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Vendredi 30 Novembre 2012

Peugeot Dannemarie / Du pain sur la planche, encore

La seule chose qui soit sûre, et qui fut reconnue par le préfet du Haut-Rhin Alain Perret, est qu'une rencontre devait avoir lieu entre plusieurs protagonistes du dossier Peugeot Motocycles en sous-préfecture d'Altkirch hier à 15 h 30. Pour le reste... les uns et les autres en seront repartis en catimini. Sans doute pourra-t-on en déduire que pour l'heure, aucune avancée significative n'a donc été constatée quant à l'avenir du site de Peugeot Motocycles de Dannemarie dont la fermeture a toutefois été confirmée pour le 31 décembre prochain. Seule confirmation néanmoins : quasiment aucun des 141 salariés ne devrait se retrouver "en carafe" grâce aux solutions de reclassement sur les sites de la firme à Mandeure, Mulhouse et Sochaux, ainsi que par le biais de reconversions personnelles via des créations d'entreprises.

En revanche, concernant l'autre épineuse question, à savoir la reconversion de la future friche donc, il semble qu'aucune piste sérieuse ne se soit faite jour autour de la table où siégeaient outre le préfet et le sous-préfet d'Altkirch Yves Camier, la sénatrice Catherine Troendlé, le conseiller général Rémy With, le maire de Dannemarie Paul Mumbach, le directeur général de Peugeot Motocycles Pierre-Louis Colin ainsi que les représentant des services de l'Etat ainsi qu'Eric Thoumelin, chef de projet au Comité d'action économique du Haut-Rhin, le Cahr. « On y travaille tous » sera la seule confidence recueillie au terme des deux heures de réunion. Cela, personne n'en doutait.

Nicolas Lehr

(DNA du 30 Novembre 2012)


Jeudi 29 Novembre 2012

Le groupe UMP reste uni au Sénat

Contrairement à leurs collègues députés (DNA d'hier), les sénateurs UMP restent unis. Une majorité d'entre eux, des pro-Fillon, ont approuvé hier, à main levée, une motion demandant « l'organisation d'un nouveau scrutin dans un délai de trois mois et dans des conditions incontestables » pour la présidence de l'UMP. Elle réaffirme aussi l'«unité» du groupe au Palais du Luxembourg.
Vice-présidente déléguée du groupe, Catherine Troendlé n'a pas pris part au vote « en tant que chef de file de l'unité ». Aucun sénateur n'a voté contre. La sénatrice du Haut-Rhin salue l'engagement de Jean-Claude Gaudin, le président du groupe, qui a évité pour l'heure l'explosion. « Nous en sommes sortis grandis », dit-elle en regrettant « les dommages collatéraux » produits par la scission du groupe à l'Assemblée nationale, dont des « licenciements de collaborateurs ».
(...)

F. BY

(DNA du 29 novembre 2012)


Mardi 27 Novembre 2012

Au Parlement/Droits de plantation

Selon l'élue UMP du Haut-Rhin, le commissaire européen Michel Barnier vient de confirmer que "la clause de rendez-vous de 2013 est bien maintenue et activée" en ce qui concerne les droits de plantation.
L'ancien ministre de l'agriculture et de la pêche avait obtenu en 2007 le maintien du régime actuel jusqu'en 2015 et une clause de rendez-vous en 2013, afin d'évaluer, à la lumière de la réforme, une éventuelle prolongation du régime.
Membre du groupe d'études "Vignes et vin" au Sénat, Catherine troendlé "se félicite que le débat reste ouvert sur ce sujet essentiel à l'économie et à la culture alsacienne".

(L'Alsace du 27 novembre 2012)


Dimanche 25 Novembre 2012

Les maires et adjoints au Sénat

image La tradition a été respectée. Chaque année, un sénateur du Haut-Rhin organise, pour les élus présents au Congrès des maires à Paris, une visite du Sénat suivie d’un dîner.

Cette année, les invitations ont été lancées par la sénatrice UMP Catherine Troendlé. Le dîner a eu lieu mercredi soir.
De quoi changer les idées de la sénatrice, par ailleurs présidente de l’UMP 68, qui avait soutenu Copé… « On se sert les coudes avec les militants », a-t-elle juste commenté hier, alors qu’elle assistait au congrès dans les tribunes du public.

