Archives des publications


Jeudi 29 Janvier 2015

Trois sénateurs alsaciens dans la commission sur le fonctionnement du service public de l’éducation

Le Sénat a désigné en séance publique les membres de la commission d’enquête sur le fonctionnement du service public de l’éducation, sur la perte de repères républicains que révèle la vie dans les établissements scolaires et sur les difficultés rencontrées par les enseignants dans l’exercice de leur profession. La constitution de cette commission fait suite aux incidents rencontrés dans les établissements scolaires après les attentats des 7 et 9 janvier derniers (non respect de la minute de silence, minimisation des faits par des élèves etc.).

Cette commission d’enquête a été créée à la demande de Bruno Retailleau (UMP – Vendée) et de membres du groupe UMP, apparentés et rattachés, dans le cadre du “droit de tirage” du groupe UMP.

En séance publique, ont été nommés membres de cette commission d’enquête : 5...) Guy-Dominique Kennel (UMP – Bas-Rhin) ; Claude Kern (UDI-UC – Bas-Rhin) (...)et Catherine Troendlé (UMP – Haut-Rhin).

(DNA du 29 janvier 2015)


Dimanche 25 Janvier 2015

Antiterrorisme et sécurité

Les sénateurs du groupe UMP ont reçu Günter Krings, secrétaire d’État auprès du Ministre de l’Intérieur d’Allemagne.

Cette rencontre, présidée par Catherine Troendlé , présidente du groupe d’amitié France-Allemagne au Sénat, a été consacrée à la lutte contre le terrorisme, à la politique de l’asile, la sécurité nationale et européenne.

(DNA du 25 janvier 2015)


Dimanche 25 Janvier 2015

Muespach le Haut/ Une année de préparation

image André Bohrer présentait l’autre dimanche matin ses vœux aux habitants de Muespach-le-Haut. Une cérémonie qui a vu la remise de plusieurs récompenses.

L’embellissement du village, par la rénovation de l’ancien dépôt des sapeurs-pompiers et le fleurissement notamment, l’amélioration du cadre de vie, par une journée citoyenne prévue le 31 mai, font partie des projets de l’année à venir.

« Pas de gros investissements financiers »

« 2015 ne sera pas une année de gros investissements financiers, mais plutôt une année de préparation pour les projets futurs, finances obligent », annonce André Bohrer. Au printemps prochain, le village se verra par ailleurs doté d’une œuvre d’art, dans le cadre du parcours d’art durable à travers le Sundgau, mis en place par le Pays du Sundgau à sept de ses extrémités. Au croisement de la route de Knœringue sera en effet installée une grande barque de pêcheurs contenant deux ruches, au-dessus de plants de maïs.

« Au taquet de ce que nous pouvons digérer »

Président de la communauté de communes Ill et Gersbach, André Bohrer n’a pas manqué d’évoquer l’intercommunalité et plus particulièrement les travaux d’assainissement et d’eau potable déjà réalisés, et ceux à venir à Durmenach, Grentzingen, Muespach et Waldighoffen. « Financièrement nous sommes arrivés au taquet de ce que nous pouvons digérer, digérons donc et allons au coup par coup dans le futur », déclare-t-il. Annonçant aussi qu’au niveau du périscolaire, « une étude est à faire à l’avenir pour trouver un emplacement unique et central. »
(...)

(DNA du 24 janvier 2015)


Dimanche 25 Janvier 2015

Rythmes scolaires : nouvelles inégalités pour Catherine Troendlé

Les nouvelles activités périscolaires accentuent les inégalités entre les élèves, d’après la sénatrice Catherine Troendlé (UMP) qui a interrogé la secrétaire d’État, Geneviève Fioraso.

« Faute d’un financement adapté au coût réel de ce nouveau service imposé aux communes – entre 63 et 175 € restent à leur charge, par an et par enfant, selon l’enquête de la CNAF – 29 % de celles-ci prévoient des activités payantes » , a-t-elle souligné, en précisant que ces activités étaient suivies par les enfants de familles qui pouvaient les payer.

Sans nier les chiffres de l’enquête, la ministre a répondu que le fonds de 400 millions d’euros est pérennisé et viserait les communes les plus modestes.

Territoires : Catherine Troendlé et Claude Kern contre « les mariages forcés »

L’amendement du gouvernement voulant un seuil de 20 000 habitants pour la création d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) a été rejeté par le Sénat.

Un vote qui satisfait les sénateurs Catherine Troendlé (UMP) et Claude Kern (UDI). « Des mariages forcés à 20 000 habitants avec les compétences obligatoires, c’est à terme la disparition programmée des communes » , prévient la sénatrice.

