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Dimanche 30 Juin 2013

Brigade verte/Vers une nouvelle police territoriale ?

image L’État envisage de mutualiser les compétences des policiers municipaux et des agents de la Brigade verte aux fonctions quasi similaires. Mais dans le Haut-Rhin, la Brigade verte est encore une exception. La sénatrice Catherine Troendlé est montée au créneau.

Les gardes champêtres exercent des missions souvent proches de celles des policiers municipaux, bien que davantage orientées vers les problématiques rurales et des missions environnementales.

Conscients à la fois de l’importance de ces missions et de la nécessité d’enrayer le déclin d’une profession rendue insuffisamment attractive par certaines dispositions statutaires, les gardes champêtres devraient intégrer une nouvelle police territoriale.

Respecter la Brigade verte

Dans ce contexte, le syndicat mixte des gardes champêtres intercommunaux du Haut-Rhin (ou Brigade verte) serait appelé à disparaître par le transfert du personnel des gardes champêtres dans des communes disposant d’un service de police municipale ou dans des EPCI (établissement public de coopération intercommunale) après création d’un service de police intercommunale.

Fin janvier, dans le cadre d’une discussion relative à la police municipale, Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, avait interpellé au Sénat Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, lequel a dit « vouloir respecter la Brigade verte ».

Reçue mercredi au ministère de l’Intérieur, avec Henri Masson et Jean-Louis Bouton, respectivement président et directeur de la Brigade verte, Catherine Troendlé a plaidé la cause de cette particularité haut-rhinoise (depuis 1988), transposable dans d’autres départements.

Néanmoins, la complexité, qui réside dans le multifinancement (dont 48 % émanant du conseil général) de ce syndicat mixte -ne disposant pas d’une fiscalité propre- dans le nouveau cadre d’une police territoriale, semble être un réel casse-tête pour les rédacteurs du futur texte gouvernemental.

Consultations jusqu’à mi-2014

Dans tous les cas, Renaud Vedel, directeur adjoint du cabinet de Manuel Valls, en présence d’experts du ministère de l’Intérieur, a assuré ses interlocuteurs que les travaux de rédaction d’un texte gouvernemental sont encore au stade des consultations qui devraient se poursuivre jusqu’au moins mi-2014.

Il a assuré la sénatrice ainsi que ses accompagnateurs qu’ils seraient informés et associés à l’évolution du dossier au fur et à mesure de son élaboration.

Ce qui permettra aux responsables de la Brigade verte d’anticiper toute évolution de leur statut. Dès à présent, un maintien transitoire le plus long possible est acquis si le texte ne devait pouvoir pérenniser le statut actuel du syndicat mixte.

(L'Alsace du 30 juin 2013)


Samedi 29 Juin 2013

Décès de Jean-Louis Lorrain/réaction de Catherine Troendlé

image Tous sont unanimes: Jean-Louis Lorrain était un homme ouvert et disponible. Un homme de coeur, fidèle et sensible à la détresse des autres.















Catherine Troendlé : "Ma peine est immense ! Jean-Louis fut pour moi un véritable compagnon de route. Cette route commune que nous avons empruntée ensemble, en 2004, aux côtés de Hubert Haenel et de Françoise Boog. Ensemble, nous avions sillonné le Haut-Rhin à la rencontre des maires du département. Cette campagne nous a procuré un lot d’anecdotes auxquelles nous faisions, avec beaucoup de joie, souvent référence. Jean-Louis, sénateur sortant, avait alors accepté d’être troisième de liste aux sénatoriales : pour lui, il était primordial de montrer que l’unité était plus importante qu’une démarche individualiste. C’était une de ses grandes qualités, avec la loyauté et la fidélité. Son engagement au service des autres et de son pays était total, son expertise en matière de bioéthique avait fait de lui un référent au Sénat. Au-delà de ces grandes compétences, Jean-Louis fut un sénateur apprécié de tous. Par-delà tout clivage politique, ses pairs le respectaient et l’appréciaient énormément, car ce fut avant tout un homme d’une très grande gentillesse, toujours à prendre des nouvelles des uns et des autres. Son retour au Sénat, au lendemain de la nomination du sénateur Hubert Haenel au Conseil constitutionnel, avait été grandement et largement salué. Une terrible maladie vient de l’emporter beaucoup trop tôt, vraiment trop tôt… »

(L'Alsace du 29 juin 2013)


Samedi 29 Juin 2013

Françoise Boog/"Très proche de Catherine Troendlé"

C’est Françoise Boog, maire UMP de Meyenheim, qui va succéder à Jean-Louis Lorrain au Sénat.

Elle a réagi ce matin à la disparition de Jean-Louis Lorrain « Pour moi, l’heure est au deuil. Toute ma compassion va à la famille de Jean-Louis en ces moments de séparation », indique cette femme active, qui a participé à la campagne des sénatoriales « dans l’équipe d’Hubert Haenel » aux côtés du sénateur décédé. « Jean-Louis était quelqu’un de passionné, de très compétent, de très humain et d’une grande gentillesse. »

Agée de 53 ans, et maire depuis 2001, Françoise Boog va désormais « franchir un palier entre un village de 1000 habitants et le Sénat ». « Cette expérience va être quelque chose de totalement nouveau pour moi. On va laisser passer les obsèques puis je me rendrai à Paris. Comme je suis très proche de Catherine Troendlé, je sais que je pourrai compter sur son aide et son expérience pour relever ce défi.
Forcément, il y a une part d’appréhension mais, maintenant, mes enfants sont plus grands. Je suis donc plus disponible. Néanmoins, je souhaite rester présente dans ma commune. »

(L'Alsace du 29 juin 2013)


Mercredi 26 Juin 2013

Ligsdorf/Un nouveau chef de corps pour les pompiers

image La cérémonie de prise de commandement du corps des sapeurs-pompiers de Ligsdorf par le sergent Clément Herro s’est déroulée par un temps frais et sous un ciel menaçant, en présence de Fernand Antony, maire de la commune, et de son adjointe Doris Brugger.