Le secrétaire départemental, Eric Straumann, n’était pas plus bavard… Et du côté des « fillonnistes », on ne dit rien non plus. Même Arlette Grosskost a choisi de se taire. Le mot d’ordre était d’attendre ce dimanche.

(L'Alsace du 25 novembre 2012)



Vendredi 23 Novembre 2012

20 ans d’amitiés franco-allemandes

À l’occasion du 20 e anniversaire du Cercle franco-allemand de Colmar et du Centre Alsace, samedi, une assistance nombreuse est venue écouter la conférence-débat sur « le traité de l’Élysée, bilan et perspectives ».

Dans son discours d’introduction, la présidente Nicole Couratier a évoqué le contenu du Traité de l’Élysée, puis a dressé l’historique du Cercle franco-allemand, dont la création remonte à 1991. « Les langues sont le véritable défi de l’Europe, a souligné Nicole Couratier, sans elles, l’Europe n’est que juxtaposition de contrées et d’hommes qui ne connaissent pas, ni ne se comprennent. Les bénévoles de la société civile jouent un rôle fondamental dans les échanges franco-allemands ».

Les élus locaux Éric Straumann, député, Catherine Troendle, sénatrice, Charles Buttner, président du conseil général et Gilbert Meyer, maire de Colmar, se sont exprimés tour à tour.

Ulrich Hochschild, consul général d’Allemagne, a retracé les relations franco-allemandes à travers les siècles. Les intervenants ont tous insisté sur l’importance de la construction d’une Europe garante de la paix et de la liberté.
(...)

(L'Alsace du 23 novembre 2012)


Mardi 20 Novembre 2012

L'Alsace a choisi Fillon à 54,5%

Globalement, l'UMP alsacienne a voté pour Fillon, mais c'est le Haut-Rhin qui emporte la décision, le Bas-Rhin ayant placé Jean-François Copé juste devant l'ancien Premier ministre.
(...)
François Fillon s'est en revanche démarqué dans le Haut-Rhin. L'ancien Premier ministre a recueilli 893 voix (60,38%) contre 586 à Jean-François Copé (39,62%). François Fillon a réalisé ses meilleurs scores dans les circonscriptions dont les députés l'avaient fortement soutenu: 71,43% chez Michel Sordi (Thann-Ensisheim) et 65,16% chez Arlette Grosskost (Mulhouse). Il obtient tout juste la majorité (52,04%) dans la circonscription de Jean-Luc Reitzer (Altkirch-Huningue). Arlette Grosskost, Charles Buttner, le président du conseil général du Haut-Rhin, et Gilbert Meyer, le maire de Colmar, avaient appelé à voter pour Fillon.

Catherine Troendlé, la présidente de l'UMP 68, est «contente et satisfaite de la participation des militants qui ont bien compris que c'était à eux de décider». La sénatrice «respecte le choix» des adhérents, elle qui a soutenu en toute fin de campagne Jean-François Copé.

J. F. et F. By

(DNA du 19 Novembre 2012)


Mardi 20 Novembre 2012

Ranspach-le-Bas/Elections au sein de l'UMP pour la 3e circonscription du Haut-Rhin

image De Dannemarie à Saint-Louis, les militants UMP de la 3e circonscription du Haut-Rhin ont afflué dimanche dans les bureaux de la permanence de la sénatrice Catherine Troendlé pour élire leur président. Un succès qui, ajouté à la complexité du scrutin, a généré quelques embouteillages dans les couloirs et la transformation de la cuisine en isoloir d'appoint.

Les anciens avaient beau se remémorer les précédents scrutins internes au parti de droite, tous convenaient qu'un événement de cette nature était une première : « Nous avons eu quelques duels, comme Pasqua-Seguin ou Delevoye-Alliot-Marie, mais rien qui ait eu cette ampleur et qui ait déclenché un tel intérêt », reconnaît le député Jean-Luc Reitzer, présent sur les lieux dès 9 h 20.

Cependant, en dépit de cette heure matinale, il avait été devancé dans son vote par son hôte, Catherine Troendlé, qui avait voté dès l'ouverture du bureau de vote, appelée sur d'autres lieux par ses obligations.