(L'Alsace du 25 janvier 2015)


Mercredi 21 Janvier 2015

Attenschwiller/le dernier coup de cravache

image Denis Wiederkehr, président de la communauté de communes de la Porte du Sundgau, a réuni élus, associations et acteurs du développement territorial et économique, vendredi soir à Attenschwiller pour la cérémonie des vœux. Une collectivité qui, suite aux élections, est passée de 26 à 28 délégués en 2014.Pour Denis Wiederkehr, président de la communauté de communes de la Porte du Sundgau et, maire d’Attenschwiller, « cette cérémonie des vœux est un instant précieux, porteur d’espérance, à l’heure où les inquiétudes, les doutes et la morosité ne cessent de gagner du terrain. »

Pour Denis Wiederkehr, qui accueillait ce soir-là Catherine Troendlé, sénateur ; Jean-Luc Reitzer, député ; Philippe Richert, président de la Région Alsace ; Max Delmond, conseiller général ; Pascale Schmidiger, conseillère régionale et adjointe au maire de Saint-Louis…, la situation sur le front de l’emploi et l’état financier des collectivités locales suite à la baisse des dotations de l’État sont les causes d’un climat ambiant quelque peu morose. Le président de la Porte du Sundgau a dressé un état des réalisations intercommunales, dans des domaines aussi variés que la petite enfance, les animations jeunesse durant les congés scolaires, l’environnement et la gestion des déchets, la valorisation du patrimoine local, le tourisme, le transport, les activités économiques… et la réalisation de la Maison de santé à Folgensbourg. Et déploré, comme presque tous les élus du pays des Trois Frontières, la réforme territoriale. « L’Alsace rayée d’un trait de plume, sans aucun dialogue, aucune écoute, aucune concertation, aucune cohérence. »

(L'Alsace 19 janvier 2015)


Mercredi 21 Janvier 2015

Rosenau/ Des citoyens méritants

image La réception du Nouvel An est également une occasion de mettre en avant des citoyens méritants dans de nombreux domaines. Celle de Rosenau n’a pas failli en honorant les personnes suivantes :

(...)
Andrée et Albert Bohl se sont vu distinguer pour leurs très nombreux engagements pour la cause animale, notamment au sein de la SPA. Le couple est aussi connu pour leurs illuminations de Noël, exceptionnelles dans la région.

Imad Bahria, champion du monde de power lifting qui est une branche de l’haltérophilie et qui se caractérise par ses mouvements au nombre de trois : le développé couché, le squat et le soulever de terre barre au sol. Avec un poids total soulevé sur les trois mouvements de 682,5 kg, le Rosenauvien s’attribue le titre suprême de champion du monde de sa catégorie.

(L'Alsace du 20 janvier 2015)


Dimanche 18 Janvier 2015

Parlement/Education

Catherine Troendle , secrétaire nationale de l’UMP à l’Éducation, « se félicite » de la création d’une commission d’enquête sur les menaces réelles qui pèsent sur l’école de la République.

« Par-delà le renforcement des moyens de renseignement, de l’arsenal juridique et pénal ainsi que la protection de nos forces armées en opérations extérieures, la question du rôle et de la place de l’école, comme creuset de la République, est fondamentale », relève la sénatrice du Haut-Rhin qui en sera membre.

(DNA du 18 janvier 2015)


Vendredi 16 Janvier 2015

Spechbach-le-Haut : Des médailles

image Lors de la cérémonie des vœux à la population à Spechbach-le-Haut, des médailles du Mérite agricole et des médailles communales ont été remises.

Béatrice Heim a reçu la médaille du Mérite agricole des mains de Denis Nass qui a salué son parcours « de la fourche à la fourchette ». (...)

Vincent, le fils d’Anne Stempfler, a reçu la médaille du Mérite agricole destinée à sa maman, décédée récemment. Catherine Troendlé a évoqué, en remettant cette décoration, « la vie d’une agricultrice passionnée par son métier, une vie consacrée à la ferme familiale où la culture de la pomme de terre venait compléter l’élevage ».
(...)

(L'Alsace du 16 janvier 2015)


Lundi 12 Janvier 2015

Charlie Hebdo/Saint-Louis

image Hier à 15 h, le maire de Saint-Louis, Jean-Marie Zoellé, entouré du conseil municipal et des élus des environs, a appelé la population à un rassemblement en hommage aux victimes de l’attentat contre le journal satirique Charlie Hebdo.

Ils étaient plus de 2000 à avoir répondu à son appel. Comme durant ses vœux, le maire a exprimé son abjection face à ce « massacre contre nos valeurs, contre la France, contre l’humanité. Nous sommes rassemblés car nous refusons l’inacceptable ! Un refus solidaire, uni, pour la France, l’Alsace et Saint-Louis. […] Nous condamnons tous les fanatismes. »

Après un dépôt de gerbes effectué par le maire et la sénatrice Catherine Troendlé, suivi d’une minute de silence, le long cortège, élus en tête, a fait le tour de la mairie, « la maison du peuple ». De retour sur le parvis de la mairie, les participants ont, spontanément, entonné la Marseillaise.