Les sapeurs-pompiers étaient aux ordres du lieutenant André Ruetsch du centre de secours d’Oltingue et la cérémonie s’est déroulée en présence de la sénatrice Catherine Troendlé, de Pascale Schmidiger représentant le député Jean-Luc Reitzer, de Dominique Dirrig, conseiller général et président du Service départemental d’incendie et de secours, du commandant Roland Peter, adjoint au commandant du Groupement Sud, des capitaines Brunner et Roth, de l’adjudant de gendarmerie Tischmacher, de nombreux maires et pompiers des communes voisines.
(...)

(L'Alsace du 26 juin 2013)


Mardi 25 Juin 2013

Gens du voyage/Catherine Troendlé soutient Sainte-Croix-en-Plaine

Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin (UMP), est intervenue auprès de Vincent Bouvier, préfet du Haut-Rhin, à la suite des inquiétudes soulevées par les élus de Sainte-Croix-en-Plaine concernant l'arrêté préfectoral de réquisition d'une partie du terrain militaire du Fronholz, devenue une aire d'accueil des grands rassemblements des gens du voyage (notre édition d'hier).

Les élus ne souhaitent pas que ce terrain soit aménagé, afin de devenir une aire pérenne pour ces grands rassemblements. « Les raisons évoquées et totalement justifiées sont les conditions sanitaires précaires et l'incompatibilité entre le plan d'occupation des sols (POS) et ce type d'aménagement », indique un communiqué de Mme Troendlé. Celle-ci « apporte son total soutien aux élus et estime que l'on ne peut pas passer outre à leurs demandes, manifestement légitimes ».

(DNA su 19 Juin 2013)


Mardi 25 Juin 2013

Commissariat de Saint-Louis/Manque d'effectifs : une rencontre « constructive »

Plusieurs élus du secteur de Saint-Louis se sont rendus hier au Ministère de l'intérieur pour évoquer le manque d'effectifs du commissariat de Saint-Louis.

C'est le conseiller à la police de Manuel Valls, M. Pecquet, ainsi qu'un conseiller en charge des relations avec le parlement qui ont été reçus, hier, durant plus d'une heure les sénatrices Catherine Troendlé et Patricia Schillinger, et les maire de Saint-Louis et Huningue, Jean-Marie Zoellé et Jean-Marc Deichtmann, ainsi qu'un collaborateur du député d'Altkirch, Jean-Luc Reitzer. « L'idée c'était de procéder à un état des lieux, que les maires ont fait avec beaucoup de sincérité et de réalisme, ce qui a été apprécié », souligne Catherine Troendlé. La problématique frontalière a notamment été soulignée : la circulation favorisée entre les trois pays est certes un atout économique « mais aussi une voie pour la criminalité et la délinquance ». Le manque d'effectifs vient du fait que ces derniers sont calculés de manière théorique, à partir des statistiques démographiques et du taux de criminalité communiqué au Ministère. Ce taux « n'est pas élevé, par rapport aux autres régions, ce qui explique qu'il y ait moins d'effectifs théoriques », explique Catherine Troendlé. Pour autant les risques existent et les « policiers travaillent pour trois ». Les cambriolages sont en augmentation (voir ci-dessus). « Les conseillers ont apprécié la clarté des élus et leur refus de la dramatisation. Ils trouvent positif d'anticiper la situation avant qu'elle ne dégénère ».

Une dotation en janvier 2014 ?

Si les syndicats policiers ont demandé « dix personnels en plus », la sénatrice remarque que le ministère « va tout faire pour que l'effectif théorique soit déjà au complet en septembre ». Et essaiera d'obtenir « une dotation en plus en janvier 2014 ».

« Il n'ont pas pris d'engagement », remarque cependant Jean-Marie Zoellé. « Mais cette réunion était l'occasion d'expliquer en direct notre cas au Ministère, et de faire reconnaître la spécificité d'une agglomération de 28 000 habitants. La réunion a été constructive, je la qualifierai de réunion de travail ».

Jean-Marc Deichtmann souligne quand à lui l'originalité de ce déplacement, mêlant des « élus PS et UMP », ce qui montre « que nous sommes totalement solidaires du commandant Muesser et de ses équipes ». Si la prise de conscience a eu lieu, « il faut maintenant qu'elle soit suivie de faits réels », ajoute l'élu, qui comme ses collègues, y sera « vigilant ».

Camille Andres

(DNA du 22 Juin 2013)


Mardi 25 Juin 2013

Huningue/Jean Charles et ses monuments

image Les festivités pour l’inauguration de la place Abbatucci à Huningue, se sont poursuivies aujourd’hui. Malgré un ciel voilé, la population a répondu présente.

Nombreuses ont été les personnes à se rendre place Abbatucci ce week-end pour l’inauguration officielle des lieux. Mais sait-on seulement qui est Jean-Charles Abbatucci ? Voici son histoire.

Jean-Charles Abbatucci est né le 15 novembre 1770 en Corse, un an avant Napoléon Bonaparte qui deviendra plus tard son compagnon d’armes.

Après l’école d’application de l’artillerie, il entame une brillante carrière militaire. Il n’a alors que 16 ans.

Capitaine d’artillerie en 1792, on le retrouve en 1794 aux Pays-Bas, au côté de Jean-Charles Pichegru, deux ans plus tard à Kehl puis Schweighouse. La même année, sa bravoure le propulse au rang de général de division. Il guerroie alors principalement en Allemagne, contre les troupes des Émigrés : à Wertheim, Kammlach, Mindelheim, Kissing, Ratisbonne… Promu au grade de général de brigade, en août 1796, Jean-Charles Abbatucci est nommé commandant de la place d’Huningue, ville qu’il défend pendant trois mois contre les Autrichiens. Un mois avant la reddition d’Huningue, Jean-Charles Abbatucci est blessé mortellement dans une sortie vigoureuse qu’il mène dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre 1796. Le 2 décembre, il succombe à ses blessures. Il n’a que 26 ans…

Deux monuments

Il fait partie des 558 officiers français dont les noms sont gravés sous l’Arc de Triomphe à Paris.

En 1802, le général Moreau, commandant en chef de l’Armée du Rhin et de la Moselle, fait installer sur la route de Bâle, un premier monument en l’honneur du général Abbatucci. Un monument en marbre blanc surmonté d’une vasque funéraire flanqué de drapeaux en berne. Ce marbre a été remplacé en 1828 par l’obélisque en grès rouge, orné de bas-reliefs en bronze dont l’un représente son ancien camarade qui s’écroule blessé dans ses bras.