« De la patience,il en fallait une bonne dose »

Contrairement à d'autres bureaux de vote où les équipes de François Fillon ou de Jean-François Copé avaient fait appel à des huissiers, l'ambiance est restée bon enfant à Ranspach-le-Bas. Pour Thierry Litzler, délégué de François Fillon, « être accueilli avec café, gâteaux, sourires, c'est agréable après une fin de campagne un peu rude et éprouvante ». Un avis partagé par le député qui constate que « les derniers jours ont été plus tendus, mais il va falloir savoir se tendre la main dès la fin du scrutin pour retrouver l'union et travailler ensemble ». (...)

Un isoloir d'appoint

Et « de la patience, il en fallait une bonne dose », comme l'a soufflé ce militant venu depuis Dannemarie : les procédures de scrutin complexes ont ralenti le vote de tous les adhérents. Évidemment, comme pour chaque scrutin, il s'agissait de prouver son identité, d'émarger dans la liste, de passer à l'isoloir et de saisir au passage... les enveloppes.
Car c'est bien là la spécificité du vote d'avant-hier : chaque électeur devait se prononcer sur trois points. Évidemment celui qui a retenu l'attention de tous, à savoir le choix de l'équipe dirigeante (avec Jean-François Copé ou avec François Fillon). Mais également le choix d'une des motions proposées par les différents courants du mouvement (une dizaine était proposée). Et enfin l'adhésion ou non à la Charte des valeurs. Trois choix donc, trois enveloppes et quelques quiproquos derrière le rideau de l'isoloir pour ceux qui ont confondu les enveloppes. Certains n'ont d'ailleurs pas hésité à sortir la tête de la cabine pour demander aux assesseurs confirmation sur la couleur de l'enveloppe pour les différents choix.

Forcément, avec autant d'incertitudes, le passage par la case isoloir est devenu plus long qu'à l'accoutumée. Et comme les militants sont venus nombreux dès l'ouverture du bureau de vote, quelques embouteillages dans les bureaux de la permanence parlementaire de la sénatrice se sont fait jour. Soucieux d'éviter une file d'attente dans les couloirs voire jusque sur le parvis du petit immeuble, les assesseurs ont transformé la cuisine en isoloir d'appoint, permettant de raccourcir l'attente pour tous.

Matthieu Hoffstetter

(DNA du 20 Novembre 2012)


Lundi 19 Novembre 2012

UMP Fillon en tête dans le Haut-Rhin, Copé dans le Bas-Rhin

image Alors que le résultat national s’annonçait plus serré que prévu, l’ex-Premier ministre a largement devancé son adversaire dans le Haut-Rhin. Ils arrivent au coude à coude dans le Bas-Rhin.

On aurait pu penser que François Fillon ferait un tabac dans le Bas-Rhin. Dès le lancement de la campagne interne de l’UMP, l’ancien ministre et président du conseil régional, Philippe Richert, s’était posé comme chef de file des soutiens à l’ancien Premier ministre, suivi en cela par une large majorité des « grands » élus des deux départements alsaciens.

Tous les pronostics ont été déjoués. François Fillon l’a emporté largement dans le Haut-Rhin, avec 63,38 % des suffrages, soit 893 voix sur 1479, avec 56 % de votants. Il arrive en tête dans les six circonscriptions. La palme du fillonisme (71 %) revient à la quatrième circonscription, celle du député-maire de Cernay Michel Sordi, délégué de l’ancien Premier ministre, qui a mouillé sa chemise. Derrière, avec 65 %, on trouve la cinquième, Mulhouse – où Fillon avait le soutien de la députée Arlette Grosskost et du maire Jean Rottner –, puis la deuxième, Ribeauvillé-Guebwiller (60 %), autour de Jean-Louis Christ. Par ordre décroissant, la sixième, celle de Wittenheim-Sierentz, dont le député est centriste, puis Colmar (54 %), la circonscription du député Eric Straumann, secrétaire départemental de l’UMP, et enfin Altkirch/Saint-Louis, où Fillon devance Copé de huit voix.

