiée en crime (et plus seulement en délit).

L’appréciation du juge doit être soumise à de strictes conditions : il doit démontrer par une décision motivée pourquoi à son sens, le risque pour les enfants aurait disparu, le cas échéant.

La proposition de loi stipule également que la communication de cette interdiction soit immédiate auprès des organismes employeurs afin qu’elle entraîne une révocation de facto de la personne condamnée.

Ces dispositions doivent également s’appliquer aux personnels des établissements privés ouverts aux mineurs, ainsi qu’à l’entourage des personnels et bénévoles en charge des enfants.

La sénatrice déposera sa proposition de loi sur le bureau du Sénat, dès le début de la semaine prochaine.

(L'Alsace du 7 mai 2015)


Jeudi 7 Mai 2015

Classes bi-langues : les grands élus en appellent à Valls

Vingt-cinq grands élus alsaciens, UMP et UDI, ont cosigné une lettre ouverte au Premier ministre, lui demandant de maintenir les classes bi-langues. L’une des signataires a obtenu la confirmation qu’elles seraient pérennisées.

« Au niveau national, 16 % des collégiens sont inscrits en classe bi-langues et chez nous, en Alsace, ils sont 64 % à apprendre l’allemand et l’anglais dès la classe de 6e , soit quatre fois la moyenne nationale » , soulignent les 25 signataires de la lettre ouverte, qui en appellent à « la sagesse » de Manuel Valls pour maintenir ces classes en Alsace. Elles s’inscrivent dans « les actions pédagogiques » en faveur de l’apprentissage de l’allemand, « mises en place par le rectorat depuis plusieurs décennies, en relation avec les collectivités qui consacrent annuellement plus de 3 millions d’euros à cette politique volontariste ».

Sur tout le territoire

Les présidents Philippe Richert, Frédéric Bierry et Éric Straumann, les députés Jean-Louis Christ, Laurent Furst, Arlette Grosskost, Antoine Herth, Patrick Hetzel, Francis Hillmeyer, Frédéric Reiss, Jean-Luc Reitzer, Sophie Rohfritsch, André Schneider, Michel Sordi, Claude Sturni, les sénateurs Jean-Marie Bockel, René Danési, Fabienne Keller, Claude Kern, Guy-Dominique Kennel, André Reichardt, Catherine Troendlé, la députée européenne Anne Sander et le maire de Mulhouse, Jean Rottner, s’inquiètent de la déclaration de la ministre de l’Éducation nationale, qui veut « mettre fin aux classes bi-langues, partout sur le territoire national ». « C’est dramatique pour l’ensemble de notre pays, car il vaudrait mieux développer ces classes bi-langues plutôt que de les supprimer. En tout cas, sachez que chez nous en Alsace, une telle décision serait une erreur éducative, diplomatique, culturelle, politique et économique » , affirment-ils, en demandant qu’ « on ne ruine pas par une décision incompréhensible cet édifice pédagogique franco-allemand si patiemment construit ».

Peu de temps après la publication de cette lettre, Catherine Troendlé a diffusé un communiqué moins alarmiste. Gilles Pécout, recteur de l’académie de Nancy-Metz et coordonnateur de la future région Alca, lui a expliqué que l’académie de Strasbourg ne bénéficiera « pas d’un régime d’exception ». « Cependant, en vertu de l’article 8 du règlement nouveau de la réforme, toutes les classes bi-langues de continuité seront maintenues et consolidées » , aurait-il certifié, démentant ainsi la ministre.

« C’est ainsi que les classes bi-langues demeurent en 6e pour les élèves qui ont appris une langue vivante autre que l’anglais à l’école élémentaire. Avec un fort enseignement de l’allemand en élémen-taire, les classes bi-langues seront appelées à être pérennisées en Alsace » , se félicite Catherine Troendlé, présidente du groupe d’amitié France-Allemagne au Sénat. Ce qui confirmerait la déclaration du recteur de l’académie de Strasbourg, Jacques-Pierre Gougeon, qui avait annoncé que l’Alsace garderait ses classes bi-langues. Il s’était « battu pour ».

(L'Alsace du 7 mai 2015)


Jeudi 7 Mai 2015

Altenach - Distinctions/ Des citoyens honorés

image Un sympathique rassemblement dans la salle de motricité de l’école d’Altenach a permis aux citoyens du village de voir plusieurs des leurs mis à l’honneur par leur maire Jean-Luc Lamère avec un hommage tout particulier à Madeleine Trommenschlager qui fut (entre autres) adjointe au maire de 1971 à 2014 !

Catherine Troendle, sénateur du Haut-Rhin, les conseillers départementaux Fabienne Orlandi et Rémy With, le président de la communauté de communes Pierre Schmitt et son prédécesseur Gérard Landemaine, ainsi que plusieurs maires et personnalités locales avaient tenu à honorer de leur présence les médaillés.
(...)
La sénatrice, Catherine Troendle a conclu en disant sa fierté de voir de véritables actions citoyennes à Altenach, « village que j’aime particulièrement ». Elle a rendu hommage aux familles, « c’est grâce à leur soutien et leur compréhension que l’action pour la collectivité est possible ».


(DNA du 7 mai 2015)



Mercredi 6 Mai 2015

Politique/Catherine Troendlé propose une loi pour interdire définitivement tout contact avec des mineurs

La sénatrice alsacienne (UMP) Catherine Troendlé est l’auteure d’une proposition de loi visant à rendre obligatoire, « pour toute personne condamnée pour des faits de pédopornographie, de pédophilie ou toute autre infraction de nature sexuelle sur mineur », l’interdiction définitive de tout contact avec des mineurs.

Cette proposition intervient quelques semaines après la révélation de soupçons de viols pesant sur le directeur d’une école primaire à Villefontaine (Isère), une personne qui avait déjà été condamnée en 2008 pour détention d’images pédopornographiques. Pourtant, l’Inspection d’académie de l’Isère dit tout ignorer de cette condamnation.

Pour la sénatrice, cette disposition doit également s’appliquer aux personnels des établissements privés ouverts aux mineurs, ainsi qu’à l’entourage des personnels et bénévoles en charge des enfants.

Cette proposition de loi sera déposée sur le bureau du Sénat dès le début de la semaine prochaine, indique Mme Troendlé.

(DNA du 6 Mai 2015)