Racheté en 1889 par la Ville, l’obélisque est implanté le 31 juillet 1907 sur la Kaiser-Wilhelm-Platz, rebaptisée quelques années plus tard place Abbatucci.

DJ

(L'Alsace du 24 juin 2013)

Légende photo : La comtesse Jacqueline Abbatucci a visité samedi le musée de Huningue


Dimanche 23 Juin 2013

Police/Commissariat de Saint-Louis : aucune mesure supplémentaire

(...)
Alliance Police nationale souligne la qualité de la rencontre durant laquelle les difficultés des collègues ludoviciens ont été longuement évoquées. Le syndicat regrette cependant qu’aucune mesure supplémentaire pour renforcer le commissariat de Saint-Louis ne soit envisagée pour 2013, hormis ce qui était déjà prévu. Mais il se félicite néanmoins de la porte laissée ouverte à l’issue de cet entretien sur une possible évolution de l’effectif théorique en 2014. Alliance Police nationale estime que c’est la seule et unique option actuellement, pour que les Ludoviciens puissent travailler de manière correcte. En effet, l’effectif théorique ne varie pas même en cas de plusieurs indisponibilités dans le service. Or, c’est bien le problème dans ce commissariat puisque l’absence d’un seul effectif a une répercussion immédiate sur sa capacité opérationnelle.

Alliance Police nationale, qui suivra ce dossier de très près, salue l’union des élus haut-rhinois - les sénatrices Catherine Troendlé et Patricia Schillinger, le maire de Saint-Louis Jean-Marie Zoellé et son homologue de Huningue Jean-Marc Deichtmann (lire notre édition d’hier) - autour de cette problématique. Ils ont été également reçus dans la journée au ministère de l’Intérieur.

(L'Alsace du 23 Juin 2013)


Dimanche 23 Juin 2013

Huningue/La place Abbatucci inaugurée

image La place Abbatucci est officiellement inaugurée ! » C’est par ces mots que le maire de Huningue, Jean-Marc Deichtmann, a lancé hier les festivités liées à l’inauguration de cette place. Une petite phrase dans laquelle on sentait tout le stress s’envoler d’un coup. Un poids en moins. Car les travaux ont tout de même duré 32 mois, « si on ne tient pas compte du bâtiment fermant la place et qui n’était d’ailleurs pas prévu dans le projet initial », explique le maire. Une place qui rend désormais le centre-ville huninguois plus attractif. Il s’agissait là du projet Abbatucci 1. Et qui dit 1, dit forcément 2. « Un projet Abbatucci 2 dont nous sommes en train de finaliser les contours avec les Voies Navigables de France. Il englobera la future place de Weil, les abords de la Passerelle et des berges du Rhin jusqu’au port rhénan. Il devra prendre en compte la destinée de notre ancien tribunal d’instance. […] Les choses concrètes devraient s’annoncer pour 2015 et se poursuivre sur plusieurs années », annonce le maire.
(...)

(L'Alsace du 23 juin 2013)


Dimanche 23 Juin 2013

Burnhaupt-Le-Haut/Une école à énergie positive inaugurée

image « Cette école s’appellera l’école des Sources, car elle est située sur un talus d’où coulent des ruisseaux. C’est une source d’eau, mais aussi la source du savoir », a déclaré Antoine Muller, maire de Burnhaupt-le-Haut, après avoir dévoilé l’enseigne de l’établissement.

Un grand nombre d’habitants s’étaient déplacés hier pour assister à l’inauguration de cette école, la deuxième en France à être positive en énergie : grâce à ses panneaux solaires, elle produit en effet plus d’électricité qu’elle n’en consomme. Le bâtiment, de plain-pied, étonne par sa forme harmonieuse, toute en longueur. L’architecte Thomas Weulersse, de l’atelier D-Form de Turckheim, a pris la parole pour mettre en avant les caractéristiques du bâtiment : « Les classes sont toutes orientées au sud, pour bénéficier d’un éclairage naturel optimal, à travers des fenêtres en triple ou quadruple vitrage. L’épaisse isolation permet d’économiser la chaleur, qui sera produite en partie par les élèves eux-mêmes. Cette école a été labellisée comme un bâtiment de référence en matière d’énergie. »

image Le projet a pu être achevé grâce au soutien des collectivités locales, pour un montant total d’1,9 million d’euros. Une partie des fonds est issue de la réserve parlementaire de Michel Sordi. « Après le collège Nathan-Katz, cette école est l’illustration de notre ambition : la recherche de l’excellence », a ajouté le maire. Plusieurs personnalités politiques ont ensuite pris la parole pour féliciter la commune de cette initiative, parmi lesquelles René Danesi, vice-président du conseil régional, et la sénatrice Catherine Troendlé, qui a salué la performance énergétique et esthétique du bâtiment.

Le maire a ensuite invité le public à une visite des locaux, avant d’offrir à tous le verre de l’amitié sous le préau. Comme l’avait signalé l’architecte, « cet établissement peut servir d’exemple dans la construction des futurs lieux publics. Que cette école fasse école. »

(L'Alsace du 23 juin 2013)


Samedi 22 Juin 2013

Police nationale/Plaidoyer au ministère de l’Intérieur

Catherine Troendlé et Patricia Schillinger, sénatrices du Haut-Rhin, Jean-Marie Zoellé et Jean-Marc Deichtmann, respectivement maires de Saint-Louis et de Huningue, accompagnés de l’attaché parlementaire du député Jean-Luc Reitzer, ont rencontré, hier matin, Jean-Paul Pecquet, conseiller police du ministre de l’Intérieur Manuel Valls.

Pour les élus alsaciens, il s’agissait évidemment de dresser l’état des lieux actuel – critique – du commissariat de Saint-Louis, et de décrire une situation de sous-effectif dans la circonscription Saint-Louis/Huningue. Mais ils ont aussi dépeint la possible évolution de la délinquance si rien ne change. Le conseiller du ministre leur a expliqué la méthode d’attribution théorique des effectifs de la police par habitant, mais aussi selon le taux de délinquance. Les maires ont toutefois fait remarquer que les données démographiques de la circonscription de la sécurité publique de Saint-Louis/Huningue (environ 28 000 habitants) devaient être fortement relativisées, l’EuroAirport et le trafic transfrontalier contribuant à augmenter sensiblement le flux des personnes dans la circonscription.