C’est le secteur de la présidente de la fédération, Catherine Troendlé, qui s’était engagée pour Jean-François Copé, le député Jean-Luc Reizter n’ayant, pour sa part, pas annoncé son choix…(...)« Comme présidente, je me suis moins impliquée que certains parlementaires, pour ne pas diviser la fédération », a relevé la sénatrice Catherine Troendlé. Et d’observer : « Si le résultat est serré, ils seront obligés de travailler ensemble ! » Son homologue bas-rhinois, André Reichardt, soutien de Fillon, espère que « les aigreurs chez ceux qui auront soutenu le perdant seront très vite oubliées ». « Vu la politique de Gribouille de Hollande et ses incidences sur toutes les couches sociales, il faut que le parti se ressoude très vite autour d’une opposition forte », soutient le sénateur du Bas-Rhin.

(L'Alsace du 19 novembre 2012)


Vendredi 16 Novembre 2012

Prison Lutterbach : décision imminente selon Catherine Troendlé

La décision concernant la prison de Lutterbach est imminente, selon la sénatrice UMP Catherine Troendlé, qui a interrogé Christiane Taubira, ministre de la Justice, le 6 novembre, pendant son audition par la commission des lois du Sénat. Catherine Troendlé lui a rappelé que « les établissements [pénitentiaires] de Colmar, Mulhouse et Ensisheim sont dans un état désastreux et que la réponse à cette situation se trouve dans la construction d’un nouvel établissement à Lutterbach ». Elle a demandé à la garde des Sceaux de lui préciser dans quels délais elle prendrait une décision sur l’avancement de ce dossier. « Je prendrai une décision sur Lutterbach fin novembre au vu des éléments techniques que j’ai mis à l’étude. Je suis allée sur place », a répondu la ministre.

(L'Alsace du 15 novembre 2012)


Mardi 13 Novembre 2012

Colmar/La directive qui fâche

Près de 200 agriculteurs et leur centaine de tracteurs ont manifesté hier matin à Colmar, devant la préfecture du Haut-Rhin, contre la directive nitrates
(...)
Le 25 juillet dernier, cette revendication a reçu un écho favorable. Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, a écrit, avec l'appui de 19 parlementaires alsaciens, au ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll, "en vue de bénéficier d'un aménagement, voire d'une dérogation à la direcrtives nitrates pour l'Alsace".
(...)

(DNA du 13 novembre 2013)


Lundi 12 Novembre 2012

Huningue/L'amitié franco-allemande célébrée

image Tradition respectée sur fond de monument aux morts en cette veille du 99e anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918 : revue du corps des sapeurs-pompiers, lecture du message ministériel de Kader Arif par Martin Welte, dépôt de deux gerbes et enfin interprétation de la Marseillaise par la Musique Municipale 1880 dirigée par Sandrine Bitonti ont constitué autant de moments forts de la première des cérémonies commémoratives en Région frontalière.

A l’heure du vin d’honneur, le maire Jean-Marc Deitchmann a pu saluer, outre les présences de Catherine Troendlé et Patricia Schillinger, sénateurs du Haut-Rhin, de Max Delmond, conseiller général, de Pascale Schmidiger, vice-présidente du Conseil régional, ou d’André-Paul Weber, président du Conseil de développement du Pays de Saint-Louis, celle d’ Wolfgang Dietz, Oberburgermeister de la ville jumelée de Weil am Rhein.

Dans ses propos forts en émotion, le premier magistrat d’Huningue, au lendemain d’un séjour à Verdun, ville mondiale de la paix, a tenu à livrer deux messages : « un premier vœu extrèmement sincère que cette terre d’Europe doit devenir un espace d’union et de paix, le second d’être tous des messagers d’espoir face au royaume de la finance ».

(DNA du 12 novembre 2012)


Lundi 12 Novembre 2012

Bartenheim/Médaillé pour le 11 novembre

image La tradition a été respectée samedi passé sur fond de monument aux morts de Bartenheim : le maire Jacques Ginther, Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin et Daniel Adrian, conseiller général, ont déposé une gerbe commémorative au pied du lieu de mémoire de localité, après que le premier maire-adjoint Gabriel Arnold eut donné lecture du message du ministre délégué aux anciens combattants.

L’heure était également à la remise d’une médaille : Catherine Troendlé, en présence du président Fuchs de la section UNC de Blotzheim, a pu agrafer la médaille commémorative (avec barrette Algérie) à Bernard Meyer, de Blotzheim.

(DNA du 12 novembre 2012)


Dimanche 11 Novembre 2012

L’une défend Copé, l’autre Fillon

En Alsace, la présidente de l’UMP 68, Catherine Troendlé, soutient Jean-François Copé, son homologue bas-rhinois, André Reichardt, préfère François Fillon.