(L'Alsace du 11 janvier 2015)









Vendredi 9 Janvier 2015

Attentat de Charlie Hebdo/de nouvelles réactions

Catherine Troendlé , sénatrice du Haut-Rhin, juge qu’ « avec cet attentat, c’est la liberté de la presse, pilier de notre socle républicain, qu’on a voulu faire taire. Les tueurs n’y parviendront pas.

L’heure est à présent au recueillement, à la dignité, ainsi qu’à l’union nationale : gardons-nous de faire un amalgame associant attaque terroriste et communauté musulmane ».

(L'Alsace du 9 janvier 2015)


Vendredi 9 Janvier 2015

Réactions après l’attentat contre Charlie hebdo

Nous poursuivons ici la publication des réactions qui affluent d’Alsace après l’attentat contre Charlie Hebdo.
(...)
Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin : « L’heure est à présent au recueillement, à la dignité ainsi qu’à l’union nationale ; gardons-nous de faire un amalgame associant terrorisme et communauté musulmane.

(DNA du 9 janvier 2015)


Vendredi 9 Janvier 2015

Mulhouse/Sur les pavés, la rage

image Environ 4000 personnes se sont rassemblées hier sur les pavés, place de la Réunion, à Mulhouse. En souvenir des personnes assassinées, pour que « Charlie Hebdo » vive et parce que la liberté d’expression n’est pas négociable avec les intégristes.

"J'écris pour la plus importante des libertés, celle de l’expression. » Laurence range son stylo après ces quelques mots posés sur le tableau du parvis du temple Saint-Étienne à Mulhouse. Les dernières bougies au sol luttent contre le vent et la pluie.
(...)
Forcément tous parlent de « liberté » , de « fraternité » , « d’égalité » , de l’importance « de ne pas avoir peur », « de crime de sang », « de solidarité totale avec les familles des victimes » … avec parfois de la rage non contenue, comme celle de Djamila Sonzogni qui martèle que les tueurs présumés « ne sont pas des musulmans, ce sont des terroristes, ce sont des assassins. »

Pour la première fois depuis le début du rassemblement, le consensus de la foule vacille, pas longtemps mais imperceptiblement. Il faseye comme la grande banderole « Nous sommes tous Charlie » signée Pierre Frankel – accrochée sur la façade de l’Espace Réunion. La pluie redouble et, vers 19 h, la foule commence à quitter la place de la Réunion quand le maire Jean Rottner reprend la parole. Pour remercier les milliers de concitoyens venus défendre la liberté d’expression, annoncer aussi « une marche du crayon », samedi à 14 h, et entonner une Marseillaise poussive qui a dû bien faire rigoler ses vieux anars de Cabu ou Wolinski…

Sur le parvis, Dominique félicite Laurence pour son petit mot. « Mon fils Vincent est un jeune caricaturiste. Il a gagné un prix à 15 ans. Je suis là pour qu’il puisse encore dessiner dans vingt-cinq ans. » Les bougies posées au sol continuent de résister au vent et à la pluie.

(L'Alsace du 9 janvier 2015)


Jeudi 8 Janvier 2015

Pas d’argent pour sécuriser la RD 419

Le 27 novembre, Catherine Troendlé, sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, attirait l’attention de Charles Buttner, président du conseil général, sur le caractère dangereux de la RD 419.

« La Hochistross est effectivement le théâtre d’accidents dramatiques qui, toutefois, sont, dans la très grande majorité des cas, liés à des vitesses excessives » , lui a répondu le président du conseil général du Haut-Rhin en date du 23 décembre. « Le conseil général n’a pas attendu les derniers drames que vous évoquez pour agir , renchérit Charles Buttner. Des études conséquentes ont été conduites au début des années 2000 sur l’ensemble de l’itinéraire entre Altkirch et le carrefour des Trois-maisons. Et ce dernier a été transformé en giratoire pour en améliorer la sécurité. De ces études, le Département a construit un plan routier pour le Sundgau avec des opérations d’aménagements très lourds, comme la déviation de Tagsdorf-Wittersdorf qui, à elle seule, est estimée à 65 millions d’euros. »

Charles Buttner met en avant la réduction drastique des dotations de l’État et la non-compensation des transferts de charges de l’État pour expliquer la baisse du budget d’investissement permettant d’améliorer et de développer les infrastructures routières, à laquelle le Département est contraint. Il explique néanmoins avoir demandé à la Direction des routes et des transports d’examiner à nouveau la problématique de ces 13 kilomètres de route départementale pour qu’ensuite, sur la base d’un constat partagé avec les élus locaux, « nous puissions valider ensemble des mesures à mettre en œuvre à court terme et apporter ainsi une réponse rapide au problème posé ».