Les élus ont également attiré l’attention de leur interlocuteur sur un glissement de la délinquance du secteur de Mulhouse vers la région des Trois Frontières, délinquance liée à la prostitution et à la drogue.

Réactions

« M. Pecquet s’est montré très content que notre description de la situation n’était pas surfaite et qu’elle était confirmée par la Direction départementale de la sécurité et la préfecture du Haut-Rhin » , résume Catherine Troendlé.

Elle-même a « plaidé en faveur d’une anticipation pour éviter l’augmentation du taux de criminalité et pour que le commissariat de Saint-Louis, où il manque trois personnes, dispose au moins des effectifs théoriques. » Avec ce résultat : « M. Pecquet s’est engagé à ce que ces effectifs soient atteints d’ici le mois de septembre prochain. » Une « montée en puissance » – selon l’expression de Catherine Troendlé – pourrait intervenir dès janvier 2014.

Pour sa part, Jean-Marie Zoellé est revenu à Saint-Louis avec l’impression que « c’était une bonne réunion de travail ». Sans enthousiasme débordant, il constate : « Notre interlocuteur s’est rendu compte qu’il y a une bonne collaboration au niveau de nos deux villes, mais qu’il faut mettre d’avantage de moyens. » Son collègue Jean-Marc Deichtmann est d’un avis proche : « On ne s’attend pas à un miracle, mais ils ont compris qu’il faut mettre un minimum. »

(L'Alsace du 22 Juin 2013)


Vendredi 21 Juin 2013

Fulleren/ Salle communale inaugurée

image De nombreuses personnes, habitants et élus, se sont réunies samedi dernier à Fulleren pour célébrer la construction de la salle communale. Le bâtiment centralise la mairie, l'école, ainsi qu'un espace de rencontre pour les associations et les festivités.

On l'attendait depuis fort longtemps ! La salle communale a été inaugurée samedi dernier. Elle a été baptisée « La Fourmilière » en l'honneur des habitants de Fulleren qui portent le sobriquet de « fourmis ».

Le soleil étant de la partie, la population de Fulleren est venue fort nombreuse, du nouveau-né au couple octogénaire. Les drapeaux flottaient au vent. Les élus locaux arboraient leurs écharpes et macarons tricolores. Les villageois faisaient honneur à la municipalité de Fulleren qui a eu le courage de se lancer dans la construction de ce bâtiment, abritant en même temps la mairie et une salle de 150 m² ainsi que des sanitaires pour l'école.

Avoir un lieu de rencontre

Le maire, Gérard Hislen, a expliqué dans son discours d'accueil devant la nouvelle mairie, le besoin de la commune d'avoir un lieu de rencontre : « nous n'avons plus d'auberge, alors qu'en 1900 nous avions six restaurants. Après plusieurs projets, la nouvelle équipe, en 2008, semble avoir trouvé la solution de centraliser dans le même espace l'école, la mairie, le lieu de rencontre des associations et la salle pouvant accueillir les fêtes familiales et collectives. L'architecte ayant même aménagé une salle pour mettre en relief la belle pompe à bras des pompiers ».

Un coût de 1 250 000 euros

Le coût du projet était estimé à 1 250 000 euros, « beaucoup pour une commune de 340 habitants. Aussi fallait-il trouver le maximum de subventions pour ne pas trop augmenter la pression fiscale », poursuivait le maire.

Les subventions ont été accordées par diverses structures et acteurs dont notamment la région, la DGE, le conseil général, le député Jean-Luc Reitzer, ou encore par la sénatrice Catherine Troendlé pour le mobilier. Des emprunts ont également été réalisés.
(...)
Parmi les intervenants, la sénatrice, Catherine Troendlé s'est « émue de l'ambiance chaleureuse qui règne à Fulleren, un village avec ses maisons à colombages et surtout avec cette belle salle fonctionnelle ».
(...)

(DNA du 21 Juin 2013)


Mercredi 19 Juin 2013

Brigades Vertes/ « Garder la spécificité alsacienne »

image Comment conserver le statut spécifique des brigades vertes ? Ces gardes champêtres intercommunaux, créés dans le Haut-Rhin au milieu des années 80, pourraient intégrer la nouvelle police territoriale, selon la proposition de loi éponyme initiée par Manuel Valls, qui prévoit la création de services de police intercommunaux. Comment conserver le statut spécifique des brigades vertes ? Ces gardes champêtres intercommunaux, créés dans le Haut-Rhin au milieu des années 80, pourraient intégrer la nouvelle police territoriale, selon la proposition de loi éponyme initiée par Manuel Valls, qui prévoit la création de services de police intercommunaux. « La difficulté sur l'ensemble de ce nouveau texte est de trouver un statut commun entre les gardes champêtres et la police municipale », explique Catherine Troendlé, sénatrice UMP du Haut-Rhin, qui a rencontré la semaine dernière les équipes du ministère de l'Intérieur en réflexion sur le texte. Retraites, point indiciaire, compétences... Les différences sont importantes. Autre difficulté : le financement. Les brigades vertes, dont le budget est de 4 millions d'euros en 2012, sont financées à quasi-part égale entre le CG68 et les 308 communes adhérentes. « Or les nouveaux statuts du policier municipal prévoient un financement intercommunal ». La spécificité des brigades vertes, « c'est que comme elles appartiennent à un syndicat, il y a toujours des gens en astreinte, présents sur le terrain. Une efficacité maximale qui n'existe pas chez la police municipale. » Enfin, ils ont des missions environnementales que n'ont pas les policiers municipaux. « Nous avons demandé au ministère de l'Intérieur de travailler un statut qui préserve le contexte haut-rhinois, différemment », explique la sénatrice. Le directeur adjoint du cabinet de Manuel Valls a assuré qu'il continuerait à consulter et associer les brigades vertes à l'élaboration du texte, qui devrait être voté « fin juin 2014 ». Dans le Haut-Rhin, il devrait connaître « un report d'application afin de trouver un statut qui corresponde au maximum à ce qui existe aujourd'hui ». « Le système actuel des brigades vertes ne pourra pas être maintenu à terme ». Mais l'idée est « de transposer son efficacité sur l'ensemble de la France », résume la sénatrice.