L’une et l’autre ont fait part de leur choix, « mais avec une certaine réserve pour préserver l’unité du mouvement », assurent Catherine Troendlé et André Reichardt.
« Militante depuis 1989 », la sénatrice Catherine Troendlé estime que « l’UMP a besoin d’un leadership fort, un organisateur, un battant », toutes qualités qu’elle reconnaît à Jean-François Copé, avec qui elle a travaillé dans différentes instances. « Ce ne sont pas les primaires de l’UMP, on ne choisit pas le candidat pour la présidentielle de 2017. Mais le plus apte à nous rassembler pour gagner les municipales en 2014 et reconquérir le Sénat, affirme-t-elle. Jean-François Copé est un homme d’écoute, qui n’a pas peur de dénoncer les incohérences et les cafouillages de l’actuelle majorité… » Il bénéficie aussi du soutien de trois députés, Jean-Luc Reitzer dans le Haut-Rhin, André Schneider et Laurent Furst dans le Bas-Rhin.

À l’exception de Fabienne Keller et d’Antoine Herth, qui avaient soutenu respectivement Nathalie Kosciusko-Morizet et Bruno Le Maire, les autres parlementaires – notamment les députés haut-rhinois Arlette Grosskost, Jean-Louis Christ et Michel Sordi – et grands élus, comme le président de la Région Philippe Richert et les présidents de conseils généraux, Guy-Dominique Kennel et Charles Buttner, les maires Jean Rottner et Gilbert Meyer, ont choisi de parrainer François Fillon. « J’ai beaucoup aimé travailler avec Jean-François Copé, comme secrétaire général de l’UMP. Il fait le job. Mais la question se pose de savoir qui peut rassembler largement. Les centristes font clairement du choix de François Fillon leur condition de maintien au sein de l’UMP. Et c’est un homme d’État », se justifie le sénateur André Reichardt, qui, en revanche, ne soutient aucune motion, « pour ne pas créer de divisions ».

Y.B.
(L'Alsace du 11 novembre 2012)


Dimanche 4 Novembre 2012

Semaine parlementaire/Normes : Troendlé redoute un blocage.

Attendu par les élus locaux, « le plan de simplification et d’allégement des normes applicables aux collectivités et aux entreprises » pour aider à « la compétitivité » de l’économie est compromis, à entendre la sénatrice UMP Catherine Troendlé.
Elle s’appuie sur le traitement, trop rapide selon elle, de la proposition de loi sur cette question déposée par le sénateur UMP Eric Doligé.
« Si on voulait empêcher l’opposition de répondre aux attentes des élus, on ne pouvait mieux faire. Les élus locaux jugeront », conclut la sénatrice.

(L'Alsace du 4 novembre 2012)


Dimanche 4 Novembre 2012

Des Mermoziens à Paris

image Une classe de terminale ES (économique et sociale) du lycée Jean-Mermoz de Saint-Louis, a vécu des moments forts lors de la découverte de Paris et de ses hauts lieux institutionnels et culturels.
Accompagnés par leurs professeurs Marjorie Hartmann, Véronique Mellinger et François Herzog, les 29 élèves ont suivi une leçon d’histoire, de citoyenneté et d’art.

Le premier jour du voyage a été réservé au trajet en bus suivi de l’enregistrement d’une émission-phare de Canal +, à savoir Le Grand journal.
Le lendemain, le groupe a visité la basilique du Sacré-Coeur et le quartier de Belleville le matin, le Palais du Luxembourg, siège du Sénat, et le Palais Bourbon, bâtiment qui abrite l’Assemblée Nationale après le déjeuner. Au cœur du pouvoir législatif, les Ludoviciens ont été respectivement accueillis par le sénateur Catherine Troendlé, avec un passage dans l’hémicycle, et le député Jean-Luc Reitzer.
Le troisième jour, les lycéens ont descendu les Champs-Élysées avant de visiter le Musée d’Orsay. En soirée, un moment de détente et de rire a été programmé au Théâtre des Variétés pour la pièce Adieu, je reste. Avant le retour à Saint-Louis, les terminales ont encore profité des chefs-d'œuvre du Louvre le dernier jour.

(L'Alsace du 4 Novembre 2012)