D’ici là, il ne reste plus aux automobilistes qu’à être plus prudents encore. Et aux communes traversées à faire des économies. Car elles devront passer à la caisse, tout en souffrant, elles aussi, de cette réduction drastique des dotations de l’État.


(L'Alsace du 8 janvier 2015)


Jeudi 8 Janvier 2015

Saint-Louis/DEux chevaliers des palmes académiques au Mermoz

image Lors de la réception de Nouvel An, organisée au lycée Jean-Mermoz, deux enseignantes ont été mises à l’honneur et ont obtenu la distinction violette des Palmes académiques.

Lors de la réception de Nouvel An, Jean-Luc Schildknecht, proviseur du lycée Mermoz, a fait le point sur les réussites et projets menés par les équipes éducatives en insistant sur les mérites des deux récipiendaires, qui ont obtenu les Palmes académiques.

C’est Michel Dreyer, inspecteur pédagogique régional honoraire, qui a déroulé la carrière de Bernadette Walter et lui a agrafé la décoration amplement méritée. Professeur de sciences de la vie et de la terre, elle a été nommée en 1976 comme PEGC au collège Lambert de Mulhouse. Après plusieurs années dans le Bas-Rhin, elle revient à Mulhouse et Dannemarie avant de rejoindre le lycée Mermoz en 1995.

Professeur agrégée en 1999 et hors classe depuis 2008, Bernadette Walter est reconnue pour la qualité de son enseignement, sa pédagogie attractive et son charisme. Elle assume de nombreuses activités périphériques en équipe disciplinaire, est membre du conseil d’administration et de l’amicale des personnels. Elle est présidente régionale de l’association des professeurs de biologie et géologie depuis 2004 et s’investit pleinement dans de multiples échanges transfrontaliers avec approfondissement de connaissances, partage de pratiques éducatives et rencontres avec les élèves.

Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, a remis l’insigne de chevalier des Palmes académiques à Catherine Bader-Chevalier, proviseur adjoint du lycée. Elle a insisté sur « les deux femmes de caractère qui ont été mises à l’honneur et qui œuvrent au sein du lycée ». La fonction de direction, quant à elle, « est exigeante et il faut avoir de grandes qualités pour exercer ce métier difficile ».

Catherine Bader-Chevalier a commencé sa carrière de professeur agrégée au lycée Montaigne de Mulhouse, avant d’exercer en Lorraine puis de revenir en Alsace, au lycée Louis-Armand à Mulhouse. Elle a passé le concours de personnel de direction en 2010 et après un premier poste au lycée Jean-Jacques-Henner d’Altkirch, elle est arrivée au lycée Jean-Mermoz en 2012. Ses qualités ont été mises en avant par Jean-Luc Schildknecht et Catherine Troendlé et notamment son professionnalisme, son sens du service public et sa disponibilité pour les élèves.

(L'Alsace du 8 janvier 2015)


Jeudi 8 Janvier 2015

Bartenheim/Voeux de Jacques Ginther

image Jacques Ginther, maire de Bartenheim, a présenté ses vœux à ses administrés, mardi soir à l’Espace 2000 de Bartenheim. Des vœux combatifs et politisés, posant cette question : « Sommes-nous la cible de nos dirigeants ? »

« Quand l’Alsace bleue devient la cible de la France rose. » C’était le ton des vœux de Jacques Ginther, maire de Bartenheim, devant ses administrés venus en nombre et ses invités, parmi lesquels le député Francis Hillmeyer, la sénatrice Catherine Troendlé, le conseiller général Daniel Adrian, les vice-présidents de la Région Alsace Pascale Schmidiger et Jean-Marie Belliard…

Revenant sur la fusion de l’Alsace avec la Lorraine et la Champagne-Ardenne, il a rappelé comment « la machine s’était lentement mise en place ». Pour lui, les voisins de l’Alsace « n’ont pas les mêmes intérêts » et nous ne mesurons pas encore « les conséquences qu’aura cette décision sur l’essor de notre région. » Il dénonce : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Que nous sommes la cible de nos dirigeants ? » La seule région à être restée à droite « serait-elle coupable d’avoir assumé ses choix politiques ? » Et de marteler : « Ces coups de boutoir répétés font plier le genou à une région qui compte parmi les plus productrices du pays. »
« Les Français subissent la hausse constante des impôts »
Mais Jacques Ginther a aussi rappelé que les Français « subissent la hausse constante des impôts… Des moyens pour redresser ses finances, l’État en cherche où il peut et les contribuables en font les frais. » Il dénonce aussi un fait : que l’État délègue aux collectivités toujours plus de tâches, sans leur donner les moyens de les financer. « Mais l’État est malade de son endettement et les élus de terrain sont les témoins impuissants d’une situation locale qui se dégrade peu à peu. »
(...)

(L'Alsace du 8 janvier 2015)