C.A

(DNA du 22 Juin 2013)


Lundi 17 Juin 2013

Chuchotements DNA

André Reichardt, Catherine Troendlé et Laurent Furst ont assisté samedi à Rome à l'audience privée du pape François avec une délégation de parlementaires français (DNA du 16 juin).

(DNA du 17 juin 2013)


Lundi 17 Juin 2013

La Tribune de Genève/EuroAurport

image La Tribune de Genève/Transport aérien
Et si la Suisse «annexait» l'aéroport de Bâle?
Par Matthieu Hoffstetter.

Après la répétition des conflits entre France et Suisse sur l'EuroAirport, une sénatrice française propose un échange de territoires entre les deux pays pour régler définitivement la question.
Entre 2008 et 2012, le droit social appliqué dans la zone douanière suisse de l'aéroport de Bâle-Mulhouse a compliqué les relations franco-suisses. Désormais, la France veut appliquer deux taxes nationales sur les vols au départ du secteur helvétique.

En l'espace de quelques années, c'est tout l'équilibre des accords binationaux qui est remis en cause. Avec des craintes du côté des nombreuses entreprises implantées sur le site (maintenance aéronautique, fret express, compagnies aériennes) qui hésitent à investir sur le site et font régulièrement part de leur agacement quant aux incertitudes sur le cadre légal qui entoure la plate-forme aéroportuaire.

Après que la France a annoncé lundi vouloir appliquer dès le 1er juillet deux taxes sur les vols au départ du secteur suisse, le canton de Bâle-Ville a répliqué jeudi en suspendant sa participation au projet de raccordement ferroviaire de l'aéroport.

(...)

L'échange de territoires comme solution définitive

Sans aller jusqu'à l'indépendance, une autre solution resurgit alors des rangs de son parti. La sénatrice Catherine Troendlé, qui vit à proximité de l'aéroport, avait déjà suggéré au printemps 2012 un échange territorial afin de régler le problème du droit du travail: «Cela réglerait définitivement tout conflit sur ce site si la zone suisse était réellement sur le sol suisse».

Aujourd'hui, celle qui est vice-présidente du groupe d'amitié France-Suisse au sénat, regrette que son idée n'ait suscité l'an dernier qu'indifférence et sarcasmes: «Si on avait mis en place cette réflexion, nous n'en serions pas à devoir gérer un nouveau conflit franco-suisse».

La dernière modification importante des frontières françaises date de 1947

Alors certes, elle reconnait que la démarche est compliquée et se traduirait par un processus long et complexe. Mais elle réaffirme que «tant que le principe de territorialisation du droit sera appliqué, nous serons confrontés à ce genre de situations délicates».

Pour le moment, elle souhaite un moratoire sur les deux taxes et a demandé, comme Jean-Luc Reitzer, à ce que le Premier ministre français mandate des experts. «Et si nous ne trouvons pas de solution viable sur le long terme, je reviendrai avec cette proposition d'échange territorial, même si je sais que je suis presque seule à porter cette idée», annonce-t-elle.

Pas d'habitants mais des milliers d'emplois

La dernière modification territoriale française d'importance remonte à 1947: suite à la Deuxième Guerre mondiale, la France avait gagné sur l'Italie 710km2 dans les Alpes. Mais il s'agissait alors de conséquences du conflit et cela portait notamment sur des zones peuplées (3000 habitants à Tende et La Brigue).

A l'EuroAirport, les secteurs concernés sont bien moins vastes et ne comptent pas d'habitants permanents, mais des activités industrielles et de services à forte valeur ajoutée et de nombreux emplois (plus de 4000 sur les 6000 employés de la plate-forme aéroportuaire sont en zone douanière suisse).

Le précédent aéroportuaire genevois

Et un précédent existe: en 1956, une convention entre les deux pays validait un échange territorial pour une petite surface... sur le site de l'aéroport de Genève: il s'agissait alors de prolonger de quelques centaines de mètres la piste, sur des terrains rattachés à la commune française de Ferney-Voltaire.

A Bâle-Mulhouse, les parlementaires et élus locaux français ont bien compris que c'est peut-être au prix de quelques concessions, fiscales ou même territoriales, qu'ils pourront conserver toute l'activité sur ce site, notamment les précieuses entreprises d'aménagement aéronautique.

(La Tribune de Genève du 16 Juin 2013)


Dimanche 16 Juin 2013

La Semaine parlementaire/A Rome

Les Alsaciens en force a Rome. – Dans le cadre d’une audience privée, une délégation de parlementaires, avec les sénateurs Catherine Troendlé et André Reichardt, et le député Laurent Furst, a été reçue hier au Vatican par le pape François. « Le Saint Père a souligné les relations de confiance qui existent généralement en France entre les responsables de la vie publique et de l’Église catholique », relate Catherine Troendlé.

« Il a insisté aussi sur le fait que le principe de laïcité ne doit pas signifier une hostilité à la réalité religieuse ou une exclusion des religions du champ social et des débats qui l’animent » , ajoute la sénatrice du Haut-Rhin, membre du groupe d’amitié France Saint-Siège depuis son élection en 2004. Une définition de la laïcité à l’alsacienne ?

Les conseils du pape. – Le pape François a appelé les parlementaires français, « dans la mission technique et juridique qui est la leur et qui est de proposer des lois, d’insuffler un supplément d’âme aux textes, qui ne reflète pas uniquement les modes et idées du moment ».

« Dans le monde dans lequel nous évoluons aujourd’hui, profondément marqué par un manque de repères, une telle contribution est salutaire et nécessaire » , a-t-il affirmé.

(L'Alsace du 16 juin 2013)


Samedi 15 Juin 2013

Vie politique/EuroAirport : Catherine Troendlé propose un tour de table

image Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, a appelé l’attention du Premier ministre sur les nouvelles taxes imposées aux compagnies aériennes opérant en secteur suisse, à compter du 1er juillet prochain : « Ces taxes supplémentaires risquent non seulement de dévitaliser l’aéroport mais véritablement de mettre à mal l’économie de toute la région frontalière. » La vice-présidente du groupe UMP du Sénat lui propose d’organiser très rapidement un tour de table « afin de mettre à plat toutes les difficultés liées à la mise en œuvre de la convention d’exploitation de 1949 et d’évoquer l’ensemble des problématiques et enjeux relatifs aux relations franco-suisses. En attendant de trouver la solution la plus opportune, dans un contexte apaisé de discussions constructives avec les partenaires suisses, un moratoire sur l’application de la taxe pourrait être sereinement envisagé. »

Par ailleurs, concernant le manque d’effectifs du commissariat de police de Saint-Louis, Catherine Troendlé avait sollicité le ministre de l’Intérieur le 7 juin dernier.
Manuel Valls la convie le 21 juin, au ministère, à une réunion sur « l’état des lieux de la situation de la zone urbaine Saint-Louis/Huningue ». La sénatrice s’y rendra en compagnie de Jean-Marc Deichtmann, maire de Huningue, Jean-Marie Zoellé, maire de Saint-Louis, et d’un représentant du syndicat Alliance Police nationale.

(L'Alsace du 15 juin 2013)


Samedi 15 Juin 2013

Commissariat de Saint-Louis/réunion au Ministère de l'Intérieur

Une réunion sur « l'état des lieux de la situation de la zone urbaine de Saint-Louis & Huningue » au ministère de l'intérieur est prévue le 21 juin prochain à 11 heures, en présence du syndicat de police Alliance, des maires de Saint-Louis, Huningue, et de la sénatrice UMP Catherine Troendlé. (...)

(DNA du 15 Juin 2013)


Samedi 15 Juin 2013

EuroAirport/ les nouvelles taxes

image En déplacement hier à Hésingue, commune jouxtant l'EuroAirport, le président du conseil général du Haut-Rhin Charles Buttner ne s'est pas privé de souligner sa « lassitude » face aux « attaques » - qu'elles soient « involontaires ou hostiles » - envers l'EuroAirport, la hausse des taxes par la DGAC étant la dernière en date. (...)».

La sénatrice UMP Catherine Troendlé a attiré l'attention du Premier ministre sur la question, sollicitant « un moratoire sur l'application de la taxe », et a proposé l'organisation d'un tour de table « afin de mettre à plat toutes les difficultés liées à la mise en oeuvre de la convention d'exploitation de 1949 ». (...)

(DNA du 15 Juin 2013)


Vendredi 14 Juin 2013

Fulleren/Tous les services dans un complexe unique

Samedi dernier à Fulleren, le thermomètre dépassait allègrement les 30°, les drapeaux tricolores flottaient au vent, les élus locaux arboraient fièrement leur écharpe et leur macaron tricolore, les grandes vasques de fleurs nouvellement posées devant la mairie embaumaient l’air et c’est dans une atmosphère bon enfant que le maire Gérard Hislen a accueilli ses invités.
(...)
Ils ont dit
Catherine Troendlé : « Je suis très émue de l’ambiance chaleureuse qui règne à Fulleren, un village avec ses maisons à colombages et à présent une belle salle fonctionnelle. »
(...)

(L'Alsace du 14 juin 2013)


Mardi 11 Juin 2013

Bartenheim/inauguration/Un nouvel écrin

image Les superlatifs n’ont point manqué samedi à l’heure du coupé du ruban tricolore sur de fond de mairie rénovée, composée à présent du bâtiment historique de 1881, à la façade imposante, et d’une extension sur l'arrière, dont l'aspect se veut résolument moderne avec des matériaux contemporains.

A l’issue des travaux - longs de 22 mois - du projet-phare de l’actuel mandat, « c'est une mairie lumineuse et moderne sans autre prétention que celle de servir la population au mieux de ses besoins. Une population à qui nous disons de s'approprier ces lieux qui leur appartiennent » pour le maire Jacques Ginther.
(...)
La raison première de l'extension de la mairie, ce sont ces deux nouvelles salles de dimensions bien plus importantes qu'auparavant. Le bâtiment neuf comprend au premier niveau une grande et belle salle des Mariages et au deuxième niveau, une salle de Séances capable d'accueillir une trentaine de personnes autour de la table du Conseil, avec espace pour le public et la presse.
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5DNA du 11 juin 2013)


Dimanche 9 Juin 2013

Sécurité Alliance police nationale à la rencontre des élus


Une délégation Alliance police nationale composée de Michel Corriaux, secrétaire administratif zonal, Pascal Kirstetter, secrétaire départemental, et Stéphan Poggio, secrétaire départemental adjoint, a rencontré, vendredi à la mairie de Saint-Louis, Catherine Troendle et Patricia Schillinger, sénatrices du Haut-Rhin, Jean-Marie Zoellé, maire de Saint-Louis, et Jean-Marc Deichtmann, maire de Huningue, à propos des effectifs du commissariat de Saint-Louis/Huningue.

Pour Alliance police nationale, « la présence de ces quatre élus est un témoignage sincère de leur attachement et de leur reconnaissance aux policiers de Saint-Louis/Huningue qui travaillent dans des conditions de plus en plus inquiétantes. » Alliance police nationale a pu constater, au cours de cet entretien, « l’extrême lucidité de ces élus sur la problématique du manque d’effectifs du commissariat de Saint-Louis/Huningue.»

Alliance police nationale a déploré « que l’effectif théorique actuel du commissariat ne suffise plus à gérer correctement les impondérables, rendant extrêmement difficile, parfois même périlleuse, l’action de nos collègues ». Le syndicat réclame dix policiers du corps d’encadrement et d’application supplémentaires dans cette circonscription.
Catherine Troendlé s’est félicitée de l’excellente réunion qui s’est tenue. « À l’heure d’un état des lieux de la situation de cette zone urbaine, il en ressort un manque théorique de trois agents de la force publique au commissariat de Saint-Louis. Or, dans la réalité, la situation exigerait une augmentation minimale d’au moins dix agents et ce, afin d’anticiper une hausse exponentielle et inquiétante des délits, voire des crimes en région frontalière.
Par ailleurs, Saint-Louis bénéficie encore d’une situation particulière par la présence d’une brigade de gendarmerie : cette présence même symbolique contribue à sécuriser les personnes et les biens. Un transfert sur une autre commune du territoire de la communauté de communes n’est cependant jamais à exclure ».

Les deux sénatrices Catherine Troendlé et Patricia Schillinger ont décidé de solliciter un entretien avec Thierry Lataste, directeur du cabinet de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, en présence des maires de Saint-Louis et de Huningue.

(L'Alsace du 9 juin 2013)


Samedi 8 Juin 2013

saint-Louis/Commissariat/ Face aux élus

Une délégation régionale du syndicat Alliance police nationale a rencontré hier plusieurs élus du secteur de Saint-Louis, pour évoquer le souci d'effectifs au commissariat de Saint-Louis.

C'est ce même syndicat qui avait alerté les élus sur les difficultés du commissariat (voir DNA du 29 mai 2012), en raison notamment de son manque d'effectif. Le syndicat réclame « dix policiers du corps d'encadrement et d'application » supplémentaire dans la circonscription. Hier, trois responsables régionaux d'Alliance police nationale Michel Corriaux, Pascal Kirstetter et Stéphane Poggio ont rencontré Catherine Troendlé et Patricia Schillinger, sénatrices du Haut-Rhin, ainsi que Jean-Marie Zoellé, maire de Saint-Louis et Jean-Marc Deichtmann, maire de Huningue.

L'entretien a permis aux syndicalistes de constater « l'extrême lucidité des élus » sur la problématique du manque d'effectifs, ainsi que leur volonté de « tout mettre en oeuvre » pour appuyer la demande du syndicat. La sénatrice Catherine Troendlé s'est félicitée de « l'excellente réunion ». Elle remarque qu'il ressort « un manque théorique de trois agents de la force publique au Commissariat de Saint-Louis. Or, dans la réalité, la situation exigerait une augmentation minimale d'au moins dix agents ».

Alors que les responsables régionaux d'Alliance police nationale ont annoncé solliciter une audience auprès de Manuel Valls sur le sujet, les deux sénatrices Catherine Troendlé et Patricia Schillinger ont décidé de solliciter un entretien à Thierry Lataste, directeur de cabinet du Ministre de l'Intérieur, en présence des maires de Saint-Louis et de Huningue.
(...)

C.A

(DNA du 8 Juin 2013)


Vendredi 7 Juin 2013

Saint-Louis/Apprentissage/une nouvelle voie pourrait s'ouvrir aux jeunes

La principale difficulté à surmonter était de trouver une solution pour les entreprises de la zone Suisse de l'aéroport afin qu'elles puissent conclure des contrats d'apprentissage. En effet, étant immatriculée en Suisse, elles ne pouvaient prétendre à de tels contrats en France.

Catherine Troendlé se félicite de la démarche fructueuse de l'Association pour la Promotion des activités Aéronautiques sur la zone de l'Euroairport et en Alsace, présidée par Alphonse HARTMANN, Vice-Président du Conseil Général du Haut-Rhin, lequel a obtenu, grâce à une expertise juridique aboutie, une réponse de M.MATHIEU, Directeur Régional de la DIRECCTE Alsace. Ce dernier a porté un intérêt tout particulier à la résolution de ce problème.

Cette avancée devrait profiter, tout particulièrement, à la section aéronautique du CFA du Lycée Jean Mermoz de Saint-Louis, dès la prochaine campagne d'apprentissage.

(DNA du 7 Juin 2013)


Jeudi 6 Juin 2013

Sierentz/La coupe de Catherine Troendlé à Cédric !

image Dernière partie de la saison 2012-2013 pour les jeunes du Club d’échecs de Sierentz , mercredi dernier à la Bascule, avant la traditionnelle remise des prix. « Les enfants ont tous progressé cette année et ont accédé au niveau supérieur », se réjouissait Théau Christophe, responsable et fondateur du club.

Yoan, Aurélien, Yann, Gabriel, Zakari et Cédric ont reçu la coupe de la sénatrice Catherine Troendlé et un diplôme ; Arnaud s’est vu remettre la coupe du maire par Mme Rozan.

(L'Alsace du 6 juin 2013)


Mardi 4 Juin 2013

Fête de l'Amitié franco-allemande à Fessenheim

« Quand de l’Histoire naît l’amitié, cela vaut bien une fête. » C’est d’amitié, de partage et de respect dont il a été question tout au long du week-end dernier à Fessenheim avec la 23e fête de l’amitié inscrite dans le cadre de la Ronde des fêtes et marquée par le renouvellement de l’acte de jumelage contracté il y a 20 ans entre Fessenheim et Hartheim, la cité allemande des bords du Rhin.

Cette commémoration a été l’événement de la journée de dimanche qui a débuté par un office religieux, rehaussé par les chants des chorales de Fessenheim et Hartheim. Puis c’est devant la stèle de jumelage que s’est déroulée la cérémonie. La maire de Fessenheim, Fabienne Stich, a accueilli son homologue de Hartheim, Kathrin Schönberger, ainsi que Bärbel Schäfer présidente de la Région du Bad Wurtemberg, la Landrätin Dorothée Störr-Riter, la sénatrice Catherine Troendlé, de nombreux invités comme les délégations de Mirande dans le Gers conduite par les adjoints Jean-Pierre Caubere et Evelyne Maimir, les enfants de l’école Anse Madame Schoelcher en Martinique et la directrice Annette Ambroise… Au cours de cette cérémonie, l’arbre de l’amitié en métal, réalisé par Heinz Heussner de Hartheim et portant en son centre des céramiques façonnées par les membres de l’atelier poterie du LAC, a été inauguré. Alors que l’Union musicale de Fessenheim Rumersheim, sous la direction de Didier Metzger, interprétait l’Hymne européen.

(L'Alsace du 3 juin 2013)


Dimanche 2 Juin 2013

La mairie-école de Lauw rénovée et inaugurée

image Décidément, le maire de Lauw, Émile Ehret, doit avoir des accointances avec les dieux du ciel puisque la pluie qui tombait depuis vingt-quatre heures a cessé 30 minutes avant la cérémonie d’inauguration de la mairie-école rénovée, hier matin !
C’est donc sur le parvis de la maison commune qu’il a pu accueillir ses nombreux invités.
La chorale de l’école a chanté la Marseillaise puis le maire a fait un rapide historique du bâtiment, avant de présenter une rétrospective du projet.
Une restructuration réussie
La restructuration du bâtiment a coûté 501 587 € TTC, subventionnés à 41 % par l’État, le Département et le FIPHP (Fonds national pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique). « Merci à tous ceux qui ont contribué à la réalisation de ce projet, qui a nécessité la conjugaison de plusieurs savoir-faire, en anticipant les problèmes liés à la restructuration d’un bâtiment ancien » a-t-il conclu.
(...)
La sénatrice Catherine Troendlé a rendu hommage à l’équipe municipale, en disant sa hâte de comparer les nouveaux locaux à ceux qu’elle a vus lors de sa dernière visite.
Le député Michel Sordi, lui, a rappelé qu’une mairie fait partie du patrimoine de la commune et de ses habitants, et qu’il est important de faire travailler les entreprises locales.
Enfin, Anne Laparre-Lacassagne, sous-préfète de Thann, a présenté ses félicitations à la municipalité de Lauw pour la réussite d’une « opération tiroir » qui aurait pu présenter des complications inattendues.
(...)

(L'Alsace du 2 juin 2013)


Dimanche 2 Juin 2013

Douanes : « Unité » politique pour défendre la direction de Mulhouse

Interpellés par les syndicats de douaniers au sujet d’un projet de fusion remettant en cause la présence d’une direction régionale de Mulhouse (« L’Alsace » du 11 décembre 2012), les parlementaires du Haut-Rhin ont contacté le gouvernement pour défendre les intérêts du département, a-t-on appris cette semaine.

La sénatrice Catherine Troendlé a également indiqué avoir convié le maire de Mulhouse, un représentant du conseil général et ses collègues sénateurs et députés, toutes étiquettes politiques confondues, à une rencontre avec Gérard Schoen, directeur interrégional des droits indirects, vendredi.

« Nous avons plaidé la cause du Haut-Rhin, un département où la présence de frontières exige une présence des douane s, a-t-elle expliqué à l’issue de la réunion. Nous avons aussi mis l’accent sur la cellule spécialisée de Colmar qui s’occupe du secteur viticole. »

« Le nord au détriment du sud »
(...)
Dans une lettre datée du 21 mai, le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, a répondu que cette fusion « constitue une hypothèse qui est toujours à l’étude » et que, si elle devait aboutir, « son impact serait réduit pour les services douaniers du Haut-Rhin compte tenu des missions exercées le long de la frontière suisse ».

« Les véritables décisions devraient se profiler d’ici à l’automne » , conclut Catherine Troendlé, en ajoutant : « D’ici là, nous remonterons au créneau pour ne pas être mis devant le fait accompli. Il y a une véritable unité, comme nous savons le faire lorsqu’il s’agit de défendre un dossier alsacien. »

(L'Alsace du 2 juin 2013)


Dimanche 2 Juin 2013

EuroAirport/Apprentissage

Catherine Troendlé, sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, se félicite de l’avancée du dossier concernant les contrats d’apprentissage à l’EuroAirport.

« Fortement impliquée dans le développement de la plateforme de formations aux métiers de l’aéronautique sur le site de l’EuroAirport de Bâle-Mulhouse dès 2009, j’avais alerté la Région Alsace, en soutien à la démarche entreprise par le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Mulhouse Sud Alsace.

La principale difficulté à surmonter était de trouver une solution pour les entreprises de la zone suisse de l’aéroport afin qu’elles puissent conclure des contrats d’apprentissage. En effet, étant immatriculée en Suisse, elles ne pouvaient prétendre à de tels contrats en France.

Je me félicite de la démarche fructueuse de l’Association pour la promotion des activités aéronautiques sur la zone de l’EuroAirport et en Alsace, présidée par Alphonse Hartmann, vice-président du conseil général du Haut-Rhin, lequel a obtenu, grâce à une expertise juridique aboutie, une réponse de M. Mathieu, directeur régional de la Direccte Alsace. Ce dernier a porté un intérêt tout particulier à la résolution de ce problème. Cette avancée devrait profiter, tout particulièrement, à la section aéronautique du CFA du lycée Jean-Mermoz de Saint-Louis, dès la prochaine campagne d’apprentissage ».

(L'Alsace du 1er juin 2013)


Dimanche 2 Juin 2013

Andolsheim/Réunion d'information et remise des mallettes

Le maire, Christian Rebert, a salué la nombreuse assistance et tout particulièrement la sénatrice Catherine Troendlé, Céline Schwoerer responsable du service interministériel de défense et de protection civile à la préfecture du Haut-Rhin (SIDPC), François Collas professeur à l'IUT de Colmar, accompagné des cinq étudiants qui ont travaillé à l'élaboration du plan de sauvegarde, à savoir Antoine Emilien, Archalaus Martin, Aucouturier Benjamin, Beaudaire Killian et Bock Thomas.

Seulement 10 %des communes en Franceont initié un PCS

La parole a ensuite été donnée aux étudiants qui, à tour de rôle, ont expliqué à l'assistance ce que c'est qu'un plan communal de sauvegarde, l'organigramme, comment est donné l'alerte, comment rester informé. Ils ont aussi présenté le contenu de la mallette, laquelle est à la fois ergonomique, complète sans excès, peu coûteuse, papier, crayon, gilet fluorescent, lampe de poche...

Après toutes ces intéressantes explications, les étudiants ont distribué au maire, aux adjoints et aux 48 délégués une mallette avec leur nom.

Le mot de la fin est revenu à la sénatrice Catherine Troendlé qui a félicité la municipalité d'Andolsheim d'avoir initié ce plan de sauvegarde. Elle a rendu hommage au professeur François Collas et aux cinq étudiants, et a souligné qu'à Andolsheim ce sont deux femmes qui s'occupent de la sécurité civile.

Au niveau national, étant dans la commission de la sécurité et responsable du rapport financier, elle observe ce qui se fait, et elle a constaté que seulement 10 % des communes en France avaient initié un PCS, alors elle a promis de parler du bel exemple d'Andolsheim. Puis toute l'assistance a été invitée au verre de l'amitié.

(DNA du 2 Juin 2013)